Florent Maudoux, Ophélie Bruneau

Je me demande simplement s’il existe un coin, en Argentine, où rencontrer des icebergs.

Rencontre autour d’un verre avec
Ophélie Neiman

à l’occasion de la parution de
Le vin c’est pas sorcier : petit précis d’œnologie illustré
(éditions Marabout)

Le trio de tête ne se réinvente pas en cette quinzième semaine des meilleures ventes. Le chanteur bourguignon, Florent Pagny, reste en tête du classement avec ses confessions autobiographiques, Pagny par Florent. Il aura convaincu 18.420 nouveaux lecteurs pour sa deuxième semaine sur les tables des librairies.

Lauréate du Prix Femina en 1910 pour son roman Marie-Claire, Marguerite Audoux connait un immense succès avec ce roman, d'inspiration autobiographique. Côtoyant Alain-Fournier et Octave Mirbeau, Marguerite Audoux publiera d'autres ouvrages, toujours habités par des personnages féminins forts. Il est possible de lire ses œuvres gratuitement, grâce au domaine public.

C’est une adolescente timide et renfermée, dont l’univers intérieur est bien plus vaste que le monde étriqué où elle vit. Ophélie, de Charlotte Gingras, raconte ce quotidien d’une jeune fille, dont la rencontre avec une auteure va changer toute la vie. Et au-delà.

Téléchargez l'extrait de Iceberg memories, d'Ophélie Jaësan

Iceberg Memories, d'Ophélie Jaësan : un goût d'Argentine

Le Prix Littéraire Matmut, l’édition de votre premier roman a été décerné le 21 septembre 2017 à Paris, au cours d’une réception en présence de Daniel Havis, Président du Groupe Matmut et de Philippe Labro, Président du Jury. Le prix a été attribué à Florent Bottero pour son roman Tu riras moins quand tu connaîtras les hommes. L’ouvrage est publié par les Éditions Denoël dans la collection « Romans français ».

BONNES FEUILLES - Il était une fois dans l'Ouest : un fils et son père, une terre aride, un soleil de feu.

La médaille d’or de la société de Philologie, que l’on considère comme l’équivalent littéraire de la Médaille Fields pour les mathématiques, a été pour la première fois attribuée à un Français, Florent Montaclair, en décembre 2015, rapporte dans un communiqué la Conférence des présidents d’université (CPU).

La Charte renforce son équipe avec l'arrivée d'une nouvelle juriste : Ophélie Latil. Doublement spécialisée en propriété intellectuelle et droit social, elle a travaillé en maisons d'édition en tant que juriste spécialisée en propriété littéraire et artistique et mis en place le Centre international de droits du Livre Paris.

L'incident se déroule dans la nuit de dimanche à lundi, et va rapidement devenir un incendie, qualifié de criminel par ceux qui en font état. Devant la bibliothèque Marguerite Audoux, dans le IIIe arrondissement, un eu se propage.

Avec les deux césarisés Guillaume Gallienne et Adèle Exarchopoulos au casting, le film Éperdument est plus qu'attendu au tournant. D'autant plus que son scénario, adapté du livre Défense d'aimer de Florent Gonçalves, est particulièrement délicat : il raconte l'histoire d'amour forcément impossible entre le directeur d'une prison et l'une de ses détenues. Une histoire vraie, qui plus est.

Le chanteur aux 15 millions de disques vendus, Florent Pagny, publie son autobiographie aux éditions Fayard. Toute une carrière en 528 pages, racontée avec l'autrice Emmanuelle Cosso, disponible en librairies à partir du 5 avril.

L’interprète de « Savoir Aimer » a sorti son autobiographie Pagny par Florent (Fayard) cette semaine. Il la voit s’écouler à 31.167 exemplaires, un démarrage foudroyant. Ce n'est pas la seule nouveauté. Cette 14e semaine est aux couleurs de l'inédit : les trois ouvrages du trio de tête sont sortis il y a seulement quelques jours.

Avec Pagny par Florent, les éditions Fayard ont réalisé un des succès de l'année 2023. Paru en avril, l'ouvrage s'est écoulé à plus de 180.000 exemplaires — voire 200.000 si l'on compte la version « collector » (chiffres Edistat). La romancière Emmanuelle Cosso, pour ce livre, a accumulé une centaine d'heures d'entretiens, bientôt au cœur d'un documentaire.

Le jury du Prix du roman qui fait du bien est composé d'Olivia de Lamberterie, Émilie Fréche, Laure Adler, Franz-Olivier Giesbert, Alexandre Jardin et de cinq lecteurs de Fontvieille. Le prix récompense les romans qui font sourire, rire, voyager, rêver, qui nous réconfortent et nous emportent. Florent Oiseau a reçu le prix ce 26 septembre, à Fontvieille.

Marie-Claire, un roman de Marguerite Audoux, est paru dans les années qui ont précédé la première guerre mondiale; une espèce de fusée venue de nulle part, d'une petite couturière à demi-aveugle que rien ne prédisposait à la littérature. Par hasard, elle avait fait la connaissance de Charles-Louis Philippe, auteur de Bubu de Montparnasse, qui l'avait appréciée pour son esprit, sa joie de vivre, et la considérait comme une amie, mais ignorait qu'elle écrivait. Elle avait alors une quarantaine d'années et peu d'argent. Un jour, Philippe fouilla dans un de ses tiroirs et tomba sur un manuscrit intitulé "Marie-Claire" qu'il lut et trouva admirable.

Jules dînait avec André dans un bistro. Avec le vin, la conversation était devenue plus intime. Jules racontait son histoire. André l'écoutait avec attention. Pour les écrivains, tous les récits sont bon à prendre. Méfiez-vous lorsque vous parlez à quelqu'un qui écrit.

Beaucoup connaissent ce fait divers à travers le roman de James Ellroy, Le Dahlia noir (trad. Freddy Michalski). Le drame d'Elizabeth Short, plus célèbre sous son pseudonyme, inspire cette fois-ci une bande dessinée, A Short Story, édité chez Rue de Sèvres (Label 619). Cet ouvrage retracera, avec « un souci du détail sans précédent » l'histoire d'une fille orginaire du Massachusetts qui s’installe à Los Angeles, afin de devenir une star hollywoodienne…

Ophélie est une jeune femme discrète, à l’apparence banale, qui est responsable du musée d’Anima. Une chevelure brune qui ne cesse de s’emmêler, des lunettes qui cachent ses yeux et changent de couleurs en fonction de ses émotions, des mains qui ne cessent de casser tous les objets qu’elles tiennent, un corps qui trébuche, se cogne, se blesse à tout va. Or, Ophélie possède de mystérieuses capacités héritées de sa famille : celle de lire les objets qu’elle touche, et celle de voyager d’un miroir à un autre.

Les manifestations littéraires reprennent, et les risques de contamination Covid avec elles. Un collectif d’une centaine d’auteurs signe une tribune pour rappeler les impératifs sanitaires et s'engage à ne plus participer aux événements qui ne mettraient pas œuvre des mesures simples.. Du bon sens et ce, pour la protection du plus grand nombre. Leur texte est ici publié dans son intégralité. 

Florent mène sa barque depuis maintenant deux années, et son Actu des Ebooks est devenu dans le paysage des blogs difficile à contourner.

L’entreprise Koober a été conçue voilà une dizaine de mois, et s’est officiellement lancée fin juin. Son objectif, raconte Alexandre Bruneau, l’un des trois cofondateurs, est de permettre à ceux qui manquent de temps de profiter malgré tout du contenu de livres. Attention, pas n’importe quel livre : la non fiction, exclusivement. 

Tout le monde connaît la maladie de fin de week-end, qui empêche de venir au travail le lendemain. Mais voici celle du vendredi, qui va rendre impossible de travailler durant tout le reste de la semaine à venir. Sequencity vous a concocté une liste de nouveautés BD savoureuse. De quoi s’accrocher à sa tablette ou son ordinateur, sans décrocher. Et comme toujours, il vous suffit de cliquer sur les couvertures pour feuilleter librement l’intégralité de chaque BD, et en lire gratuitement les premières pages.

AVANT-PARUTION – « Au dix-huitième siècle, un illusionniste très doué en horlogerie avait fabriqué un automate si parfait que lorsqu’il se produisait sur scène avec lui, les spectateurs n’arrivaient parfois plus à faire la différence entre l’artiste et sa création. » Ainsi s’ouvre l’univers d’Esther, le nouveau roman d’Olivier Bruneau.

Le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, a remis hier rue de Valois à Anne Perrier, première femme à recevoir cette distinction, le Grand Prix national de la poésie.

Se peut-il que le Goncourt de cette année devienne la première oeuvre qui serait sous licence Creative Commons ? C'est ce que Florent Gallaire, juriste et spécialiste en droit numérique explique.

Les éditions Rue de Sèvres (L'école des loisirs) annoncent un partenariat avec le Label 619, autour d'une « vision commune du métier de l'éditeur engagé auprès des auteurs ». Cette collaboration laissera une entière liberté éditoriale au Label 619, tout en mettant à disposition « les forces vives de L'école des loisirs ».