Death Note omnibus

Le manga Death Note est terminé depuis belle lurette, et les 13 volumes de la série créée par Tsugumi Ōba et Takeshi Obata ont pu laisser des fans transis sur leur faim. Heureusement, depuis, anime, films live et drama ont fleuris... Le moment est venu de revenir aux fondamentaux avec un omnibus imposant de 2400 pages rassemblant tout Death Note.

Un tribunal russe vient de rendre justice — et les utilisateurs lui feraient volontiers rendre gorge. En effet, plusieurs sites de streaming se voient interdire la diffusion de l’anime Death Note, ainsi que d’autres mangas qualifiés de violents par la décision. Au menu, Tokyo Ghoul et Inuyashiki, qui sont également frappés d’ostracisme par le verdict.

La nouvelle adaptation du manga de Tsugumi Ōba et Takeshi Obata sera diffusée par la plateforme de vidéo Netflix le 25 août 2017. Pour l’occasion, la plateforme a dévoilé ce 22 mars un premier teaser, sombre et plein d’action.

Le musculeux Président de la fédération russe a cultivé l'image d'homme fort aux valeurs traditionnelles inébranlables : judoka, traqueur de terroristes « jusque dans les chiottes », comme il l'avait déclaré après la tragédie de Beslan, cette fois le chef de l'exécutif pourrait devenir le censeur des programmes pour enfants.

Après l'annonce du lancement tant attendu de la production de l'adaptation live, made in Hollywood, du manga Akira, c'est au tour du projet d'adaptation de Death Note de ressortir du tiroir.

Death Note fait partie, comme Naruto, de ces séries qui ont connu un tel succès que leur univers ne semble jamais destiné à s'arrêter. Alors que l'archipel est allé jusqu'à une comédie musicale tirée du manga de Tsugumi Ohba et Takeshi Obata, la série live Death Note est désormais disponible en simulcast sur Crunchyroll.

Ça pour le coup, c'est du glauque... On se souviendra que quatre personnes ont été arrêtées en Belgique suite à un meurtre bien sinistre, effectué selon une référence à un manga, Death Note.

Le manga Death Note inquiète les établissements scolaires américains

La série animée Death Note débarque sur Virgin 17

The Tracking Board indique que Gus Van Sant réalisera l'adaptation de Warner Bros du manga Death Note, écrit par Tsugumi Ohba, et illustré par Takeshi Obata. Le film racontera l'histoire d'un étudiant ayant découvert un mystérieux carnet dans lequel il suffit d'écrire le nom d'une personne pour que celle-ci meure, à condition de connaître son visage...

Les élèves d'une école élémentaire de la préfecture de Fukushima ont fini par porter plainte : un professeur qui intervenait dans des classes de CM1 et de 6e menaçait régulièrement ses élèves les plus turbulents d'une inscription dans son carnet. Sauf que ce carnet était présenté comme un Death Note, et la référence au manga n'a échappé à personne : toute personne dont le nom y est inscrit ne tarde pas à rendre l'âme...

Un nouveau tome va être mis en vente ce 4 février au Japon. Il s’agira d’un recueil de nouvelles et non d’une suite directe à la série qui a pris fin en 2006. Un lycéen un peu trop intelligent, un dieu de la mort, un mystérieux cahier… Débutée en 2003, la série est rapidement devenue un véritable phénomène. On y suivait les pérégrinations mortelles de Light Yagami, jeune homme aux ambitions totalitaires, maîtres d’un Death Note.

Espérons que les cahiers de chants ne seront pas des « Death Notes » : le célèbre manga écrit par Tsugumi Ōba et dessiné par Takeshi Obata deviendra une comédie musicale dès le mois d'avril, au Japon. Death Note, originellement publié en 2003, puis adapté au cinéma, en roman ou encore en jeu vidéo, sera bientôt chanté.

Le manga écrit par Tsugumi Ōba et dessiné par Takeshi Obata, publié en 2003, n'a pas fini d'effrayer les directeurs d'établissements scolaires : Death Note vient de faire une victime. Un élève de CM2 (5th grade) a été provisoirement exclu d'une école de l'État de Pennsylvanie pour avoir inscrit le nom de 6 de ses camarades dans un carnet qui s'inspire de celui du manga.

Voilà trois ans, un corps (ce qu'il en restait) était découvert, après avoir subi plusieurs et diverses mutilations. Différents éléments retrouvés à proximité du cadavre avaient provoqué quelques inquiétudes sur la santé mentale des meurtriers.

Un one-shot gratuit ne se refuse pas. Surtout quand il s’agit de la saga Death Note, proposée sur internet. Le scénariste Tsugumi Ohba et l’illustrateur Takeshi Obata viennent de lancer 88 pages sur Viz Media. Avec un invité de marque : Donald Trump, qui va recevoir la visite d’un shinigami, porteur du cahier de la mort.  

Il en a irrité beaucoup, ravi quelques-uns : le film live action Death Note de Netflix aura sa suite, en cours de production. Le réalisateur Adam Wingard avait laissé entendre, au moment de la diffusion du premier film, qu'il envisageait une trilogie, mais tout dépendait de la réception de son adaptation du manga de Tsugumi Ōba et Takeshi Obata.

Régulièrement, un jeune lecteur de Death Note s'inspire de la série de mangas pour rédiger lui-même un carnet avec le nom des camarades qu'il voudrait voir... mourir. Les établissements scolaires du monde entier sont très prudents lorsqu'un cas de Death Note est signalé, tandis que plane l'ombre de Columbine : dans le Connecticut, une enquête vient d'être ouverte sur un élève de 5e, qui se baladait avec son carnet noir.

Fans de Death Note, Kana vous offre un voyage au Japon

La disparition d'Akira Toriyama, un des grands maitres contemporains du manga, à l'âge de 68 ans seulement, a relancé les débats autour des cadences et charges de travail des mangakas et autres créateurs japonais. Avec une mise en avant, notamment, de l'espérance de vie estimée plus faible de ces professionnels par rapport à la moyenne de la population japonaise.

Netflix l’avait annoncé en mars dernier : la série Death Note serait l’une de ses grandes productions de l’été. Enivré par les pouvoirs d’un carnet surnaturel, un jeune homme se met à tuer ceux qu’il pense indignes de vivre. La première bande-annonce vient de sortir.

Les adaptations et les objets dérivés ne manquent pas devant un succès tel que Death Note. Après le manga, l’anime, les films live et les jeux vidéo, voici la version audio de la série animée à succès, elle-même adaptée du manga de Tsugumi Ōba et Takeshi Obata. Pas d’inquiétude, « toute personne qui écoutera la série audio Death Note ne pourra pas mourir, car on ne verra pas son visage » affirme la filiale d’Amazon. 

Non, le Death Note n'est pas encore tout à fait rempli : l'éditeur historique de la série terminée il y a plus de dix ans a annoncé un retour, signé par un des créateurs originaux, Takeshi Obata. Les premières planches de ce chapitre inédit et très attendu seront dévoilées le 13 juillet prochain, à l'occasion d'une exposition consacrée à l'œuvre de Takeshi Obata.

Dans le monde des blocs-notes, plusieurs acteurs ont déjà pris position : Onyx Boox a produit trois générations de Note, Moleskine a déployé un ensemble d’écriture avec Ellipse et Wacom a décliné une gamme assez large de produits. Le Français Bookeen, spécialisé dans les liseuses, élargit également son spectre avec Notea. Une nouvelle ardoise sur un marché qui compte déjà plusieurs opérateurs — sans qu’aucun ne soit réellement parvenu à convaincre.

Aujourd’hui, un roman de Fortuné de Boisgobey (1821-1891), Le crime de l’omnibus (1881) ; une curiosité assurément, mais dont la lecture reste un plaisir... peut-être parce que, comme le nom de son auteur, elle évoque un temps suranné. Avec ce texte, c’est tout un monde qui ressuscite, une ambiance qui annonce les enquêtes de Gaston Leroux ou de Maurice Leblanc. Plongeons-nous donc, ensemble dans le Paris de la fin du dix-neuvième siècle.

Par Hervé Bel

Velibor Colic, écrivain bosniaque vivant en France, a décidé, dans son dernier roman, Sarajevo omnibus (15,90 €, 176 pages, Gallimard), de revenir décrypter les racines de la Première Guerre mondiale, en imaginant son intrigue autour de l'assassinat de François-Ferdinand le 28 juin 1914 à Sarajevo.

Réalisé par le duo Benoît Delépine et Gustave Kervern Near Death Experience arrivera sur les écrans le 10 septembre prochain. Au casting de ce film présenté à la Mostra de Venise hors compétition, l'écrivain Michel Houellebecq. Ce dernier, après être apparu sur Arte dans une fiction le mettant au centre (voir notre actualitté), semble se refaire une santé artistique dans le cinéma.

Le Guardian lance pour la troisième année consécutive son prix littéraire : Not the Booker Prize.