Salué dés son premier roman, il n'en a guère écrit d'autres. En 1956, Francis Garnung signe chez Pierre Horay et sous le parrainage de René de Obaldia un texte audacieux et lyrique qui raconte la valse hésitation d'un satyre autour d'une enfant dont il cherche à provoquer le consentement tout en s'effrayant de ce qu'il est en train de faire. Précédant "Lolita" de deux ans, ce roman ne rencontrera pas son public, et son auteur, aprés un second livre, préférera se retirer et ne publiera plus qu'à compte d'auteur.