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Dzigar Kongtrül

Extraits

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Bouddhisme

Le Coeur intelligent. Manuel pour vivre en compassion

" Le corps et la parole n'étant que les serviteurs de l'esprit, l'entraînement de l'esprit, lojong en tibétain, est au coeur de la voie bouddhiste. C'est à cet entraînement qu'est consacré cet ouvrage aussi limpide qu'inspirant. Merci à Dzigar Kongtrul Rinpoché de nous aider sur le chemin d'une bienveillance inconditionnelle. " Matthieu Ricard Et si tout le malheur du monde venait de notre nombrilisme ? C'est ce que Dzigar Kongtrul, s'appuyant sur une tradition bouddhiste millénaire, soutient. L'importance que l'on accorde au moi, cette " canaille " à l'origine de tous les affects qui nous empoisonnent (attachement, agressivité, jalousie, arrogance, stupidité), en nous aliénant, nous empêche d'être heureux. Tiré d'une série de conférences données dans le monde entier, Le Coeur intelligent suggère de remédier à nos maux en éveillant la compassion enfouie en nous. Sans se départir de son optimisme ni de son humour, Dzigar Kongtrul offre ici des conseils éclairants pour accéder à une compassion radicale, source de paix et de joie. Des ouvrages comme celui-ci sont précieux par les temps qui courent, plus précieux à chaque jour qui passe, à chaque dixième de degré supplémentaire de réchauffement climatique, à chaque nouvelle élection qui hisse au pouvoir toujours plus de narcissisme.

03/2022

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Bouddhisme tibétain

La Tendresse en partage. Enseignements bouddhistes sur le tséwa : ouvrir son coeur et changer le monde

Indissociable de l'illumination, proche de la compassion et de la bienveillance, le Tsewa est un thème clé du bouddhisme tibétain. Dzigar Kongtrül prend l'amour maternel comme modèle : avant même de savoir qui est ou ce que deviendra le nouveau-né, une mère aime son enfant inconditionnellement, et c'est là le mouvement initial du tsewa. C'est uniquement parce que cette capacité d'amour et de bienveillance existe en nous qu'il est possible de survivre après la naissance et de devenir adulte. Sans ce flot constant d'affection reçue et donnée, il n'y a pas d'humanité. Présenté comme une conférence devant un public, ce guide très plaisant à lire suit un déroulement simple et logique. Qu'est-ce que le Tsewa ? Comment ça marche ? Comment activer cette qualité et vaincre les résistances, les attachements du moi qui s'y opposent ? Le Tsewa, c'est l'eau indispensable à toute croissance qui fait germer et fleurir la graine naturellement présente en nous. Le cultiver est ce qui permet de revitaliser le coeur humain sans cesse agité entre ses différents affects, désirs, illusions. C'est s'entraîner à la tendresse contagieuse et soigner le monde de ses maux les plus graves en commençant par ceux qui nous affligent à demeure.

04/2021

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Cinéma

Le ciné-oeil de la révolution. Ecrits sur le cinéma

Dziga Vertov est à la fois très connu pour son film L'Homme à la caméra (1929) et mal connu tant son oeuvre est profuse, multiple, éparse. A partir d'un choix de ses textes, soit inédits soit dont les traductions ont été revues et complétées, assortis d'un appareil critique permettant de les situer dans les débats de leur temps comme d'en percevoir les promesses pour le nôtre, cet ouvrage souhaite remettre en circulation la pensée vertovienne dans sa complexité. Sa tentative de saisir "la vie à l'improviste", les "faits", afin de faire émerger une "Ciné-Vérité" fondée sur le regard appareillé du "Ciné-Oeil" et le pouvoir analytique du montage, suit ici un parcours qui va des années 1910-1920 aux années 1930-1950, de son rôle de pionnier, en phase avec les événements politiques, à sa marginalisation progressive. Le projet de Vertov de s'emparer des techniques d'enregistrement, de montage et de transmission d'images et de sons, afin d'"organiser" la vue et l'ouïe des travailleurs et les faire participer au nouvel ordre social issu de la révolution de 1917, trouve de nos jours un nouvel éclairage dans la perspective d'une "théorie des médias" qui étudie les articulations techniques des formes d'expérience et de connaissance.

01/2019

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Religion

La grande voie d'éveil. Les instructions de l'apprentissage spirituel de la voie universelle, en sept points, en une présentation aisée pour le commun - Edition bilingue français-tibétain

Ouvrage clé du bouddhisme tibétain. En version bilingue : tibétain - Français.

09/2019

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Religion

Traité de la continuité suprême du grand véhicule. L'incontestable rugissement du lion

Dans le corpus des textes bouddhistes indiens, La Continuité suprême du Grand Véhicule (Mahayana-uttaratantra-sastra) est le principal traité consacré à la nature de bouddha. Depuis son apparition au Tibet au XIe siècle, ce texte a conquis le coeur et l'esprit de nombreux lettrés et pratiquants, soulevé d'importantes questions doctrinales et animé d'incessants débats qui ont donné lieu à une abondante exégèse. Or, malgré les positions divergentes des commentateurs de ce traité qui s'inspire des "soûtras du tathagatagarbha", propres au troisième cycle des enseignements du Bouddha, cette oeuvre ne se laisse enfermer dans aucun système particulier. Par-delà la logique des vues scolastiques, elle exalte surtout l'immensité immaculée que nous portons en nous depuis l'absence de commencement. Dès lors que cette quintessence pure et lumineuse est dégagée des voiles adventices, la sagesse née d'elle-même se révèle comme un soleil libre de nuages. Une fois éveillées, les qualités peuvent alors s'exprimer et accomplir sans effort les activités destinées au vaste bien des êtres. C'est donc à l'ineffable Eveil que nous invite la lecture de ce livre où l'on trouvera les strophes originales du traité indien et les explications du célèbre maître tibétain Jamgön Kongtrul. Trait d'union entre les soûtras et les tantras, ce traité révèle la présence immédiate et parfaite du fruit au moment de la voie. Pour les adeptes du mahãmudrã, qui appréhendent la base, la voie et le fruit sous l'angle de la dimension absolue, le présent traité est autant un fondement théorique qu'une méthode pratique.

05/2019

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Beaux arts

La ville magique

Magie lumineuse des plaisirs et de la fête, magie noire des foules menaçantes : pour de nombreux artistes, la ville est magique. Familière et pourtant étrange, elle fascine et inquiète. Lieu de la modernité et de la création artistique, la ville n’est plus un simple décor. Dès la fin du XIXe siècle, la ville, perçue comme lieu de tous les possibles, tous les plaisirs, et toutes les innovations, devient chez certains artistes le personnage principal de quelque conte fantastique. Après la Première Guerre mondiale, le phénomène se généralise et la ville moderne génère plusieurs mythes successifs, de New York à Paris, en passant par Berlin. Pendant quatre décennies, des artistes de tous horizons proposent leur vision de la métropole, tour à tour fascinante, étrange ou menaçante. Une inquiétante étrangeté hante les oeuvres de Giorgio De Chirico, René Magritte, Paul Delvaux, Edward Hopper, Georgia O’Keeffe, Victor Brauner, George Grosz, Anton Räderscheit, Carel Willink, Pyke Koch… et de la fine fleur de l’avant-garde photographique et cinématographique internationale (Brassaï, Ilse Bing, Louis Faurer, Heins Hajek- Halke, Raoul Hausmann, Lucien Hervé, André Kertész, Umbo… ainsi que René Clair, Howard Hawks, Fritz Lang, Walther Ruttmann, Charles Sheeler et Paul Strand, Dziga Vertov…).

10/2012

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