Recherche

Douleur

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Littérature érotique et sentim

Douceur de la laine et douleur du fouet

Nicolas et la laine, c'est une longue histoire d'amour. De surcroît, obéir, vénérer les femmes et les déifier, c'est dans sa nature la plus profonde. A l'école, il fait connaissance de Catherine, qui va profondément le troubler. Et au moment de l'obtention de son baccalauréat, sa vie sexuelle et sentimentale va brusquement basculer vers un monde de volupté, de frustrations, de douceur et de douleur. Nicolas va ensuite devenir l'esclave de Catherine, puis s'enfuir. Leurs routes vont se recroiser à plusieurs reprises, pour qu'il finisse par se retrouver dans ses griffes gantées d'angora. Et tout ceci, pour le meilleur et pour le pire.

12/2021

ActuaLitté

Troubles féminins

Couper la douleur. Vulvodynie, vaginisme, douleurs pelviennes : guérir est possible

Vulvodynie, vaginisme, douleurs lors des rapports intimes... Ces troubles sont largement méconnus alors que plus de trois quarts des femmes en ont souffert dans leur vie. Pourtant, comme l'endométriose avant elles, ces affections vulvaires et périnéales ne font l'objet d'aucune recherche scientifique approfondie. Dans ce livre pensé comme une enquête intime, Lisa Dayan retrace les dix années durant lesquelles elle a souffert de vulvodynie et de vaginisme. Elle livre ses sensations, son errance, les étapes de sa guérison. Et son parcours de soin qui fut un lent chemin de violences : celles de médecins qui ont coupé une partie de son corps, alors qu'elle voulait couper sa douleur, la faire disparaître. Son récit n'a qu'un seul but : aider les femmes qui sont atteintes de ces troubles, en exposant les solutions médicales qui pourtant existent.

02/2024

ActuaLitté

Témoignages

La douleur ! quelle douleur ?

Au départ, Lorie et son corps, ce sont plutôt des alliés. Mais au fil des années, des douleurs quotidiennes s'installent. Des douleurs de plus en plus fortes, à ne plus pouvoir travailler, à ne plus pouvoir marcher, à compter les opportunités manquées. Jusqu'au verdict : endométriose et adénomyose. Des cellules de sa paroi utérine se développent de manière anarchique dans son organisme. Pour revivre, cette jeune femme presque comme les autres a dû prendre la décision de mettre ? n à cette douleur invalidante, en choisissant de se faire enlever l'utérus. Traitements, tentatives, questions... en un récit d'une transparence folle, d'une honnêteté sans limites, Lorie s'engage pour faire connaître ce mal qui touche 10 % des femmes.

03/2024

ActuaLitté

Religion

Notre-Dame des Douleurs. Lourdes et le livre de la douleur

L'intérêt et le charme des écrits du P Marie-Antoine résident dans la diversité des éclairages du sujet qu'il aborde. Porteur de l'Evangile du Christ, héritier des enseignements des Pères de l'Eglise, comme de la tradition et des révélations qui ont nourri les siècles, il arrose le tout d'un amour viscéral pour Marie, ancré dans une foi toute franciscaine en Dieu et son projet pour nous, en l'Eglise corps du Christ. Et on peut compter sur sa fibre missionnaire pour mettre tout cela, avec détermination, au service du salut des hommes. Pédagogue, clair dans ses propos, il emploie des mots à la fois de chair et d'esprit, nous entraînant, au fil des pages, dans un monde bien loin des habillages et des dépouillements de notre siècle, mais qui parle, pour peu qu'on y jette le regard du coeur, à notre humanité en mal de divinité. Ce "Livre de la Douleur" passe tout naturellement par Lourdes dont il fut l'apôtre infatigable et le confesseur inspire des âmes et des corps malades à la recherche de consolations et de pardon. Lourdes où l'Immaculée-Conception "extase de Dieu" au sourire radieux rejoint par amour la Mère de toutes les douleurs humaines. En introduction dans cette édition, l'homélie de Benoît XVI a Lourdes en 2008 pour la fête de Notre-Dame des Douleurs, donne toute la mesure de la compassion du ciel pour la terre. "expression juste, dit le Pape, de la relation vivante et profondément humaine qui nous lie à celle que le Christ nous a donnée pour Mère".

02/2014

ActuaLitté

Littérature étrangère

Douleur

Dix ans après avoir été blessée dans un attentat, Iris semble avoir surmonté le traumatisme. Malgré des douleurs persistantes, des problèmes avec ses enfants et un mariage de plus en plus fragile, la directrice d'école ambitieuse et la mère de famille engagée qu'elle est s'efforce de prouver qu'elle contrôle la situation. Tout bascule cependant le jour où elle reconnaît, sous les traits d'un médecin qu'elle consulte, Ethan, son premier amour, qui l'avait brutalement quittée lorsqu'elle avait dix-sept ans. Dans un vertige sensuel et existentiel, Iris éprouve alors la tentation de faire revivre cette passion qu'elle croyait éteinte : et si une seconde chance se présentait à elle ? Ce roman aussi puissant que subtil dévoile les séquelles que le passé peut laisser sur les corps et les esprits, tout en interrogeant notre capacité à faire des choix, au moment même où la vie nous renvoie à l'essentiel.

02/2017

ActuaLitté

Poésie

Douleur

Holan est né à Prague en 1905. Il a connu la fondation de la Tchécoslovaquie, l'occupation hitlérienne, la libération par l'Armée rouge, le régime soviétique. Il renonce alors à l'idéologie communiste et se retire du monde pour se consacrer à l'écriture. Après une interdiction de publication pendant près de vingt ans, l'horizon s'ouvre à partir de 1964 : Une nuit avec Hamlet est traduit dans une dizaine de langues et publié chez Gallimard (préfacé par Aragon), il reçoit le Grand Prix d'Etat, il est même pressenti pour le prix Nobel. Mais ces appels du monde ne suffisent pas à rompre sa solitude et il meurt en ermite en 1980. Cet "enfoncement en lui-même" est pleinement voulu : Holan est le poète de l'espace intérieur. Il est comme "le gardien de la maximalité du coeur" (Dominique Grandmont) : "Un tel amour / que tu n'as pas assez du monde, ne serait-ce que pour un pas". ("Il y a"). A la conscience, il préfère l'intuition. Au vivre, l'être. Aux mots, "un poème si simple et si limpide (...) qu'il ne puisse qu'être invisible" ("Témérité"). C'est là cette "dette" envers lui que se reconnaît Bouvier, qui signe la préface du présent recueil : "Cette impossibilité à dire absolument la création, cette marche nocturne et tâtonnante vers un point d'eau que la fugacité, la précarité mais aussi la lourdeur de la condition humaine nous interdisent à tout jamais d'atteindre, est sans doute le plus grand cadeau qu'un vivant puisse faire à son semblable". Douleur et Une nuit avec Hamlet sont les deux grandes oeuvres de Holan, découvertes par les lecteurs francophones surtout grâce au traducteur Dominique Grandmont, lui-même poète, et qui disait de lui : "Sa parole n'était que la partie émergée de son silence, son brasier intérieur". Dans sa préface à Une nuit avec Hamlet, Aragon lui rend à son tour un vibrant hommage : "Il est le plus haut des arbres de la forêt tchèque, celui qui est le plus près de l'orage, et ses yeux reflètent naturellement les éclairs" . Car cette oeuvre réputée sombre est pourtant fulgurante et souvent tout simplement lumineuse. Et surtout, empreinte d'un amour (complexe) de la poésie dont Holan fait, pour ainsi dire, son manifeste : "... car la poésie ne consent à nous parler qu'à une condition, à la seule mais inexorable condition de l'aimer. Je ne dis pas cela dans le vide : On ne peut rien faire sans amour. Sans amour, on ne peut même pas mourir". (Sur la poésie, 1940). Avec notre recueil Douleur, publié pour la première fois en 1967 par Pierre Jean Oswald et réédité chez Metropolis en 1994 grâce à l'intervention de Nicolas Bouvier, c'est une poésie de la sobriété, qui ne cède pas au moindre artifice, qui ne se veut même pas littéraire : "C'est ce qui n'est que poésie qui tue la poésie" ("Et de nouveau"). Une poésie qui ne demande qu'à s'invisibiliser pour rejoindre le monde, dans son impression la plus brute, la moins médiatisée possible. Cette disparition, ce tremblement de légèreté, pour reprendre les mots de Nicolas Bouvier, Holan en fait l'acte poétique par excellence. Que la forme poétique de ses textes ne fait que préparer, et dont ils ne donnent, comme par une infinie humilité qui n'est rien de moins que leur titre de noblesse, pas plus que le titre : "Même le poème le plus long du monde / n'en reste qu'au titre et la fin manque" ("L'automne à Vsenory").

03/2024

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté