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Prix du livre de la Ville de Lausanne 2024 : 10 ans déjà

Depuis son inauguration en 2014 par le Service des bibliothèques & archives de Lausanne, responsable de la stratégie littéraire, le Prix du livre de la Ville de Lausanne s'est consacré pendant une décennie à soutenir les auteurs de Suisse romande et leurs fidèles lecteurs. Une odyssée littéraire qui promet de perdurer !

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Prix des lecteurs de la ville de Lausanne 2022 : une récompense mondiale

Du 15 janvier au 15 mars 2022, les cinq romans en lice pour le Prix des lecteurs de la Ville de Lausanne 2022 vous sont offerts en lecture libre. Découvrez, lisez, votez !
 

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Festival du Livre de Paris 2022 : entre renouveau et contestations

Du 22 au 24 avril, le Grand Palais Éphémère accueillera éditeurs, auteurs et lecteurs pour le retour de l’événement parisien. Après deux années d’annulation, du fait du COVID, Livre Paris devient le Festival du Livre de Paris, avec une nouvelle approche : gratuité d’entrée, espaces thématiques, le tout à quelques pas de la tour Eiffel.

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États généraux des Festivals et des Salons du livre

Les 16 et 17 mars 2023, à la Maison de la Poésie, se tiendront nombre de débats organisés par La Sofia. Au cœur des échanges, la vie, l’organisation et les problématiques que rencontrent les événements littéraires en France. Deux journées dont les débats sont à réécouter, en intégralité.

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Poésie, musique et légendes : découvrir l'Afrique

Continent exploité des siècles durant, berceau de l’humanité, mais également terre de mystères et de fascination : l’Afrique, complexe et plurielle, offre au lecteur mille raisons de s’émerveiller. Et peut-être autant de prendre conscience de ce que la civilisation occidentale a pu exercer d’influence et de dégâts. Voici dix ouvrages, sans prétention à l’exhaustivité, pour aborder ces mondes, autrement.

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Chez Label Emmaüs, des livres à petits prix et de la solidarité

Sur la plateforme Label Emmaüs, un impressionnant catalogue de plus de 2 millions de livres d'occasion est référencé par des personnes en insertion professionnelle. Des livres qui proviennent des dons faits par des particuliers aux diverses structures Emmaüs et ressourceries réparties sur le territoire.

Extraits

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Littérature française

La fille de Deauville

Une poignée de femmes et d’hommes radicalisés a décidé de mettre la France à feu et à sang. Pour détruire le capitalisme et les classes dirigeantes qui l’incarnent, elle a opté pour la lutte armée. Braquages, attentats à la bombe, et bientôt assassinats, les terroristes frappent puis disparaissent, dans un souffle âcre de tracts, d’explosifs et de terreur. Leur nom de guerre : Action directe. En ce mitan des années 1980, la police a placardé leurs visages flous sur les murs de France. Commence alors une traque intense et chaotique menée par des équipes aguerries qui suivent leurs traces du bitume lyonnais aux fermes les plus reculées, des HLM de banlieue aux librairies de la gauche radicale. Luigi Pareno, solitaire et douloureux, méthodique et taciturne, y consacre toute son énergie, sa rage et ses obsessions. Une jeune femme à l’air presque sage, toujours vêtue de jeans, occupe particulièrement ses pensées. La police la surnomme « la fille de Deauville » en attendant de mettre un nom sur son visage. Née dans les beaux quartiers, Joëlle Aubron deviendra l’une deux meurtrières d’Action directe. Pareno l’observe à distance, des rues de Paris à la cellule de Fleury Mérogis où elle est un temps incarcérée, d’une planque en Belgique au Loiret enneigé où elle se cache avec ses amis Jean-Marc Rouillan et Nathalie Ménigon. Elle l’intrigue, il la hait autant qu’il s’attache. La fille de Deauville est le roman de la colère et du feu, d’une folie révolutionnaire qui sème des cadavres sur sa route, et des rêves d’absolu. Traqués, reclus, les membres du dernier carré d’Action directe s’aiment, se désirent, se déchirent, comme dans l’attente d’une fin inéluctable. La vie de Luigi Pareno semble suspendue à leur capture : même sa douce Chantal finit par s’écarter de lui, tant la violence emporte tous ceux qui l’approchent. Vanessa Schneider nous propose aujourd’hui le roman de l’impossible révolution, traversé d’espoir et de cris, mais aussi de mélancolie et de douceur. Paysages et silences, lits tièdes ou pavés brûlants, elle nous embarque avec ces femmes et ces hommes qui se croyaient libres.

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Littérature française

La fille de Deauville

Braquages, attentats à la bombe, assassinats : au tournant des années 1980, les membres d'Action directe frappent, puis disparaissent dans un souffle âcre de tracts, d'explosifs et de terreur. Commence alors une traque intense et chaotique. Luigi Pareno, flic méthodique et taciturne, y consacre son énergie, sa rage et ses obsessions. Une jeune femme occupe ses pensées : Joëlle Aubron, qui deviendra l'une des deux meurtrières du groupe. Pareno l'observe à distance dans ce Loiret enneigé, où elle se cache avec ses camarades de combat. Il la hait autant qu'il s'y attache. Traqués, reclus, les membres du dernier carré d'Action directe s'aiment, se déchirent, s'inquiètent, dans l'attente d'une fin inéluctable. La Fille de Deauville raconte la colère et la destruction, la folie politique et les rêves d'absolu. Vanessa Schneider nous offre le grand roman de l'impossible révolution, et nous emporte avec ces femmes et ces hommes qui se croyaient libres. Une écrivaine est née. Franz-Olivier Giesbert, Le Point. Le croquis d'une époque. Libération. Un livre plein d'échos. Causette

09/2023

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Grandes réalisations

La villa Strassburger. Deauville

Joyau architectural, la Villa Strassburger est le symbole du Deauville de la Belle Epoque. Située à proximité de l'hippodrome, elle est construite pour le Baron Henri de Rothschild en 1907, sur les terres de Flaubert. Elle est rachetée en 1924 par Ralph Beaver Strassburger, riche éditeur de presse américain. Pans de bois, appareillages de briques en damier, jeux des toitures, cette villa est emblématique du régionalisme normand. Au pittoresque de l'extérieur s'oppose la simplicité des volumes intérieurs. Au rez-de-chaussée, un hall central distribue fumoir, salon, salle à manger et bureau. Un escalier d'honneur mène aux chambres. Les photos de Carole Bellaiche illustrent le charme de l'époque, avec une vision détaillée et contemporaine. Philippe Normand, grand connaisseur du lieu et historien, retrace l'histoire du lieu et des différents propriétaires. 2. 14. 0. 0

05/2023

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12 ans et +

Bluebird

L'extraordinaire destin de "Minnie Bluebird" devenue chanteuse de blues dans les Etats-Unis des années 40. Elwyn est fils d'immigrés irlandais, Minnie, fille d'un chanteur itinérant noir. Ils se rencontrent dans une plantation, et tombent amoureux. Ils ont 13 ans, et ne savent pas que leur vie est sur le point de basculer. Quelques jours plus tard, en effet, Minnie assiste au passage à tabac de son père par des hommes du Ku Klux Klan. Effondrée, elle saute dans le premier train, en partance pour Chicago. Prix Livrentête 2017 Prix du Jury Littéraire du Giennois 2016-2017 Prix des Ados Livres & Musique de Deauville 2016 Prix des Ados du festival Livres et Musiques de Deauville.

09/2015

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Thèmes photo

Planches contact #13. Festival de photographie de Deauville, Edition 2022

Un festival sans entraves. Vous souvenez-vous de cette photo de Henri Cartier-Bresson réalisée en mai 1968 ? Elle montre un homme d'âge mûr, élégant, en costume sombre, chapeau vissé sur la tête, observant un graffiti de la révolte étudiante : "Jouissez sans entraves". Ce pourrait être le mot d'ordre de Planches Contact. Cette photo qui confronte deux univers opposés, qui interpelle, qui s'ancre dans la ville fait écho à l'esprit du festival et aux conditions privilégiées et assez rares de production et de présentation, permises par le support sans faille de la Ville de Deauville. Un contexte essentiel pour les artistes dans le climat actuel où, contre vents et marées, le festival de Deauville demeure une sorte d'îlot protégé où l'on peut regarder autour et produire en toute liberté. La préparation de Planches Contact est un long fleuve intranquille, un bouillonnement, une boucle ininterrompue d'une édition à l'autre, depuis l'élaboration du programme, la succession des résidences, la production "en direct" avec les artistes, la conception de la scénographie et la construction des installations, jusqu'au partage avec le public. Comme chaque année, un critère important de sélection est la variété des regards et la multiplicité des langages photographiques et des sujets traités. Démarches documentaires, récits imaginaires, poétiques, en images fixes ou animées, approches décalées, tous ont leur place. Les artistes ont pour seule consigne de profiter du territoire et de cette aide à la cre?ation, c'est-à-dire de prendre le temps de l'explorer en suivant leurs centres d'intérêt ; puis de laisser leur créativité s'exprimer librement en développant leur projet selon leurs propres codes. Se libérer des entraves, c'est aussi briser les frontières. Briser les frontières entre les cultures avec une programmation internationale allant de l'Italien Stefano De Luigi au Sénégalais Omar Victor Diop en passant par la Franco-Marocaine Carolle Benitah. Briser les frontières entre les générations avec des figures incontournables comme Bettina Rheims ou Raymond Depardon, et des photographes émergents sélectionnés dans le cadre du Tremplin Jeunes Talents. Briser les frontières entre les disciplines. A côté de la photographie, la vidéo, mais aussi l'architecture, le dessin, la musique et l'édition ont leur place au festival. La présence de l'actrice Jessica Lange, invitée d'honneur, crée également une passerelle avec le cinéma américain, cher à Deauville. Briser les frontières entre le visible et l'invisible, puisque, depuis son invention, la photographie a permis de tout montrer - les pays lointains, les terres inconnues, les tribus les plus reculées. Alors, pourquoi ne pas essayer de montrer l'invisible ou de changer de point de vue comme le propose Francesco Jodice avec son film 44 things seen by an alien anthropologist in Normandy ou encore de bouleverser le rapport à l'espace comme le fait Georges Rousse ? Briser aussi les codes avec les images inattendues de Raymond Depardon du littoral français en couleurs, d'une invitée d'honneur, Jessica Lange, plus connue comme actrice que comme photographe, les photos amateurs de la collection The Anonymous Project et avec les scénographies innovantes conçues avec Jean-Charles Remicourt-Marie. A la plage, sur la verrière de la piscine olympique, dans toute la ville, aux Franciscaines ou au Point de Vue, cette exhortation à jouir sans entraves s'adresse aussi aux visiteurs. Dans un monde bombardé d'images, prenons le temps de vraiment voir en abandonnant préjugés et habitudes. Restons ouverts à toutes les surprises et au surgissement de l'insolite. Regardons la réalité autrement, grâce aux artistes. Engageons-nous à leurs côtés avec la fondation photo4food pour un impact social concret. Laissons-nous happer par des photographies et des films qui racontent des histoires, où la Normandie est protagoniste ou décor, qui renversent une "vision formatée", ouvrent une fenêtre sur d'autres mondes et proposent un arrêt sur image sur nos sociétés. Planches Contact fête ses treize ans. Le festival investit désormais toute la ville. Le musée des Franciscaines, qui accueille depuis son ouverture grand nombre des expositions, devient, pendant les journées inaugurales, la Maison du festival avec de réelles occasions d'échanges et de rencontres avec les artistes exposés, grâce aussi à Planète Initial, qui cette année sera aux Franciscaines. Le réseau des amis du festival s'élargit. De nouveaux partenaires rejoignent le cercle de ceux de la première heure. Planches Contact grandit, forte de son passé, avec la turbulence et la curiosité de son jeune âge, et l'attraction de cet horizon immense, qui s'ouvre au-delà de la plage, comme une exhortation à garder les yeux et le coeur ouverts. Un grand merci aux photographes et aux artistes qui ont relevé le défi d'une résidence - avec ses risques et périls - et à ceux qui ont accepté de venir partager à Deauville leurs mondes et leurs expériences. A tous, merci de nous faire prendre le large. Laura Serani.

12/2022

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Essais

La culture de la récompense. Compétitions, festivals et prix cinématographiques

Palme d'or, César, Lumière, Globe, Trophée et autres Prix Louis-Delluc, Jean-Vigo, Serge-Daney, Henri-Langlois, Jean-Renoir ou Alice-Guy : il n'a jamais existé autant de prix cinématographiques. Ce livre est le premier à leur être consacré. Et si les prix cinématographiques ne disaient pas tant du talent des artistes qui les reçoivent que des stratégies de celles et ceux qui les remettent ? A partir d'une enquête de terrain sur les prix du cinéma et de l'audiovisuel français, Chloé Delaporte offre un point de vue original en dévoilant les enjeux sociaux, économiques, artistiques et culturels qu'ils soulèvent. Des festivals célèbres aux compétitions confidentielles, l'ouvrage explore le versant organisationnel des prix cinématographiques : qui les met en oeuvre, avec quelles ressources et quels objectifs ? Il propose une contribution empirique et théorique à l'analyse de la valorisation des biens culturels et invite à réfléchir plus largement sur la place symbolique du cinéma dans l'économie de marché.

05/2022

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