Facebook Twitter ventes

Les fonctionnalités sont pour l'instant réservées au territoire américain, ou encore en expérimentation, mais les réseaux sociaux Facebook et Twitter semblent accueillir dans leurs fils d'actualité un bouton « Buy Now ». Ce dernier permettra de vendre directement des produits via les réseaux, sans qu'il soit nécessaire de cliquer sur un lien externe, un site marchand, ou une centrale de paiement.

Si le réseau social Twitter est très efficace dans la propagation de l’information brève, il reste encore un  géant aux pieds d’argile, peinant à monétiser son audience. C’est dans ce cadre que le site américain Business Insider vient de révéler que Facebook travaillerait sur le développement d’une application pour damer le pion à son concurrent Twitter sur le terrain des alertes d’informations, les fameuses « breaking news », rapportent Les Echos.

Les réseaux sociaux sont devenus de véritables caisses de résonance. Les éditeurs ne sont pas en reste dans l'exercice qui consiste à se rendre visibles grâce à ces outils.

 Hier soir, le président des États-Unis rencontrait deux autres chefs d'État. Le premier possède une communauté de fans délirantes et complètement accros aux produits estampillés d'une pomme. Le second dirige un site qui, en juillet 2010, était le troisième état de la planète

Un Kindle désormais connecté sur Facebook et Twitter

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Un public particulièrement réceptif

Depuis son lancement, l'application iBooks, permettant la lecture de livres originellement sur iPad, et par la suite, sur iPhone, n'a cessé de croître en notoriété.... et en utilisateurs.

Comment triomphe-t-on du grand Pare-Feu de la Chine, cette Grande Muraille de la censure, qui frappe tous les internautes du pays ? Avec un Kindle 3G, tout simplement...

Mais que se passe-t-il dans le monde dématérialisé de la bande dessinée ? Sur les réseaux sociaux, Jean Sarkozy, fils de son Nicolas de papa, a décidé de se lancer dans les caricatures de presse. Et c'est sous le patronat de Joann Sfar qu'il se lance, avec un appel du pied sidérant, voyez plutôt : 

EDITO – La magie des réseaux sociaux n’a pas fini de nous embellir la vie. Bien entendu, après la fessée déculottée que Facebook vient de prendre en Bourse, tout le monde s’inquiète : la fin, pas la fin, le début de la fin ? 110 milliards évanouis d’un coup, dur pour le fondateur, Mark Zuckerberg : c’est un petit quart de la valeur de l’entreprise qui vient de disparaitre.

Le marketing numérique du livre, et plus spécifiquement, pour le livre numérique, « n'a plus rien à voir avec un sprint. C'est un relais. Comme un quatre fois cent mètres. Et notre intervention doit se faire dans la transition ». Alexandre Levasseur, directeur commercial de la société e-Dantès en est convaincu : « Plus que jamais, il importe de trouver le bon livre, à travers le bon canal, pour le bon lecteur. »

Lonely Planet attaque sur Facebook et Twitter l'exclusivité WH Smith

Facebook ici, là ou même là... la marque est désormais partout, au point que des centres commerciaux invitent leurs clients à 'Aimer' la FanPage de leur enseigne. Mais alors que le réseau social compte chaque jour de plus en plus d'adeptes, qu'est-ce que l'édition peut bien en attendre.

ENQUÊTE – Le Salon du livre de Montreuil, dédié à la presse et la littérature jeunesse, ouvrira ses portes ce 29 novembre. Innovante, diversifiée, cette production n’en reste pas moins encadrée par une loi découlant de la politique protectionniste instaurée à la fin de la Seconde Guerre mondiale. La loi du 16 juillet 49 pose en effet un cadre qui régule la diffusion des ouvrages et publications dédiées à cette belle jeunesse. Et s'est attachée les services d'une commission chargée d'examiner les oeuvres.

Il est désormais possible de vendre ou d'acheter des biens sans avoir à quitter son confortable fauteuil, ni même avoir à se sevrer de son addiction à ses réseaux sociaux favoris. Une expérience tentée actuellement par un contributeur du magazine Wired, David Wolman, qui commercialise de la sorte son ouvrage justement intitulé... The End of Money.

Réseaux sociaux ou réseaux bigots ? Une nouvelle illustration de l'esprit étroit derrière les plateformes Twitter, Facebook ou encore Instagram s'est manifestée : une auteure, gynécologue de formation, et son éditeur Kensington Books, avaient mis en place des campagnes de publicité pour son livre, The Vagina Bible (La Bible du vagin). Toutes les campagnes ont été refusées, à cause du mot « vagin ».

Accueillir plus de contenu, toujours plus de contenus, c'est le credo de Facebook, qui lance un appel du pied aux éditeurs de contenus : publier ses documents sur Facebook, c'est jeune, cool et dans le vent. Avec le nouvel outil, Stories to Share, le réseau social déploie une nouvelle entreprise de séduction. 

Pas vraiment la première fois qu'une célébrité se fait piquer son nom, pour servir de pseudonyme à un internaute, plus ou moins armé de bonnes intentions. Mieux : depuis l'affaire @Gallimard, on n'avait plus retrouvé de quoi s'amuser sur Twitter...

Kurokawa, qui signifie en japonais Fleuve Noir, appartient au groupe de maisons d’Univers poche. Spécialisé dans le manga, cet éditeur a récemment connu un délicat déboire, démontrant comme toujours la fragilité des outils sociaux — et le manque de maîtrise pour leurs utilisateurs sur ces solutions de communication.

Au Royaume-Uni, les livres se vendent-ils mieux en passant par le réseau social Facebook ? Harlequin UK, éditeurs de Mills & Boon, vient de faire appel à la société SupersonicAds' BrandConnect pour l'aider à mieux diffuser la Bonne Parole et occuper l'espace de la toile. 

Bien que recevant un très grand nombre de visites à l'appui de millions de membres, le réseau social Twitter a toujours été à la peine pour monétiser son trafic. Voilà que la structure américaine travaille à enrichir ses publicités afin de les rendre plus attractives et donc plus rémunératrices, rapporte l'AFP.

L'animateur vedette d'Apostrophes et de Bouillon de Culture vient de faire son entrée fracassante dans le monde de Twitter. En à peine une semaine, Bernard Pivot est déjà suivi par plus de 4000 personnes tandis que lui se contente de ne suivre, pour l'instant que huit personnalités amies.

Est-on toujours pleinement propriétaire de son compte Twitter ? C'est cette difficile question que devra prochainement trancher la justice américaine avec un cas encore inédit jusque-là. Noah Kravitz, employé entre 2006 et 2012 d'une société spécialisée dans le test de nouveaux produits, PhoneDog, tient un fil Twitter ayant pas moins de 17 000 abonnés.

Les contraintes d'écriture qu'impose le réseau social Twitter n'en finissent pas d'inspirer les poètes de par le monde. On le sait bien, ce n'est pas forcément dans un cadre libre que l'on se montre le plus inventif. La créativité s'épanouit souvent mieux dans un cadre contraint.

Il n’a jamais caché son agacement vis-à-vis des publicités politiques sur Facebook. Mais Stephen King n’est pas homme de demi-mesure : désormais, le roi de l’horreur abandonne le réseau de Marc Zuckerberg. Et cela n’a rien d’une infox…