Cornwell

L'auteure américaine de romans policiers, Patricia Cornwell, se retrouve actuellement au coeur de démêlés juridiques qui auraient de quoi rivaliser avec ses propres écrits. En effet la romancière sera entendue en qualité de témoin, aux États-Unis, à l'occasion d'un procès dans le cadre duquel elle réclame 180 millions de dollars de dommages et intérêts à la société qui était chargée de gérer son patrimoine.

L’auteur de roman policier était de passage à Paris cette semaine pour la sortie de son roman Le havre des morts, à l’occasion duquel elle a été décorée par l’insigne de Chevalier des Arts et des Lettres, mercredi dernier, par le PDG d'Hachette Livre, Arnaud Nourry, au nom du Ministre de la culture, Frédéric Mitterrand.

L'auteure américaine de best-sellers policiers a jeté son dévolu sur la maison d'édition Thomas & Mercer, filiale d'Amazon Publishing, pour la publication de ses deux prochains livres, en 2019 et 2020. Quantum, titre du premier livre, présentera aux lecteurs le personnage du capitaine Chase. Amazon a obtenu les droits de publication en langue anglaise pour l'international, dans tous les formats.

C'est l'histoire la plus coûteuse de l'histoire de l'édition : Patricia Cornwell a dernièrement perçu 50 millions $ d'indemnités pour avoir été trompée par le cabinet d'avocats chargé de gérer sa fortune. Plusieurs millions de dollars avaient disparu de son compte, et la romancière réclamait 180 millions $. 

L'écrivain américain Patricia Cornwell a décidé de délaisser quelque peu le polar pour s'adonner à l'écriture du scénario d'une série télévisée. C'est pour le compte de la chaîne ABC que l'auteur de Postmortem s'est engagé à travailler, aux côtés de Stephanie Sengupta, rapporte le site Deadline.

Avec un fameux patrimoine à gérer, Patricia Cornwell avait préféré recourir aux bons soins d'une société de gestion, que de s'en charger elle-même. Quelques placements, un contrôle des dépenses et tout reposait dans les mains de Anchin, Block & Anchin. Mais avec le temps, la romancière découvre que la mauvaise gestion de ses finances lui aurait coûté des millions de dollars... perdus.

L'auteure de best-sellers, Patricia Cornwell, vient de lancer une action en justice, avec  une plainte de 100 millions $ à la clef. Une histoire de trahison, de confiance perdue, de maisons coûteuses achetées, d'hélicoptère ou encore de livres rares, de Ferrari perdue et de dons politiques accordés à Hillary Clinton. Pas très claire, mais rudement simple : l'auteure porte plainte contre l'ancienne société en charge de la gestion de ses biens. 

De mauvais investissements financiers gênent l'écriture de Patricia Cornwell

Série phare dans l'œuvre de Patricia Cornwell, les livres mettant en scène la médecin et agente du FBI Kay Scarpetta feront prochainement l'objet d'une adaptation, sous la forme d'une série d'épisodes d'une heure chacun. Blumhouse Television et Comet Pictures s'associent, côté production.

Monnaie de sang, le dernier livre de Patricia Cornwell, publié aux éditions Des Deux Terres, en mars dernier, a connu un joli succès. Près de 15.000 exemplaires vendus pour la romancière qui œuvre dans le policier depuis des années, voilà qui reste bon – en regard de l'époque. Et que l'on se rassure, de nouveaux ouvrages arrivent. 

Angelina Jolie sera Scarpetta, l'héroïne de Patricia Cornewell

Cornell Library : 70.000 livres numérisés dans le domaine public

La campagne présidentielle d'Hillary Clinton en 2008 a été financée par Patricia Cornwell, en partie évidemment. Celle-ci est écrivaine américaine, spécialisée dans le polar, policier et autres thrillers. Peut-être à l'insu de son plein gré, cela dit.

L'université Cornell, située à Ithaca, dans l’État de New York, s'est rendue célèbre grâce à sa très riche collection de documents sur les débuts du hip hop, constituée à partir de 1999 grâce à l'auteur Johan Kugelberg, qui a confié sa collection personnelle à l'institution. Comme son nom l'indique, The Cornell Hip Hop Collection rassemble les pièces de Kugelberg et des milliers d'autres, en cours de numérisation.

Mort ce 12 décembre 2020 à l'âge de 89 ans, l'écrivain John Le Carré, David John Moore Cornwell de son vrai nom, laisse une œuvre innervée par l'espionnage et la géopolitique, saluée pour sa complexité et son réalisme. Il avait légué en 2011 90 mètres linéaires de documents, les brouillons de ses principales œuvres.

Dans la même veine que Franck Thilliez, Maxime Chattam propose un diptyque pour revenir aux origines du mal telles qu’ils les perçoivent. Ces écrivains font parti de la Nouvelle Vague des auteurs de roman policier qui, se mesurant aux plus grands comme Connelly ou Cornwell, ont su apporter une touche française au genre qui s’essoufflait quelque peu.

Dès les premiers temps, John le Carré avait affirmé son opposition au Brexit. De son vrai nom, David Cornwell, mort en 2020, l'auteur avait clamé haut et fort de sa désillusion face au vote de 2016, avait jeté son tablier. Son fils, Nicholas, l’a dévoilé récemment : son père, en réaction, avait décidé de demander la citoyenneté irlandaise, peu avant de mourir. 

Un an plus tôt, la rumeur sur la mort du personnage Wolwerine avait circulé. Aujourd'hui, le suspense est à son comble : les éditions Marvel Comics vont sortir le numéro 7, scénarisé par Paul Cornell.  Marvel a annoncé la nouvelle au C2E2 (The Chicago Comic & Entertainment Expo).

Les nanotechnologies s’emparent d’un des plus anciens arts chinois : celui de l’origami, ou l’apprentissage de la patience par le pliage. Les chercheurs de l’université de Cornell ont mis en place un système mesurant 0,06 millimètre capable de se replier tout seul. Pourquoi ? Pour la beauté du geste et pour la science…

La bibliothèque universitaire Mann de l'université Cornell propose depuis début novembre à ses usagers de profiter d'un environnement de lecture des plus végétatifs. Littéralement. Enfin, presque. Une exposition issue de plusieurs recherches en écologie a conduit à installer du gazon dans l'établissement. C'est que l'herbe a des bienfaits réparateurs sur l'être humain...

Ce 18 août, Jill Murphy, autrice et illustratrice pour enfants britannique, est décédée à l'âge de 72 ans des suite d’un cancer dans l’hôpital de Cornwall. Murphy a écrit et illustré la série Worst Witch quand elle avait 18 ans, traduite en français par Jean-François Ménard, le monsieur Harry Potter des éditions Gallimard jeunesse, sous le titre de Amandine Malabul, sorcière maladroite.

Quand le maître du suspens croise la route de l'auteur de Lolita, on peut espérer le meilleur du meilleur. C'est ce que raconte James A. Davidson, qui se souvient : si l'on a attribué ce titre de Maître à Hitchcock, c'est pour son adaptation Fenêtre sur cour, en 1954, tirée du roman de Cornell Woolrich, William Irish de son vrai nom, Rear Window.

Un manuscrit en trois volumes contenant plus d’une centaine d’illustrations de la flore cubaine, et des descriptions détaillées a été retrouvé en 2018, à l’Université Cornell, située dans la ville d’Ithaca dans l’État de New York. Il a été écrit par l’Américaine Anne Wollstonecraft qui vivait à Cuba dans les années 1800. Récemment numérisé, il est possible de le consulter en ligne.

La cartographie est peut-être aussi vieille que le monde, mais cela ne signifie pas que ni l'un ni l'autre n'ont changé : une archive de quelque 800 cartes numérisées par la bibliothèque de l'université Cornell, dans l'État de New York, permet de s'en convaincre. On y retrouvera des représentations du monde dont les dimensions, couleurs et formes varient selon l'auteur et ses intentions — bonnes ou mauvaises.

La bibliothèque de l'université Cornell, dans l'État de New York, annonce la mise en ligne d'environ 20.000 photographies, numérisées au sein de l'Ernie Paniccioli Photo Archive. Ernie Paniccioli, photographe américaine, documenta le mouvement hip-hop, d'abord dans les rues de Brooklyn, au fil des graffitis, avant d'immortaliser les plus grandes stars du genre musical, dont Tupac, Notorious BIG, les Beastie Boys, Jay Z, Kanye West ou encore Aaliyah.

L'Américain Edward Jay Epstein, avant de devenir lui-même écrivain et journaliste d'investigation, qui allait notamment se pencher sur l'assassinat du président Kennedy ou encore l'affaire Dominique Strauss-Kahn plus dernièrement, était étudiant à l'Université Cornell. Et le jeune homme gagnait alors son argent de poche en passant en revue les derniers films de son professeur d'anglais, enseignant qui n'était autre que Vladimir Nabokov. Une histoire qui débuta au cours de sa deuxième année d'étude, alors inscrit au sein de la Lit 311.

Le 24 novembre 1989, l'écrivain britannique John Le Carré est l'invité de Bernard Pivot dans l'émission Apostrophes pour présenter son livre La Maison Russie, alors tout juste publié aux éditions Robert Laffont dans une traduction de Mimi Perrin et Isabelle Perrin. L'occasion d'évoquer le passé de l'écrivain, et son pseudonyme...

La trilogie du « porno pour mamans » vient de passer un nouveau cap, en obtenant le titre de roman de l'année, avec plus de 5,3 millions d'exemplaires vendus sur l'archipel britannique, assure l'Associated Press. 

Le polar subventionne la police américaine

En France, les ventes du Symbole perdu, publié l'an passé, en novembre, aux éditions Lattès sont montées à plus d'un million d'exemplaires. Sorti le 15 septembre outre-Atlantique, le livre s'était écoulé à deux millions d'exemplaires durant les cinq premiers jours de mise en vente... Au détriment de ses précédents ouvrages...