E Ink iPhone technologie

Lifehacker partage des trucs et astuces postés sur le site par la communauté de ses fidèles. C'est ainsi que le weblog a exposé hier à ses lecteurs une technique simple, qui devrait donner l'illusion que nos écrans disposent de la technologie d'encre électronique. Celle-ci est réputée optimiser le confort de lecture.

La société E Ink fait de régulières présentations de sa technologie Triton, permettant l'affichage de couleur sur un écran à encre électronique. Présentant des résultats qui n'étaient pas particulièrement probants pour l'heure, les vidéos de présentation n'ont pas manqué.

Dans le domaine de la lecture numérique, l'encre électronique est une technologie bien connue, qui reste la plus confortable pour les ouvrages ne comportant que du texte - ce qui n'empêche pas que les lecteurs ebook soient supplantés, pour l'usage, par les smartphones et tablettes. Les constructeurs poursuivent alors leurs développements, pour diversifier leurs sources de revenus.

Les recherches sur l’encre électronique débutent à la fin des années 1990 au sein de la société E Ink pour offrir un meilleur écran aux liseuses en attendant le papier électronique. E Ink présente le prototype de son écran en 2002 et le commercialise en 2004. Un projet un peu différent est la technologie Gyricon développée par Xerox. Radicalement novateur lui aussi dans un domaine connexe, le projet @folio voit le jour en France dès 1996 mais reste malheureusement à l’état de prototype faute de soutien financier.

Les recherches sur le papier électronique sont en cours dès 1997. Ce support aura une densité comparable au papier plastifié ou au transparent. Il pourra être utilisé indéfiniment, avec un contenu changé à volonté via l’internet.

L’encre électronique sera-t-elle au cœur de prochains mobiles de la firme Apple ? Spéculation, information ou rumeur, toujours est-il que les iPhone disposeraient d’un double écran, dont le second serait fourni par E Ink Holdings. 

Parce qu’avec l’émergence d’Internet, il ne s’est pas seulement développé ce réflexe un peu facile qui pousse les consommateurs à acheter un livre en un clic sur la plateforme de Jeff Bezos... Parfois, de jolies idées émergent, qui servent à bon escient les librairies traditionnelles. 

Alors qu'il terminait la cérémonie de présentation de son smarphone, le Fire Phone, le grand patron d'Amazon a été interpellé par de nombreux fans. Et l'un d'entre eux, ironiquement, lui a présenté son iPhone pour recueillir une dédicace. Cela n'a pas manqué d'amuser Jeff Bezos qui s'est pris au jeu, rapporte le site Tuaw.

La holding E-Ink a annoncé que ses recettes pour le premier semestre de 2011 étaient de 600 millions de dollars (environ 426 millions d’euros), soit une augmentation de 67% de plus que l’année dernière.

Karel Čapek (1890-1938) fait ses études à la faculté d’Arts de l’Université Charles, à celle de l’Université Friedrich Wilhelm à Berlin et à la faculté des Lettres de la Sorbonne à Paris. Il est intéressé par diverses disciplines dont la philosophie, l’esthétique mais aussi par les études du tchèque et de l’allemand. 

Si Amazon (ré) affirme sa foi inébranlable dans son smartphone, le Fire Phone, la raison qui pousse la firme à proposer pour 99 cents l'appareil avec un abonnement de deux ans chez AT&T, reste confuse. Surtout qu'en plus, les clients obtiennent une année de service Amazon Prime en cadeau. Difficile de ne pas croire que le bateau a pris l'eau, et qu'il faut sauver les meubles.

Sony s'immisce entre l'iPhone et l'iPad avec un PSP Phone ?

La dernière étude du School Library Journal, intitulée 2012 School Technology Survey, révèle que les bibliothécaires scolaires et autres spécialistes des médias ouvrent la voie à l'apparition des nouveaux médias, des appareils mobiles et autres technologies basées sur internet, au sein des établissements d'enseignement.

La période de fin d'année se prête à toutes les études statistiques. Et voila que Forrester Research a publié le rapport de sa dernière enquête annuelle, States of Consumers and Technology. Celle-ci s'intéresse aux comportements des consommateurs américains face aux nouvelles technologies de l'information et de la communication. Une enquête basée sur des données concernant 60.000 personnes vivant aux USA et au Canada.

L'intérêt pour les technologies d'écran de Liquavista ne pouvait pas se faire mieux sentir. Selon la chambre de commerce des Pays-Bas, le Coréen Samsung vient de faire main basse sur la société, en rachetant purement et simplement l'entreprise.

#DemainLeLivre – Découvrir l’industrie et ses métiers — la chaîne du livre, selon l’expression consacrée —, voilà le lot des étudiants de Master 1 en apprentissage. À travers la formation Commercialisation du livre, les voici engagés dans l’édition. Au fil de billets d’humeur, ActuaLitté propose des témoignages de celles et ceux qui seront les professionnels de demain.

Chaque année, ce sont 2,2 millions de livres qui sont publiés partout autour du globe, selon l’Unesco. Un chiffre impressionnant, qui comprend à la fois les titres de fiction et de non-fiction. Des romans, des recueils de poésie ou des essais, tous écrits de manière peut-être conventionnelle – sauf pour quelques créatifs, qui souhaitent chercher plus loin et explorer les possibilités offertes par la technologie. Tiens donc...

Et si tourner une page était plus compliqué que ce que l'on veut bien croire ? La société Qualcomm vient justement d'acquérir quelques brevets lui permettant de mieux définir les gestes, par un outil de reconnaissance idoine.

L’ère numérique est souvent perçue comme une menace aux librairies traditionnelles. Mais le lancement hier du magasin Reading’s Ebook, mettant à profit une nouvelle technologie développée à Melbourne, pourrait offrir aux librairies indépendantes la possibilité de prospérer dans un monde nouveau.

Technologie, fétichisme et conservatisme : vive la lecture

La technologie d'encre électronique de E Ink, pile à l'heure...

Le rassemblement annuel de la Society for Information Display (SID) s'est tenu en juin dernier à Boston, le temps de quelques jours qui ont réunis technophiles et constructeurs. Le SID 2012 a notamment été marqué par les démonstrations de la société E-Ink, qui a dévoilé son nouvel écran, le Triton 2, mais également de nouveaux usages de la technologie d'encre électronique.

Le monstre taïwanais de la fabrication d'écran à encre électronique s'apprête à exploser plus encore ses concurrents. Ça risque d'éclabousser gentiment, alors que le DigiTimes annonce une vente de 60 millions d'actions. Une décision de E Ink Holdings, la société mère, et qui concerne les trois firmes E-ink, Sipix, et Hydis.

Bisbille en Corée ? En 2008, la société E Ink Holding achetait Hydis Technologies, spécialiste des écrans LCD. L'année suivante, c'est en rachetant E Ink Corp que le groupe se développait un peu plus encore. Mais pour rester le leader dans un secteur, en l'occurrence, la fabrication d'écran à encre électronique, E Ink Holding prête le flanc aux critiques. 

La société E Ink corporation, leader sur le marché des écrans à encre électronique, technologie qui ne consomme d'énergie que pour modifier le contenu affiché, disposerait en son siège d'un écran de démonstration qui n'a pas été rafraîchi depuis novembre 2000... et celui-ci afficherait toujours une image correcte. Douze ans plus tard, il s'agirait d'un record de persistance.

Les solutions développées par Gutenberg Technology permettent de construire le contenu d’un livre de façon à ce qu’il soit par la suite possible de le publier aussi bien au format numérique qu’au format papier.

L'émergence de la lecture numérique aurait non seulement changé la donne pour les écrivains qui ne parvenaient à se faire publier par les maisons traditionnelles, mais également façonné de nouvelles habitudes pour les publics rencontrant des difficultés à lire. Tandis qu'au Royaume-Uni on dénombrerait un lecteur adulte sur six déclarant lutter avec les écrits, l'organisme de bienfaisance Quick Reads, lancé en 2006, a récemment publié les résultats d'une enquête démontrant les bienfaits de l'ebook sur les comportements de ceux qui ont adopté la technologie. La moitié d'entre eux estime qu'elle lirait désormais plus qu'avant.