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Vins, alcools, boissons

D'Yquem à Fargues

Un seul verre par pied de vigne ! Tel est le rendement idéal de production du vin de Sauternes, dû à une cueillette extrêmement sélective. A notre époque impatiente et financière, ce résultat fait figure d'extravagance. Elixir unique, "lumière bue", disait de lui Frédéric Dard, le sauternes est aujourd'hui fragilisé par la réduction des parcelles qui lui sont consacrées, au profit d'un vin blanc sec, facile à produire, et par les menaces qu'un projet ferroviaire fait peser sur l'écosystème de la région. Alexandre de Lur Saluces, fort de quarante ans d'expérience au service des domaines familiaux d'Yquem et de Fargues, dresse ici un véritable plaidoyer pour le sauternes, s'appliquant à partager sa passion et à expliquer l'élaboration de ce vin liquoreux si singulier, fruit du travail de l'homme, d'un savoir-faire ancestral, d'un terroir unique et d'un phénomène naturel miraculeux. Il offre au lecteur une plongée dans un univers hors temps, par une forme de déclaration d'amour à un nectar qui, depuis le XVIe siècle, enchante les amateurs et esthètes du monde entier.

11/2016

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Critique littéraire

Léon-Paul Fargue. Poète et piéton de Paris

Le piéton de Paris... Célèbre titre de livre, qui a longtemps servi à désigner Léon-Paul Fargue (1876-1947) lui-même, dont voici la première biographie. Mais Fargue n'est pas seulement le chroniqueur, le mémorialiste éblouissant d'une capitale dont il connaît tous les secrets. C'est aussi l'adolescent inquiet de Tancrède, le rêveur de Poèmes, le fantaisiste débridé de Ludions, le poète onirique de Vulturne et de Haute Solitude, l'amateur de contrepèteries et de vocables cocasses, l'ami d'Alfred Jarry, d'Erik Satie et de Valery Larbaud. Cette biographie - nourrie de nombreux documents inédits - nous entraîne du symbolisme au surréalisme, de la Belle Epoque aux Années folles, puis au Paris de l'Occupation. Nous y découvrons un homme à la fois pittoresque et complexe, parfois déroutant. Nous croisons Debussy, Ravel, Valéry, Cocteau, Joyce, Claudel, Léautaud, Saint-Exupéry, Picasso, des princesses et des femmes du monde. D'un siècle à l'autre, Fargue, constamment poète, n'aura fait que pourchasser l'immense variété de vivre.

01/1997

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Critique littéraire

Andre Beucler - Léon-Paul Fargue. Correspondance 1927-1945

André Beucler et Léon-Paul Fargue se sont connus en octobre 1924, dans le bureau de Gaston Gallimard, au seuil d'une amitié qui devait durer jusqu'à la mort du "Piéton de Paris", en 1947. La différence d'âge des deux écrivains - 22 ans - ne les empêcha pas de se comporter comme des frères, le ton de leur correspondance le montre assez, entre complicité, espièglerie mais aussi forte solidarité dans les moments difficiles. On trouvera dans ces lettres le témoignage de leur intense travail commun, participant d'une vie culturelle foisonnante, de leurs nombreuses relations littéraires, artistiques, politiques, au cours de cette période mouvementée que fut l'entre-deux-guerres.

03/2014

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Littérature française

Beau rôle

Jeune premier plus si jeune ayant connu succès public au cinéma cherche rôle aux côtés actrice célèbre. Présente signe particulier mais demande être jugé sur pièce. Metteurs en scène franco-français s'abstenir.

01/2008

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Littérature française

Je ne suis pas une héroïne

"Tu as trente ans et tes aventures se suivent et se ressemblent. L'amour, tu commences chaque fois par t'en faire un film toute seule. Puis tu le portes à bout de bras jusqu'à ce que les masques tombent, surtout celui que tu t'es collé toi-même sur les yeux. Alors, imagine : entre ta petite vie sans histoire à Paris et une rencontre incertaine à l'autre bout du monde, toi, tu ferais quoi ? Ne me dis pas : "J'irais parce que je n'aurais rien à perdre". Et si cette fois, justement, tu avais tout à y perdre ?"

01/2018

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Littérature française

Au pays du p'tit

"J'enseigne la sociologie à l'université et j'ai 44 ans. Je viens de publier une étude violemment critique sur la culture et les moeurs françaises et je n'accorde plus d'importance à grand-chose dans la vie. Sauf, peut-être, aux femmes et aux voyages. Je dis peut-être parce que ce n'est pas aimer les femmes que de jouer avec leurs sentiments à des fins exclusivement prédatrices. Quant aux voyages, si c'est par haine de mon propre pays que j'y consens, je n'en vois pas l'intérêt non plus".

08/2015

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