D'abord ils ont tué mon père film

Netflix s'est encore offert les services d'une star avec la production de D'abord ils ont tué mon père, réalisé par Angelina Jolie. L'actrice et réalisatrice a adapté pour l'écran les souvenirs de Loung Ung, tels qu'ils sont racontés dans son livre homonyme.

Le nouveau roman de Pietro Grossi (traduit par Nathalie Bauer) exerce sur le lecteur une emprise très particulière. Certes il y pénètre sans difficulté mais la place qu'il se fait à l'intérieur du récit, l'aisance qu'il cherche à trouver pour se laisser porter par l'histoire ne sont pas immédiates, exigent plusieurs pages ; une adaptation en quelque sorte.

ROMAN FRANCOPHONE - Mon père, ma mère, mes tremblements de terre, un titre qui pourrait suffire à résumer cette épopée immobile de quatre heures dans laquelle nous embarque Julien Dufresme-Lamy pour son cinquième roman. « Heure de la mort de mon père 14h54. » Le père de Charlie vient d’entrer au bloc, derniers moments de complicité avant le grand saut. Au deuxième étage de la clinique, dans la salle d’attente, l’adolescent de 15 ans sera notre guide dans ce compte à rebours. Au sortir de tout cela, la fin de deux années de séismes, Aurélien, son père, sera enfin Alice. « Une mort, pas vraiment. Une absence pour toujours. »

« L’Autofictif » ne se raconte pas : il se déguste. Du 18 septembre 2009 au 17 septembre 2010, Éric CHEVILLARD accumule les aphorismes au rythme effréné de trois par jour ! S’y glissent, de temps en temps, quelques brins de poésie rimée mais y figurent surtout quelques sentences parfois acerbes, acérées souvent inquiètes et introspectives.

Le studio d'animation Folivari ne s'arrête plus : alors que Le Grand Méchant Renard, adapté de la bande dessinée de Benjamin Renner, doit s'installer en salles d'ici quelques semaines, on découvre la bande-annonce du long-métrage Les Nazis, mon Père et Moi, réalisé par Rémy Schaepman d'après un livre de Robert H. Lieberman.

Pete Wentz a appelé son fils Mowgli, parce que Kipling est cool

Sorti en 2014, Mon fils est le douzième film du réalisateur israélien Eran Riklis. Il raconte l'histoire d'Eyad, un brillant élève arabe israélien qui rejoint un internat à Jérusalem : après des difficultés avec ses camarades, il s'intègre finalement très bien...

un album magnifique, très sensibleEditions de la Martinière,

BONNES FEUILLES - Guillaume est « différent », du moins c'est ce que disent les adultes. Lui ne voit pas le mal : qu'est-ce que cela peut bien faire, qu'il mette des robes et danse devant sa webcam, qu'il tombe amoureux de François et de Mathis et de Jordan ?

Auteur de Autobiographie d’une courgette, le roman adapté en film d’animation et de multiples fois couronné, Gilles Paris a collaboré avec l’illustratrice Aline Zalko, pour un roman d’apprentissage. Entre école, enfance et douleurs, Inventer les couleurs, c’est la relation entre un père et son fils qui se dévoile.

RentreeLitteraire2023 - Malgré cette sorte de douceur ou de réserve élégante, entre nous la drôle de guerre n’avait jamais cessé. Et il y avait par-dessus tout cette habitude d’être ailleurs, un ailleurs sans véritable endroit où personne, pas même mes frères aînés, me disais-je, ne tentait de le suivre, ne sachant dans quelle direction le chercher.

Le dernier long-métrage en date issu de l'univers de Naruto, Boruto, a d'ores et déjà battu, au démarrage, tous les autres films issus de la célèbre franchise. Le manga original s'est terminé en novembre 2014 au Japon, mais l'engouement pour la série ne semble pas décroître. Sur les trois premiers jours d'exploitation en salles, le film a engrangé pas moins 680 millions de yens, soit environ 4,9 millions €.

Toujours à la recherche du livre idéal pour vos bambins ? Celui qui saura allier valeurs et créativité, tout en évitant bien sûr de

ROMAN FRANCOPHONE - Oublier mon père, c’est Alexandre qui nous raconte son enfance, une enfance marquée par un profond mal-être. Mais, paradoxalement, dans l’écriture, la douleur de vivre n’est pas perceptible dans cette remémoration. Ce sont les regards des autres sur lui qui peuvent parfois lui faire prendre conscience qu’il est possible de vivre autrement. Et de réécrire son histoire.

Rentreelitteraire23 – Suite au décès de son père, Amine est contraint de retourner à Trappes, sa ville natale. C'est dans ce contexte franco-marocain que le jeune pianiste découvre des cassettes audio enregistrées année après année par son père suite à son arrivée en France. 

Le chien de Schrödinger plonge au fond du cœur d’un père. Un monde d’hommes aux prises avec l’amour et la mort. La douce violence que chaque être humain est voué à affronter.

Animal Lecteur : bénissez-moi mon père, parce que j'ai collectionné

Le 16 mai, le site Charlie Hebdo dévoilait les 10 finalistes de la troisième édition du Prix littéraire Charlie Hebdo. Le prix récompense depuis trois ans des textes écrits pour l’occasion par des collégiens, lycéens et étudiants. L’humour sous toutes ses formes est à l’honneur, à l’image du journal. « On veut de la folie, de l’originalité, de l’irrévérence ! »

Père d’un enfant de six ans, mort dans la fusillade survenue à l’école élémentaire Sandy Hook, Leonard Pozner poursuit actuellement en diffamation l’auteur d’un ouvrage conspirationniste. Selon James Fetzer, la tuerie de décembre 2012 est résumée dans le titre de son essai : « Nobody Died at Sandy Hook. » Personne n’est mort. Vraiment ?

Deux frères, leur père, au bord d’un lac duquel surgissent de temps à autre des cadavres d’un autre temps. Cette terre des fils, elle est ravagée. Presque stérile. Et ils sont peu nombreux ceux qui la foulent encore après un cataclysme les ayant tous renvoyés à l’âge du fer. Eh oui, c’est encore une histoire de fin du monde... 

Voilà six semaines, débutait l’aventure de la publication pour Marc Varence : manuscrit achevé sous le bras, il part en quête d’une maison qui se retrouver dans son livre, et acceptera de le publier. Toute cette histoire, si commune et si méconnue pourtant, est relatée dans un billet hebdomadaire. Soumettre le livre, c’est s’exposer, et accepter des critiques qualitatives sur la narration. Première règle du Fight Club : on ne parle pas du Fight Club. Deuxième règle : on ne se réjouit pas des seules critiques de ses proches. Manuscrit Story, épisode #5.

Le plus compliqué, quand on est la fille de Donald Trump, c’est que toutes les âneries du père retombent sur sa progéniture. Et quand bien même cette dernière se décide à formuler une déclaration pertinente..., il se trouve que son géniteur avait déjà miné le terrain. Pas simple d’être Ivanka Trump ?

Et si l'on vous proposait un petit voyage en direction du Mexique, avec voyage dans le temps en prime, dans les années 1910, alors que la révolution gronde aux portes des États-Unis.

BONNES FEUILLES - L’histoire du grand empire qui a triomphé d’Athènes. À la fin de sa brève existence, à 32 ans, Alexandre le Grand avait éclipsé la grande puissance perse, traversé l’Hindou Kouch et pénétré dans ce qui est aujourd’hui le Pakistan : son empire s’étendait de la mer Adriatique au sous-continent indien. Mais son succès n’était pas seulement le produit de son génie personnel. 

AVANT-PARUTION – La rentrée littéraire se prépare, avec des programmes repensés. La Manufacture du livre a fait le choix de ne publier qu’un livre de littérature blanche — et un premier roman. Il s’agit de Ce qu’il faut de nuit, de Laurent Petitmangin, qui sortira ce 20 août. Évidemment, nous vous proposons d’en découvrir un extrait.

ROMAN FRANCOPHONE - C'est l'histoire d'un père qui élève seul ses deux fils. Les années passent et les enfants grandissent. Ils choisissent ce qui a de l'importance à leurs yeux, ceux qu'ils sont en train de devenir. Ils agissent comme des hommes. Et pourtant, ce ne sont encore que des gosses. C'est une histoire de famille et de convictions, de choix et de sentiments ébranlés, une plongée dans le cœur de trois hommes. Ce qu'il faut de nuit de Laurent Petitmangin fait partie des 5 titres sélectionnés pour le Prix des Libraires 2021.

BONNES FEUILLES – Un roman intime et politique qui nous plonge au cœur de la guerre froide et dans la pensée complexe du père de la bombe. Robert Oppenheimer aimait les femmes, courser les trains au volant de sa puissante voiture, affronter les tempêtes à la barre de son bateau et galoper sur les chemins du Nouveau-Mexique. Par-dessus tout, il aimait la physique car elle réveillait en lui le philosophe, le poète.