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Les livres de Pierre Loti

Pierre Loti, de son vrai nom Louis Marie Julien Viaud, est un écrivain français né le 14 janvier 1850 à Rochefort-sur-Mer, en Charente-Maritime. Il est considéré comme l'un des grands écrivains de la fin du XIXe siècle.

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Romans, nouveautés : les livres de Pierre Lemaitre

Pierre Lemaitre est un écrivain et scénariste français né le 19 avril 1951 à Paris. Il fait parti des auteurs les plus lu en France. 

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Nouvelles têtes : les éditeurs suisses jeunesse et BD la jouent collectif

Nouvelles têtes est un projet porté par trois maisons d’édition suisse, axé sur la bande dessinée et la jeunesse. Considérant que l’union fait la force, Antipodes, Helvetiq et La Salamandre ont sorti de leur catalogue le meilleur de leurs ouvrages. Une mise en lumière inédite, où les textes se répondent, exposant des lignes éditoriales variées où se retrouvent les problématiques contemporaines.

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Roman, nouveautés : les livres de Sylvie Le Bihan

Sylvie Le Bihan est l'autrice de quatre romans parus au Seuil et chez Jean-Claude Lattès, ainsi que de La petite bibliothèque du gourmand publiée chez Flammarion. Elle est directrice de l'international pour les projets des restaurants Pierre Gagnaire. 

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Romans, nouveautés : les livres de Franck Bouysse

Né en 1965 à Brive-la-Gaillarde, Franck Bouysse publie son premier roman en 2008, L’Entomologiste, aux éditions Lucien Souny. Entre 2008 et 2012, il signe une trilogie, la Trilogie H., aux éditions Les Ardents Éditeurs, avec des illustrations de Pierre Demarty.

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Dossier

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF)

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF) est une association créée en 1873 par le Cercle de la librairie pour être au service des éditeurs en facilitant leur développement à l'international, l'exportation des titres, mais aussi les achats de droits de traduction. Aujourd'hui, cette mission est sensiblement la même.

Extraits

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Critique littéraire

Francis Bebey

Depuis le début des années soixante, Francis Bebey s'est distingué sur la scène internationale par une activité très diversifiée. Chercheur, journaliste, musicologue, musicien et écrivain, cet ancien fonctionnaire de l'UNESCO a abordé plusieurs genres dans le domaine de l'écriture : l'essai, la poésie, la nouvelle, le récit, le roman... En tant que romancier, Francis Bebey a publié entre 1967 et 1992 quatre oeuvres d'une maturité certaine : Le fils d'Agatha Moudio qui relate la vie perverse d'une jeune africaine à l'époque coloniale remporte en 1968 le Grand Prix Littéraire de l'Afrique Noire ; La Poupée Ashanti a pour cadre le Ghana indépendant de l'ère Nkrumah. Quant à Le roi Albert d'Efdi, son action se déroule à une période transitoire entre la colonisation et les indépendances. Le dernier roman de Bebey, Le ministre et le griot paru en 1992 situe son action dans un pays imaginaire d'Afrique, trente années après les indépendances. Cet essai que David Ndachi Tagne consacre à l'oeuvre romanesque de Francis Bebey se situe dans la même lignée que l'ouvrage Roman et réalités camerounaises publié par ce jeune critique aux Editions L'Harmattan en 1986. La lecture des oeuvres est faite à travers le prisme des réalités socio-politiques d'une Afrique en mutation et en proie à de multiples convulsions. L'auteur décrypte ainsi les éléments d'information aussi bien de la narration, des descriptions, que du profil des personnages et aboutit aux leçons de ces créations. Il est également intéressant de voir révéler la personnalité et les expériences du romancier à partir de l'oeuvre de fiction. Ces analyses s'enrichissent de nombreuses références à d'autres romans africains contemporains et à la littérature universelle.

12/1993

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Critique littéraire

L'esprit NRF

1908-1940 : un des "âges d'or" de notre littérature. La Nouvelle Revue Française en offre le meilleur miroir. Mais elle fut bien plus que cela. Aucune revue, jamais et nulle part, n'a rempli dans la vie des lettres un rôle comparable. Fondée par cinq amis de trente-cinq à quarante ans groupés autour d'André Gide, elle sut, après la première guerre mondiale, trouver un second souffle avec Jacques Rivière et achever d'établir sa suprématie avec Gaston Gallimard et Jean Paulhan. Elle attira, encouragea, révéla, suscita la presque totalité des talents de son époque. Tous ces auteurs, dont notre mémoire conserve les noms, se retrouvent dans ses sommaires. Les gens de La N.R.F. , ceux qui la firent, ont été des agents de recrutement en continuel service actif. La liste de leurs échecs tiendrait sur une seule ligne. La N.R.F. eut toujours le souci d'apparaître comme un espace de liberté et un lieu de rencontre. Dans l'ensemble, elle y parvint. Mais elle fut par là-même un lieu d'affrontement. Les fêtes qu'elle donna en l'honneur de l'intelligence et, avant tout, d'une intelligence française n'exclurent pas les rixes entre les invités. Dans ses choix, elle eut souvent raison. Deux erreurs magistrales évitent néanmoins de croire à son infaillibilité. Sa surprenante diversité aurait dû compromettre son unité. Et pourtant, aux dires de ses amis comme de ses ennemis, l'esprit N.R.F. a existé. Un demi-siècle après, le lecteur devrait le retrouver aussi vivant et présent qu'à sa naissance. Notre actualité, il est vrai, rend proches les débats qui, de sa création à la guerre, l'animeront et l'agiteront. Existe-t-il une théorie du roman ? Quel doit être le rapport entre intellectuel et politique ? Pour quel public doit-on écrire ? A l'époque de la primauté de l'écrit, cette revue proposera le plus passionnant des appareils critiques, qui permet de vivre au présent un grand moment d'histoire.

06/1990

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Littérature française

Deux amis de toujours

On a toujours prétendu que le coup de foudre n'existait pas en amitié. C'est pourtant ce qu'Antoine et Jean-Charles, au sortir de leur enfance, auront connu. Rencontre capitale. Amitié profonde et réfléchie qui a su résister à toutes les épreuves, y compris, celle d'ordinaire fatale, d'une rivalité amoureuse. Etudiante admirée, convoitée, Belle, à l'époque, a choisi Jean-Charles. Antoine a surmonté sa souffrance, convaincu de s'être effacé devant un grand amour. Les turbulences auraient-elles des vertus thérapeutiques plus grandes que le recueillement ? Antoine sort de son été, prêt à reprendre le cours de ses désirs. Sans se douter du rôle dévastateur que va jouer Lili, la fille de Jean-Charles et de Belle. Une nouveau chapitre va s'écrire, en contrepoint, peut-être, du premier. Un charme, un bonheur constants. De la cruauté, de la dérision, mais aussi une infinie tendresse. Rien ne se passe comme prévu, mais on peut penser que tout aurait pu l'être. L'amitié connaît des complications aussi grandes que l'amour.

09/1997

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Histoire internationale

Les disparus de Damas. Deux histoires de meurtre rituel

Le 21 février 1840, le père Thomas, religieux d'origine sarde résidant depuis de nombreuses années à Damas, ainsi que son serviteur disparaissent. Aussitôt les Chrétiens de la ville accusent les Juifs d'avoir " immolé " le religieux afin de recueillir son sang. Ce drame se produit moins de quatre mois après l'arrivée du premier consul de France en Syrie, le comte Ulysse de Ratti-Menton. Or un traité franco-turc de 1740 reconnaît aux diplomates français un droit de protection sur les catholiques de l'Empire ottoman. Le nouvel arrivé en profite pour mener l'enquête concernant ces disparitions. Sa conviction, dès les premières heures, est établie : les coupables sont les membres d'une famille juive de notables. Ave la police du Pacha, il va s'attacher à le démontrer. Le consul, que les méthodes d'interrogatoire orientales ne rebutent pas, bouclera son instruction en quelques semaines. Ses conclusions devront forcément déboucher sur des exécutions. Les communautés juives de France et d'Angleterre -alors que leurs pays sont au bord du conflit- décideront d'envoyer deux hommes pour sauver de prétendus coupables dont l'innocence paraît évidente. Henri Heine, en poste à Paris pour La Gazette d'Augsbourg, consacrera plusieurs articles à l'Affaire de Famas. Dès le 7 mai 1840, révolté par ce qu'il a pu apprendre, il écrit : " ... tandis que nous rions et oublions... le bourreau exerce la torture et, martyrisé sur le chevalet de la question, le Juif de Damas avoue... ". pour bien des historiens, cette affaire marquera une date importante.

05/2003

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Littérature française (poches)

Les passions modérées

Elles ne font courir aucun risque mortel à ceux qui les cultivent. Elles aident même à vivre, à survivre, à revivre. Les passions modérées vont du chocolat au meccano, du goût pour l'anecdote à la danse et aux faits divers, mais il en est aussi de plus nobles, comme la Méditerranée, Alger, les maisons, l'art ou la lecture, lorsqu'elles s'accommodent du butoir de la raison. Sisyphe croyant obstinément au Bonheur, l'auteur, avec le secours de ses passions douces (comme il y a des drogues douces), ne cesse de reconstruire les paradis dont il est chassé. Peut-être désire-t-il aussi justifier le plaisir qu'il sait prendre à la vie? Quant au lecteur, qui croit avoir flâné à la paresseuse, il découvre à la dernière page qu'un homme et sa vie lui ont été livrés - énigmatiques, comme il se doit.

12/2002

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Critique littéraire

Le goût de l'inactuel. Tome 3, Autres coquecigrues

Rien ne semble avoir changé. L'actuel - sans provoquer de révolte - continue d'occuper les esprits. Il leur fournit tous leurs sujets d'indignation, de méditation et de conversation. Pas grand-chose à retirer de mes précédentes quatrièmes de couverture. Mon jeu obéit toujours à un double mouvement : réaction contre la tyrannie de l'actuel qui engendre une servitude, qu'on pourrait même croire volontaire, et tentative hasardeuse de partager mes intérêts pour des réflexions et des lectures inactuelles. Ce jeu m'apporte aussi le plaisir de nager à contre-courant et celui non moins grand de permettre de faire le tri parmi les tragédies en cours. Je conserve enfin ma sympathie pour ceux qui trouvent encore l'énergie, le courage - lors d'un dîner classiquement animé par les nouvelles du jour (celles de la littérature incluses) - de parler à brûle-pourpoint de Toulet et de Mérimée et qui parviennent, grâce à leur talent, à éveiller un légitime intérêt. Une question sérieuse néanmoins se pose : allons-nous vivre dans un monde sans mémoire ? P.H.

04/2004

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