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Poches Littérature internation

L'Observatoire

Quoi de pire qu'une personne qui s'est luis en tête de. bouleverser votre vie sous prétexte de faire le bien ? Changer ses habitudes "dire les choses", essayer de comprendre... Dans un coin perdu de l'Angleterre, des locataires se partagent un manoir délabré. Les propriétaires sont des aristocrates excentriques dont le fils de trente-sept ans jette à la moindre salissure ses gants de coton blanc. Un instituteur à la retraite pleure et transpire sans cesse. Une "femme-chien" aboie et ne. connaît plus le langage des hommes. Une autre vit collée à sou petit écran et. mélange le. réel à l'univers des fictions quelle. regarde. Qu'importe ! Ce petit monde ne fonctionne pas si mal. Jusqu'au jour où s'installe une nouvelle venue, ni belle ni laide, mais bien décidée, au risque de provoquer le drame, à mettre au grand jour les histoires cachées...

04/2012

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Photographes

Observatoires/Laboratoires

Publié à l'occasion de l'exposition de l'artiste au Centre Pompidou, cet ouvrage présente des photographies inédites de l'époque où Cohen est passée de la gravure et de la sculpture à la photographie sous l'influence du minimalisme, du Pop Art et de l'art conceptuel. Figure internationale de la photographie, Lynne Cohen élabore des images vides de toute présence humaine : des espaces intérieurs - laboratoires, stations thermales, salles d'attente ou d'entraînement... - aux décors parfois kitsch et dans lesquels planent un certain mystère, une atmosphère inquiétante. Ses cadrages rigoureux, une certaine mise à distance et une lumière qui souligne matières et surfaces confèrent aux lieux qu'elle capture une apparence à la fois " surréelle " et factice. Par la neutralité de l'éclairage et l'absence de personnages, les intérieurs domestiques et lieux de travail évoquent un contrôle social qui s'exerce de manière diffuse. Fascinée par les techniques photographiques employées dans la publicité, les annonces immobilières, les catalogues de vente par correspondance ou encore celles des cartes postales, Lynne Cohen s'inscrit dans le sillon de l'art conceptuel des années 1970, celui des artistes pour qui l'art est un moyen d'analyse. Eclairage, profondeur de champ et composition rigoureuse, voire clinique, donnent à voir des univers clos qui sont autant d'enquêtes sur la configuration de l'espace social. Salles de classe, de restaurants, de sports, halls d'hôtels, bureaux, laboratoires, espaces domestiques ou dédiés aux spas, à la police... partout s'exercent les notions d'observation, de jeux et de contrôles du social. Ces vues frontales aux cadres imposants sont toujours à double fond : quelque chose, de dérisoire ou de grave, y semble camouflé. " Mon travail a toujours traité des procédés psychologiques, sociologiques, intellectuels et politiques. [... ] Je suis préoccupée par l'imposture, la claustrophobie, la manipulation et le contrôle... Je pense que mon travail a une portée sociale et politique, mais sans message concret. Voilà sans doute pourquoi je me sens plus proche de Jacques Tati que de Michel Foucault ", souligne Lynne Cohen. Publié à l'occasion de l'exposition de l'artiste au Centre Pompidou, cet ouvrage présente des photographies inédites de l'époque où Cohen est passée de la gravure et de la sculpture à la photographie sous l'influence du minimalisme, du Pop Art et de l'art conceptuel. La sélection des images, par thèmes plutôt que par séries, témoignera à la fois de la rigueur conceptuelle de la photographe et de son ironie fine en tant qu'enquêteuse permanente de la configuration de l'espace social. Déployé dans un grand format sous forme d'album, ce livre reconsidère l'oeuvre d'une grande personnalité de l'histoire contemporaine de la photographie.

04/2023

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Photographes

Laboratoires/Observatoires

Photographe française née en 1977, Marina Gadonnaix questionne les diverses représentations du réel et inscrit son travail entre fiction et réalité, matérialité et immatérialité. Ses différentes séries photographiques interrogent la fabrication de l'image et sa mise en scène à travers un objectif social et documentaire. Avec " La maison qui brûle tous les jours ", la photographe a suivi des pompiers en formation s'entraînant à éteindre des feux dans une maison construite dans ce dessein en matériaux indestructibles. Le concept de laboratoire guide ainsi tout son travail et l'amène, notamment avec sa série " Phénomènes ", à explorer les modèles scientifiques de réplique de phénomènes naturels. " Mon travail tente de rendre compte de la porosité entre le document et la fiction, la simulation et l'illusion. De fait, il interroge la fabrication de la représentation tout autant que la fabrique de l'imaginaire ", souligne la photographe. En s'attachant à ces reproductions artificielles, Marina Gadonneix questionne les possibilités de ces laboratoires comme théâtres du monde où même les évènements naturels les plus imprévisibles semblent pouvoir être manipulés et reproduits par l'homme. Publié à l'occasion d'une rétrospective consacrée à la photographe au Centre Pompidou, cet ouvrage, qui prend la forme d'un album, présente les différentes séries de Marina Gadonneix qui, au fil des années et de ses recherches, donne à voir des images singulières de notre société moderne.

04/2023

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Romans policiers

Crimes à l'observatoire

En mai 2009, en plein milieu de l'année mondiale de l'Astronomie, un jeune homme surnommé Sirius est suspecté de meurtre : dans la grande "salle Cassini" de l'Observatoire de Paris, juste au-dessous de son bureau où il travaillait à sa thèse, un cadavre a été découvert... Sirius se lance à la recherche de l'assassin et se retrouve entraîné dans une série d'autres meurtres tout aussi inexplicables qu'il va tenter d'élucider avec l'aide de l'épouse d'une des victimes et d'un vieux commissaire de police bourru peu respectueux des conventions. Les crimes pourraient être l'oeuvre d'une Organisation mystique internationale, à moins qu'il ne s'agisse d'une affaire d'espionnage, ou de la vengeance d'un astronome lésé. L'affaire prend une dimension internationale avec la mort d'un prix Nobel aux Etats-Unis. Toute la communauté scientifique se sent menacée...

03/2021

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Critique littéraire

Fortunes de Jacques Amyot. Actes du colloque international (Melun 18-20 avril 1985)

Ce volume réunit des actes d'un colloque international tenu à Melun en avril 1985, et consacré à Jacques Amyot (1513-1593). Pourquoi cet homme, en traduisant l'oeuvre intégrale de Plutarque, est-il aujourd'hui considéré comme l'une des plus importantes figures de l'humanisme et des lettres françaises ? C'est au fond à cette question que s'efforcent de répondre les différents auteurs dans cet ouvrage. Considérant, dans un premier temps, l'environnement géographique, social et économique dans lequel vécut Amyot, dans un second temps sa carrière (ses rapports, notamment, avec la cours des rois et sa charge d'évêque d'Auxerre), enfin son oeuvre et son influence, on comprend in fine pourquoi Jacques Amyot a tant marqué le paysage littéraire, et pas seulement en France. Sa renommée fut grande en Angleterre dès le XVIe siècle (Shakespeare, par exemple, s'appuya beaucoup sur la stylistique d'Amyot pour la composition de ses pièces romaines), et c'est bien sûr Montaigne qui comprit le plus immédiatemment l'apport décisif du traducteur-évêque : "Je donne, avec raison, ce me semble, la palme à Jacques Amyot sur tous nos écrivains français" (Essais).

01/1986

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Littérature française (poches)

Les jardins de l'Observatoire

En 1943, Gilles Perrault a douze ans. Son père et sa mère font partie d'un réseau de Résistance, à Paris. Un choix périlleux effectué sans phrases, comme une évidence. Et le jeune garçon regarde, écoute, s'enthousiasme ou tremble. Il y a Alexandre, l'agent anglais hébergé chez lui et qui mourra à Mauthausen. Il y a ce danseur travesti, devenu un spécialiste des transmissions radio et amoureux d'un officier allemand. Il y a l'aventure de sa mère qui, avec un courage inouï, réussira à soustraire son mari aux griffes de la Gestapo... Pour la première fois, l'auteur du Secret du roi s'exprime sous la forme autobiographique, dans cet hommage pudique rendu aux siens, qui est aussi un témoignage de premier ordre sur la Résistance " ordinaire ". A la fois drôle et déchirant, ce récit a la saveur rare de l'émotion retenue alliée à la rigueur de l'enquête. Annie Coppermann, Les Echos. Le mélange d'émotion et de simplicité place Les Jardins de l'Observatoire à mille pieds au-dessus des clichés dont nous abreuvent scénaristes et romanciers. Didier Sénécal, Lire.

02/1997

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