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Corrida la honte

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Dossier

Le Petit Prince, conte intemporel d'Antoine de Saint-Exupéry

Le Petit Prince n'est pas seulement allé dans l'espace : il a traversé toute la planète. Livre le plus traduit au monde après la Bible, ce classique d'Antoine de Saint-Exupéry a été publié pour la première fois en 1943 par la maison d'édition Reynal & Hitchcock, puis aux éditions Gallimard, en français, en 1945. De loin le livre le plus connu de son auteur, ce conte a touché des millions de lecteurs par sa portée philosophique et oniri

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Dossier

Le Prix “Envoyé par La Poste”

Créé par la Fondation d’entreprise La Poste, le prix « Envoyé par La Poste » récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, sans recommandation particulière, à un éditeur qui décèle, avec son comité de lecture, un talent d’écriture et qui décide de le publier.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Salman Rushdie

Né le 19 juin 1947 en Inde, Salman Rushdie quitte le pays, accompagné par sa famille, à l'âge de 13 ans. C'est en 1975 qu'il publie son premier roman, Grimus, un récit de science-fiction qui passe pratiquement inaperçu. En 1981, Les Enfants de minuit lui permet de transformer l'essai en remportant le Prix Booker. Après La Honte, Rushdie publie en 1988 Les Versets sataniques, roman qui va déclencher l'un des scandales littéraires mondiaux les plus importants du XXe siècle.

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Dossier

Vois Lis, Voix Là : le podcast de ActuaLitté

Avec le développement fulgurant du livre lu, c’est toute une dimension audio qui se développe désormais dans le monde du livre. Ce qui devait pousser la rédaction à diversifier ses approches, avec la création d’un podcast dédié. Des livres, des auteurs, des lectures, des chroniques, et bien d’autres choses encore.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres d'Annie Ernaux

Annie Ernaux, née Duchesne, a grandi en Normandie – à Lillebonne où elle est née en 1940, puis à Yvetot, où ses parents ont déménagé quelques années plus tard pour tenir un café-épicerie. Élève à l’école privée catholique, elle côtoie des filles de milieux plus aisés que le sien, et fait l’expérience de la honte sociale. En 1958, âgée de 18 ans, elle part pour la première fois seule, sans ses parents, travailler dans une colonie de vacances.

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Dossier

La librairie et le Label Lir : les raisons de la colère

Une étude réalisée conjointement par le ministère de la Culture et de la Communication, le Syndicat de la librairie française et le Syndicat national de l’édition, le rapport de la mission « Livre 2010 » et celui d’Antoine Gallimard, remis au cours de l’année 2007, ont souligné la fragilité de la situation économique des librairies indépendantes et préconisé de faire du maintien et du développement de ces entreprises une des priorités de la politique du livre. 

Extraits

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Littérature française

La folie corrida

Qu'est-ce que l'afición "a los toros" ? Qu'est-ce qu'un aficionado ? A quelle espèce étrange appartient cet individu ? Comment cette espèce se divise-t-elle, se partage-t-elle, se passionne-t-elle ? Est-il bon, en tauromachie, de célébrer d'abord les toros ou les toreros ? Y a-t-il danger à "intellectualiser" la corrida et à l'inonder de jus de cervelle ? Y a-t-il péril à la médiatiser ? Hommes et femmes sont-ils animés d'une afición semblable ou différente ? Doit-on s'indigner si les piques ne sont plus ce qu'elles étaient et, parfois, les cornes non plus ? Comment entre-t-on en aficíon ? Est-ce un chemin de croix ? L'aficionado français a-t-il trop de lectures ? Existe-t-il un "sang" gitan chez les toreros ? A ces questions, en gambadant et en liberté, au hasard d'impression et de quelques idées, Jean Cau répond dans La folie corrida.

05/1992

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Littérature française

Corrida, Basta !

Corrida, basta! est le texte intime d'un poète qui a passé son enfance dans le Sud-Ouest, et le texte d'indignation d'un pamphlétaire qui ne manque pas de munitions. De la corrida, Christian Laborde dénonce la cruauté, la vulgarité, les mensonges. Pour mieux dézinguer cette " chorégraphie charognarde ", il convoque Joaquim Du Bellay, Victor Hugo, Ernest Coeurderoy, Marguerite Yourcenar, un pape, des imams, des scientifiques. des philosophes, le dalaï-lama, Isaac Bashevis Singer et, bien sûr, saint François d'Assise. Le moment le plus insoutenable est celui où Laborde, gommant les mots espagnols, effaçant les couleurs criardes, arrêtant la musique folklorique, décrit les tortures tantôt admises tantôt clandestines subies parle taureau lors du tercio de piques, du tercio de banderilles et du tercio de mise à mort. Le moment le plus beau, le plus émouvant, est celui où il s'adresse au taureau, le contemple sous la lune, le peint dans sa beauté rayonnante.

03/2009

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Littérature française

Corrida détraquée

" Son front a percuté mon arcade et nous sommes retombés comme deux vieux cadavres de guerriers dans une poussière maculée de sang. " Deux guerriers ? Oui, car la guerre sert ici de métaphore à l'amour, et plongeant dans les yeux d'Eva, " ses prunelles d'un noir sans fond cerclées de bleu ", qui ont parfois la froideur d'un ciel gelé, parfois la colère d'une bête blessée, on ne verra que le désir de soumettre son amant, dans l'arène où ils disputent une corrida détraquée. C'est le désir qui mène les personnages errants de ce "road-book" à l'extrémité de leurs forces : du bar de l'Estoril, où glapissent dans la nuit de l'alcool "des voix plus ou moins rauques, avinées, anisées, maltées, mélancoliques et fabulatrices", à Montpellier où tout se dénoue. Quête de la femme à la fois fatale et fragile, errance sur les routes, prose lyrique qui convoque les paumés et les survivants, voici un véritable roman d'amour. Sébastien Raizer y déploie superbement sa tendresse tragique.

04/2001

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Littérature française

La corrida des vendanges

Après vingt ans d'absence et à l'occasion de la Corrida des Vendanges, André Feradel, qui est l'homme de confiance d'un torero espagnol, revient à Nîmes, sa ville natale. En quarante-huit heures, il retrouve divers membres de sa famille, riche et honorablement connue, noue de cordiales relations avec d'anciens maquisards des Cévennes, et tombe même vaguement amoureux de la femme de l'un d'eux. Tout en s'inquiétant pour son jeune maître chaque jour en danger de mort, il distrait sa vieille tante en jouant du Chopin, bouleverse sa soeur cadette, irrite son frère aîné, défraie la chronique locale : il rentre au petit jour, vide tous les verres qui passent à sa portée, mène tambour battant une aventure galante, envoie promener son affligeant beau-frère, jette à la face des gens, qui ne lui demandent rien, son passé de honte et de misère, s'adresse en pensée à sa petite soeur d'élection, tombe en syncope et raconte sa vie à un médecin apatride. Et pour finir il découvre que tous ces personnages qu'il a été, cadet de bonne famille, engagé dans les troupes allemandes, réfugié politique et clochard à Madrid, détenu de droit commun, chauffeur de maître, se sont fondus en une seule et même personne. Depuis douze ans celle-ci s'est vouée au culte d'un camarade espagnol connu en prison et fusillé, l'archange impossible à oublier, l'ami unique et merveilleux auquel, un matin, André Feradel a juré fidélité.

09/1964

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Sports

La corrida, effraction salutaire

" Notre société voudrait-elle nous faire croire à une vie sans risque ? Mais une vie humaine sans risque, ce n'est plus une vie humaine, ce n'est guère qu'une mort déguisée. La corrida le montre au plus haut degré: la vie est risque. Effraction salutaire. " " La corrida ? Je suis tombé dedans par ma famille, comme Obélix dans la marmite de Panoramix : quand j'étais petit. Et j'ai été saisi. A 18 ans, quand je suis entré au séminaire, j'ai choisi comme sujet libre de philo : Faut-il ne plus aller aux corridas ? Valait-il vraiment la peine de risquer sa vie devant un toro ? Devenu aumônier d'arènes, j'ai côtoyé les toreros : un poids inouï pesait sur leurs épaules. J'en ai moi-même ressenti quelque chose en osant me " mettre devant " quelques jeunes bêtes. Il m'a fallu mettre des mots sur ce qui me paraissait indicible. Voici donc comment m'apparaît aujourd'hui ce que j'appelle le mystère de la corrida. "

09/2018

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Philosophie

Philosophie de la corrida

La corrida a inspiré les plus grands artistes et nombre de théoriciens. Mais nul, à ce jour, ne s'était aventuré à philosopher sur elle. C'est le défi qu'a relevé Francis Wolff. A le lire, on comprend que la corrida, parce qu'elle touche aux valeurs éthiques et qu'elle redéfinit l'essence même de l'art, est un magnifique objet de pensée. La corrida est une lutte à mort entre un homme et un taureau, mais sa morale n'est pas celle qu'on croit. Car aucune espèce animale liée à l'homme n'a de sort plus enviable que celui du taureau qui vit en toute liberté et meurt en combattant. La corrida est également une école de sagesse : être torero, c'est une certaine manière de styliser sa vie, d'afficher son détachement par rapport aux aléas de l'existence, de promettre une victoire sur l'imprévisible. La corrida est aussi un art. Elle donne forme à une matière brute, la charge du taureau ; elle crée du beau avec son contraire, la peur de mourir ; elle exhibe un réel dont les autres arts ne font que rêver. Sous la plume jubilatoire de Francis Wolff, on découvre ce que Socrate pensait de la tauromachie, que Belmonte peut être comparé à Stravinsky, comment Paco Ojeda et José Tomàs fondent une éthique de la liberté et pourquoi Sébastien Castella est un virtuose de l'impassible...

05/2007

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