Cthulhu jeu

Call of Cthulhu tente d'adapter l'horreur sourde des textes de H.P. Lovecraft dans un jeu d'horreur aux graphismes plutôt convaincants. Cyanide Studio, développeur du jeu, s'est inspiré en grande partie du jeu de rôle de Chaosium. Le jeu se présente comme un RPG d'enquête, horrifique bien sûr.

Les amateurs de Lovecraft et de jeux vidéo d'horreur vont se retrouver devant leurs écrans très bientôt : après The Sinking City, qui s'inspire des écrits de Lovecraft, Call of Cthulhu est attendu pour le 30 octobre prochain sur PS4, Xbox One et PC.

Deux figures littéraires, et non des moindres, se croisaient dans un jeu vidéo en 2006, intitulé Les Aventures de Sherlock Holmes : La Nuit des sacrifiés. Le détective de Baker Street y faisait face à Cthulhu, celui qui rêve et attend, et à ses adorateurs. Le développeur ukrainien Frogwares travaille sur un remake du titre, Sherlock Holmes: The Awakened.

Attention, le culte blasphématoire est de retour : Cthulhu revient dans une adaptation officielle en jeu vidéo, simplement titré Call of Cthulhu. Édité par Cyanide et publié par Focus Home Interactive, le jeu devrait sortir sur PS4, Windows et Xbox One pour la fin d'année 2017.

Puisque celui qui dort au fond du Pacifique n'est pas mort, certains de ses plus fervents adorateurs voudraient peut-être contribuer au réveil de la bête, celle tentaculaire à face de seiche, issue de l'imagination de H.P. Lovecraft. Bonne nouvelle pour ces âmes dégénérées, car l'artisanat du dénommé Jason McKittrick verse dans toutes sortes d'accessoires inspirés par les horribles aventures cosmiques de  l'icone de la science-fiction américaine.

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Le domaine public devient la coqueluche des créatifs qui puisent dans les ressources numériques de quoi alimenter leurs productions. Déviances numériques et hallucinations web sont monnaie courante, surtout quand on profite d'oeuvres préexistantes. L'artiste Kevin Weir s'est lancé dans la fabrication de GIF animés, en transformant des photographies de la Bibliothèque du Congrès. Entre horreur et fous rires, où l'on retrouve parfois de Grands Anciens...

Vous avez manqué le micro-phénomène Flappy Bird, êtes fan de l'univers de H.P. Lovecraft, et, surtout, vous avez du temps à perdre ? Un développeur canadien indépendant, Madgarden, a développé une application vite fait bien fait qui reprend le concept du mini-jeu de réflexes, en remplaçant bien entendu le piaf par Cthulhu.

Un groupe de fans de l'auteur mythique HP Lovecraft voulait organiser un événement culturel sérieux dédié à l'écrivain. Par sérieux, on entend un événement de plusieurs jours qui réunit des auteurs et des universitaires spécialistes de la question. Forcément, pareille chose de ne se fait pas comme ça, d'où l'idée de passer par Kickstarter, pour financer le projet et en faire la promotion au passage. 

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Cthulhu et le cinéma, ce n'est pas vraiment une histoire qui traversera les millénaires. Enfin jusqu'à présent, puisqu'un trailer redonne espoir à tous les adorateurs de la créature réveillée des abysses par H.P. Lovecraft. 

Bien décidé à occuper tous les segments de l'édition, Amazon lançait le mois dernier Kindle Words, un service de monétisation de fan fiction. Des écrits qui jusque-là pullulaient sur les magazines amateurs, les blogs et sites communautaires dédiés à un univers précis. Aujourd'hui, le leader du commerce a négocié directement avec les auteurs et ayants droit de Gossip Girls, Vampire Diaries, Pretty Little Liars, pour l'exploitation par de nouvelles plumes de ces séries sous de nouveaux développements.

Le culte a toujours ses adeptes. Le studio de développeurs français Frogwares, à l'origine de toute une série de jeux vidéos d'enquêtes mettant en scène Sherlock Holmes et son compère Watson, plancherait désormais sur un projet baptisé Call of Cthulhu. Si peu d'infos ont filtré quant au concept, en revanche, les quelques images semblent confirmer qu'il s'agit bien d'une aventure inspirée par le mythe signé du maître H.P Lovecraft.

j'offre un bouquin à la première personne qui m'envoie un email pour me dire quel est le nom de la figure de style qui permet de faire parler une divinité, ou une idée, ou un cadavre, voire même un animal...

L'école préparerait mal les élèves à cette sombre étendue qu'est l'avenir, estime Charles West, professeur à l'école de la ville d'Arkham. Non, ce n'est pas une plaisanterie : « Nous devons préparer les jeunes d'aujourd'hui à un monde dont les terreurs sont gravées dans d'antiques tablettes d'argile qui relate les rêves néfastes de dieux oubliés et non leur remplir la tête avec des anecdotes triviales sur les maths et l'anglais. » Sic...

Sidérant, non ? Car West prône l'enseignement basé sur la folie des monstres de Lovecraft, et notamment le légendaire Cthulhu, ce démon malveillant. « Nos écoles sont des lieux d'ordre, d'hygiène où les étudiants vivent dans l'ignorance la plus totale du chaos qui les attend », insiste Charles.

Et dans son délire, il va plus loin encore : pourquoi réparer les installations sportives vétustes ? Rasons tout et remplaçons-les par des bâtisses qui prendront possession des élèves et leur accorderont des visions de royaumes au-delà de la perception humaine... Un grand malade.

Responsable du conseil scolaire depuis 1997, Charles ne s'est pas arrêté à des déclarations de ce genre. Le mois dernier, explique un parent, il a voulu changer la devise de l'école, « Many Kinds of Excellence » par... (attention) « Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn ». Traduction littérale : « Dans sa demeure de R'lyeh la morte, Cthulhu rêve et attend. » Les fans de Lovecraft apprécieront.

Et quand on lui demanda si c'était du latin, Charles ne s'est pas dégonflé et a clairement expliqué que c'était la langue de Shub- Niggurath, la chèvre noire des bois aux mille langues. « Nous avons déjà changé le nom de l'école, anciennement Abraham Lincoln High pour Nyarlathotep Academy.Que veut-il de plus ? »

La Française des Jeux, qui doit faire face avec aplomb à l’ouverture du marché des jeux d’argent en ligne, se met à investir dans la recherche sur les pratiques ludiques au sein de la société.

L’horreur en littérature, c’est la classe. Et en la matière, Lovecraft nous a apporté un lot de monstres et livres bien sentis – mais réputés impossibles à porter au cinéma. Sérieusement ? Un nouveau projet porté par le script de Matthew Francis Wilson pourrait tenter de passer par la série plutôt que directement le grand écran. Une grande première pour Cthulhu...

Un couple d'Américains, et plus particulièrement le père de famille, avaient décidé de laisser Internet proposer le nom de leur fille, dont la naissance était impatiemment attendue par les heureux parents. Le site namemydaughter.com, comme son nom l'indique, invitait chaque visiteur à soumettre sa proposition, mais aussi à voter pour d'autres.

Poursuivant son incursion, qui le mènera inéluctablement vers la démence, le mangaka Gou Tanabe s’apprête à sortir chez Ki-oon L’appel de Cthulhu. Ce nouveau volet des œuvres de Lovecrat s’inscrit dans les précédentes réalisations — La couleur tombée du ciel, Les montagnes hallucinées ou encore Dans l’abime du temps, consacré par un Fauve à Angoulême.

Pourquoi les adultes seraient les seuls à profiter des chefs-d'oeuvre littéraires ? Ce n'est pas le slogan d'une pub Petit Bateau, mais bien l'injustice que Tro Rex et Eyo Bella, auteur et dessinatrice, souhaitent réparer. En adaptant le célèbre The Call of Cthulhu de H.P. Lovecraft, pierre angulaire de la SF moderne. Le projet, lancé il y a une semaine sur Kickstarter, devrait sans problème trouver les fonds nécessaires à son développement.

L’artiste Teo Zirinis a publié une série d’illustrations touchantes, reprenant de grandes figures de la pop culture, remontant parfois jusqu’à la mythologie grecque. Ces monstres devenus gentils, l’instant d’une confession, nous racontent leur vague à l’âme. 

Howard Phillips Lovecraft, maître de l’horreur, option tentacules et cités englouties, aura construit un panthéon de divinités toutes plus malfaisantes et dangereuses, les unes que les autres. Mondialement reconnu, HPL de son petit nom, l’œuvre du romancier américain fait déjà l’objet de multiples adaptations en mangas, BD ou réédition et nouvelles traduction. Mais la Pléiade, on n’osait y songer… et le 1er avril est trop loin.

Cthulhu et Neil Gaiman, ou l'art de la... prosopopée

« Tirage, grattage… Et si au lieu d’édition on parlait de ces jeux ? Vous achetez pour presque rien, un euro, deux euros, la liste des titres est déjà une langue à elle seule. »

Ils s’appellent : Azathoth, Cthulhu, Hastur ou Nyarlathotep et peuplent les récits d’un certain HP Lovecraft. Le mythe de Cthulhu a la peau dure, mais la licence facile : pour preuve, une déclinaison Monopoly de l’univers dérangé du romancier est prévue pour le mois de janvier 2016. 

Call of Cthulhu – ou L’Appel de Cthulhu dans sa version française – est un jeu de rôle de table créé par Sandy Petersen, qui s’inspire de l’univers imaginé par l'écrivain fantastique américain H. P. Lovecraft. Avec un système de jeu qui s’inscrit dans la lignée de Dungeons & Dragons, ce RPG de mystère et d’horreur est l’un des premiers dans son genre, à insister autant sur l’ambiance et l'histoire. Quarante ans après la création de ce jeu, Chaosium a annoncé la publication d’une collection de livres de règles et de suppléments exclusifs…

Horreur microscopique. Et si le Grand Ancien était finalement un microbe, et qui plus est - sale temps pour les adorateurs de Cthulhu adeptes du sacrifice - végétarien ? La créature mythologique née de l'imaginaire de Lovecraft, à l'apparence et l'influence tentaculaires, aura en tout cas inspiré le nom donné dernièrement à une trouvaille scientifique. Le fond du système digestif de certaines termites, servirait de demeure à un microbe unicellulaire, un protiste pour les intimes, qui se nourrirait des cellules de bois digérées dans cette insoupçonnable cité de R'lyeh.

L'univers de Lovecraft, de l'avis commun, reflétait bien plus les contradictions intérieures de l'auteur, sur le monde qui l'entourait. Homme qui se sentait oppressé par tout ce qui bougeait dans ce monde en modernisation, le romancier aura fini par élaborer des livres à la hauteur de ses angoisses. 

Une adolescente aux cheveux teints en vert, qui peint, sculpte et dessine des créatures terrifiantes. Une jeune garçon, graffeur, dont l’oncle tient une librairie d’ouvrages anciens. Et un psychopathe décidé à offrir une porte d’entrée sur le monde à la divinité maléfique qu’il sert. Le tout avec des teintes d’un vert radioactif : voici le premier tome du Cercle de Providence. Évidemment, avec quelques tentacules…

Mise à jour début février, l’application Cthulhu Virtual Pet séduira les trentenaires en manque de Game Boy, tant son graphisme est calqué sur la vieille console portable de Nintendo. Le principe se double de celui décliné sur les Tamagotchi : nourrir une bestiole virtuelle et la chérir, avec tendresse et amour. En l’occurrence, la bestiole n’est autre que Cthulhu, la créature de Lovecraft.