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Delphine Horvilleur rabbin

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Ouvrages généraux

La Croix Hors-série : Six rencontres pour se ressourcer

Ce premier hors-série de La Croix L'Hebdo propose de suivre 6 figures inspirantes d'hier et d'aujourd'hui pour passer des vacances pleines d'esprit. Au fil de dossiers et de grandes conversations, se rencontrer avec Delphine Horvilleur (rabbin), marcher avec Charles Wright (écrivain pèlerin), résister avec Simone Weil, s'engager avec Emmanuel Mounier (philosophes), espérer avec Georges Bernanos (écrivain), et soigner avec Cécile Renouard (présidente du Campus de la transition). Un été pour se ressourcer !

06/2023

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Littérature française

Delphine

L'histoire se déroule à Paris entre 1789 et 17921. Delphine, une jeune veuve, arrange le mariage d'une de ses parentes éloignées, Matilde de Vernon, avec Léonce de Mondoville. Cependant elle tombe amoureuse de Léonce, un amour condamné par les convenances de l'époque.

01/1983

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Religion

Comment les rabbins font les enfants. Sexe, transmission, identité dans le judaïsme

A l’heure des replis communautaires et des identités figées, que signifient appartenir et transmettre ? Contrairement à ce qu’affirment tous les fondamentalismes, la transmission d’un héritage ne doit pas être une réplication à l’identique. Elle dépend d’une infidélité partielle, garante de surgissements inattendus, aujourd’hui comme hier. Mariant filiation et rupture, la tradition juive ne se renouvelle qu’en étant bousculée et nourrie par sa rencontre avec d’autres ; cela implique l’ouverture à l’Etranger, ainsi que l’ouverture au Féminin. Cet ouvrage est donc d’abord un plaidoyer pour une «religion matricielle» qui, à la manière d’un utérus, est un lieu de fertilisation. Les textes sacrés eux-mêmes y sont fécondés par des lectures inédites. Illustrant brillamment cette vision ouverte de la religion, Delphine Horvilleur revisite, loin des interprétations convenues, quelques épisodes fameux de la Genèse, notamment Adam et Eve, Caïn et Abel, l’histoire biblique des premiers parents et des premiers enfants de l’humanité. Elle montre aussi sa capacité à repenser les grands problèmes contemporains à partir de la tradition rabbinique. Trois thèmes sont successivement abordés : comment, selon le judaïsme, se fabriquent un parent, une identité et un désir, c’est-à-dire la possibilité d’enfanter l’avenir. Procédant avec clarté et humour, citant aussi bien Emile Ajar et Amos Oz que la Genèse et le Talmud, elle conclut son livre par une analogie entre le Texte et le Féminin, dotés d’une même capacité de croître et de multiplier.

10/2015

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Religion

En tenue d'Eve. Féminin, pudeur et judaïsme

Les discours religieux fondamentalistes actuels expriment une obsession croissante de la pudeur des femmes. Réduite aux parties de son corps susceptibles d'éveiller le désir, la femme est « génitalisée » à outrance, et la pudeur est invoquée pour couvrir sa nudité. Mais cette notion ne peut-elle pas renvoyer à autre chose qu'à la dissimulation et à la frustration ? Et est-ce l'unique image que la religion propose des femmes ?A la lumière des grands épisodes bibliques, du jardin d'Eden au Mont Sinaï, puis de la littérature religieuse, Delphine Horvilleur, Rabbin libéral et femme moderne, analyse successivement les sens de la pudeur et de la nudité, l'obsession du corps de la femme et sa représentation comme « être orificiel » pour proposer une autre interprétation de la tradition religieuse et mettre à mal les lectures fondamentalistes qui font de la femme un être tentateur et de la pudeur l'instrument de sa domination. Ainsi nous montre-t-elle comment la nudité recouverte d'Adam, d'Eve ou de Noé, renvoient à une culture du désir et non à une volonté de le tuer. Comment le voile est à l'origine destiné, non à rejeter, mais à approcher l'autre. Comment le féminin concerne aussi les hommes qui endossent, dans la prière et la pratique judaïques, les attributs des femmes et du maternel. On découvre alors, dans cette plongée au coeur des grandes traditions monothéistes, un autre visage de la femme, de la pudeur, et de la religion.

05/2013

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Littérature française

Il n'y a pas de Ajar. Monologue contre l'identité

L'étau des obsessions identitaires, des tribalismes d'exclusion et des compétitions victimaires se resserre autour de nous. Il est vissé chaque jour par tous ceux qui défendent l'idée d'un " purement soi " , et d'une affiliation " authentique " à la nation, l'ethnie ou la religion. Nous étouffons et pourtant, depuis des années, un homme détient, d'après l'auteure, une clé d'émancipation : Emile Ajar. Cet homme n'existe pas... Il est une entourloupe littéraire, le nom que Romain Gary utilisait pour démontrer qu'on n'est pas que ce que l'on dit qu'on est, qu'il existe toujours une possibilité de se réinventer par la force de la fiction et la possibilité qu'offre le texte de se glisser dans la peau d'un autre. J'ai imaginé à partir de lui un monologue contre l'identité, un seul-en-scène qui s'en prend violemment à toutes les obsessions identitaires du moment. Dans le texte, un homme (joué sur scène par une femme...) affirme qu'il est Abraham Ajar, le fils d'Emile, rejeton d'une entourloupe littéraire. Il demande ainsi au lecteur/spectateur qui lui rend visite dans une cave, le célèbre " trou juif " de La Vie devant soi : es-tu l'enfant de ta lignée ou celui des livres que tu as lus ? Es-tu sûr de l'identité que tu prétends incarner ? En s'adressant directement à un mystérieux interlocuteur, Abraham Ajar revisite l'univers de Romain Gary, mais aussi celui de la kabbale, de la Bible, de l'humour juif... ou encore les débats politiques d'aujourd'hui (nationalisme, transidentité, antisionisme, obsession du genre ou politique des identités, appropriation culturelle...). Le texte de la pièce est précédé d'une préface Delphine Horvilleur sur Romain Gary et son oeuvre. Dans chacun des livres de Gary se cachent des " dibbouks " , des fantômes qui semblent s'échapper de vieux contes yiddish, ceux d'une mère dont les rêves l'ont construit, ceux d'un père dont il invente l'identité, les revenants d'une Europe détruite et des cendres de la Shoah, ou l'injonction d'être un " mentsch " , un homme à la hauteur de l'Histoire. " J'avais 6 ans lorsque Gary s'est suicidé, l'âge où j'apprenais à lire et à écrire. Il m'a souvent semblé, dans ma vie de lectrice puis d'écrivaine que Gary était un de mes " dibbouks " personnels... Et que je ne cessais de redécouvrir ce qu'il a su magistralement démontrer : l'écriture est une stratégie de survie. Seule la fiction de soi, la réinvention permanente de notre identité est capable de nous sauver. L'identité figée, celle de ceux qui ont fini de dire qui ils sont, est la mort de notre humanité. "

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Littérature française

Vivre avec nos morts. Petit traité de consolation

Etre rabbin, c'est vivre avec la mort : celle des autres, celle des siens. Mais c'est surtout transmuer cette mort en leçon de vie pour ceux qui restent : "Je me tiens aux côtés de femmes et d'hommes qui, aux moments charnières de leurs vies, ont besoin de récits". La tapisserie de ce livre de consolation tresse étroitement trois fils : le conte, l'exégèse et la confession. La narration d'une vie interrompue, la manière de donner sens à cette mort à travers les textes de la tradition, et l'évocation d'une blessure intime ou la remémoration d'un épisode autobiographique dont elle a réveillé le souvenir enseveli. Les textes sacrés ouvrent un passage entre les vivants et les morts : "Le rôle d'un conteur est de se tenir à la porte pour s'assurer qu'elle reste ouverte". Et permettre ainsi à chacun de faire la paix avec ses fantômes.

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