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Dickens

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Critique littéraire

Charles Dickens

Dire que la popularité de Charles Dickens (1812-1870) fut immense est un euphémisme. Tout le monde le lisait: la Reine et ses ministres, le petit peuple et la gentry, toute l’Angleterre en somme, mais aussi les Français, les Américains, les Allemands, les Russes. Pour trouver un équivalent français à sa gloire, il faudrait additionner celle de Balzac et de Hugo, de Zola et de Dumas. Et encore échouerait-on à saisir le tacite plébiscite en vertu duquel il devint, malgré les critiques féroces que lui inspiraient bien des coutumes et des institutions de son pays, le chantre de tout un peuple. Raconter sa vie, c’est à la fois pénétrer les arcanes d’un créateur incomparable et tenter de comprendre comment les fantasmagories d’un fils de modeste fonctionnaire de province ont pu trouver pareil écho. C’est aussi aller à la rencontre d’une personnalité complexe, protéiforme, pétrie de contradictions encombrantes, mais toujours animée d’une infatigable énergie.

10/2011

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BD tout public

Dickens & Dickens Tome 2 : Jeux de miroir

Ils se ressemblent comme deux gouttes d'eau, et pourtant ils n'ont rien en commun Londres, 1852. C'est dans les bas-fonds de la capitale victorienne, où les mauvaises rencontres sont fréquentes, que Charles Dickens fait la connaissance de son double. Si le premier est un écrivain respectable débattant dans les salons parfumés des beaux quartiers ; le second est une brute épaisse s'encanaillant dans les pires bouges des faubourgs. Ils se ressemblent comme deux gouttes d'eau, et pourtant ils n'ont rien en commun. Mais en se fréquentant, les deux hommes apprennent peu à peu chacun sur eux-mêmes. L'un ne tarde pas à prendre la place de l'autre. Et inversement. Dickens & Dickens, comme les deux faces d'une même pièce.

08/2017

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Critique littéraire

Le monde de Charles Dickens

Nul n'a mieux que Charles Dickens reflété l'ère victorienne, ses contradictions et ses ambiguïtés. Et nul, peut-être, n'était plus qualifié qu'Angus Wilson, qui en subit profondément l'influence, pour en explorer le monde. Il ne s'agit pas ici d'un récit biographique, mais d'une tentative d'écrivain pour démonter les mécanismes de la création d'un autre : création proliférante comme celle d'un Balzac ou d'un Proust, à qui Angus Wilson compare souvent Dickens, aptitude à créer indéfiniment des personnages pittoresques et à les animer avec un brio qui fait oublier ce qu'ils ont de sommaire et de prévisible. Angus Wilson utilise les lettres et papiers privés de Dickens pour analyser par quelles transpositions de son expérience personnelle, quels transferts, quelles projections sont nés les personnages du père de Pickwick et de David Copperfield.

10/1972

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Critique littéraire

Trois Maîtres. Balzac, Dickens, Dostoïevski

Du Joueur d'échecs à Combat avec le démon, l'œuvre entière de Stefan Zweig est fascinée par les grandes aventures de l'esprit humain, qu'elles le mènent vers la pensée, l'absolu, l'idéal ou la folie. C'est de la création romanesque que nous parle ici le grand écrivain autrichien, à travers trois " géants " du XIXe siècle. Tous trois ont forgé un univers autonome, portant l'empreinte d'une puissante personnalité, avec ses types humains, ses lois morales, sa métaphysique. Chez Balzac, l'élan créateur exprime une volonté de puissance par rapport à la société ; chez Dostoïevski, l'affirmation d'un destin tendu entre extase et anéantissement ; chez Dickens, l'accord entre un génie individuel et les traditions d'une époque. Chacun incarne ainsi un " type " d'artiste exemplaire. Pénétration psychologique, admiration passionnée, intime complicité d'un romancier avec ses grands modèles, dont de Trois Maîtres un chef-d'œuvre critique inégalé.

10/2008

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Littérature étrangère

Dickens ou Le roman-théâtre

Cette étude se propose d'analyser l'écriture de Dickens, conçue comme un acte théâtral et la singularité d'une théâtralité paradoxalement injouable : discours indirects, non-dit des textes...

02/1992

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Révolution française

La Révolution française selon Dickens

Cet ouvrage ne prend pas parti pour une "théorie" de la Révolution française. Il propose, en revanche, une lecture prémonitoire. Il suggère que Dickens est le premier, avant Arendt et Orwell en tout cas, à entrevoir dans les tueries de 1792 et de 1793, les atrocités à venir du stalinisme et de l'hitlérisme. A sa manière, l'auteur d'Olivier Twist devine l'émergence d'un système tyrannique d'un type nouveau dans l'histoire de l'humanité. Il nous alerte sur le saut qualitatif franchi en 1792 et en 1793 dans l'aliénation des êtres humains. Selon lui, les citoyens sont en effet confrontés à deux fléaux, ce qu'il appelle la "surveillance générale" d'une part et une extermination de masse rendue plus efficace par le recours à une invention technologique qu'il estime diabolique, la guillotine, d'autre part.

05/2021

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