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Gorô Taniguchi, Akihiko Higuchi

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Seinen/Homme

Atrail : Pack en 6 volumes : Tomes 1 à 6. Dont tomes 1 à 3 offerts

Comment reprendre une vie normale après l'apocalypse ? Une mère aimante, des camarades sympas, des journées bien planifiées... Tel était le quotidien d'Iori Shijima, un lycéen ordinaire qui n'aspirait qu'à une vie normale. Mais c'était sans compter sur l'apparition soudaine dans le ciel de "l'Atrail", un mystérieux objet cubique qui viendra bouleverser son univers jusque-là sans turbulences. Pris dans une tempête de révélations sur sa personne, Iori va devoir faire face à des défis qui le dépassent et sauver le destin de l'humanité...

02/2023

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Contes des 4 coins du monde

Goro Goro et autres contes japonais

Dans un coin perdu des terres de Yamato, au Japon, un garçon tombé sept fois et relevé huit devient bonze. Il croise la parade des renards, les Démons Hikari ou encore trois petits héros chacun nés d'un fruit, d'un légume ou d'un tubercule. 12 contes et légendes peuplés de personnages extraordinaires pour plonger dans une culture japonaise merveilleuse et fascinante.

08/2023

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BD tout public

Jirô Taniguchi, L'homme qui dessine. Entretiens

Pour la première fois, l'auteur de Quartier lointain évoque l'ensemble de sa trajectoire, se livrant avec une grande sincérité. Au fil de cet ouvrage, on découvrira un homme modeste, profond et attachant, toujours aussi passionné par son métier après les 12 000 ou 15 000 pages dessinées depuis quarante ans. Devenu l'un des principaux passeurs entre le monde des mangas et celui de la bande dessinée, Jirô Taniguchi est surtout, tous domaines confondus, l'auteur d'une des oeuvres les plus fortes et les plus universelles de notre temps.

11/2012

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Thèmes photo

Les souvenirs des autres

Ce livre rassemble pour la première fois le travail en Irlande d'Akihiko Okamura à l'occasion de la numérisation de ce corpus quasi inédit, accompagné de textes qui contextualisent son travail dans l'histoire de l'époque et celle du médium photographique. Pendant les Troubles, la lutte pour l'indépendance qui dura de 1969 à 1998, l'Irlande du Nord a attiré un grand nombre de photojournalistes étrangers venu documenter les événements. Certains d'entre eux ont trouvé un sujet qui les touchait personnellement, les poussant à dépasser les codes du photojournalisme. C'est le cas du photographe japonais Akihiko Okamura qui a réalisé un travail unique et remarquable en couleur dans les premières années du conflit, et qui est curieusement encore méconnu aujourd'hui. Né à Tokyo en 1929, Akihiko Okamura s'est distingué comme l'un des grands photographes de guerre de sa génération, opérant notamment au Vietnam au début des années 1960. Il est toujours très respecté au Japon, mais son travail et son expérience en Irlande, essentiels à la fois dans son oeuvre et pour sa vie personnelle, ont été peu explorés. Okamura est arrivé sur l'île avec sa famille en 1969 et y a vécu jusqu'à sa mort en 1985. Il a photographié son quotidien et les alentours, mais a vite été pris d'intérêt pour le nord du pays et sa lutte pour l'indépendance. Son attachement à ce pays et à son histoire l'ont conduit à produire l'une des oeuvres photographiques les plus significatives réalisées par un photographe étranger, mêlant à la fois cette simplicité du cadrage et du sujet, très japonaise, à une force dans la composition pour des sujets plus violents. En Irlande, il s'est éloigné du photojournalisme pour développer un témoignage plus personnel. Le choix de travailler en couleur, alors que les reportages de l'époque sont en N&B pour la plupart, et de privilégier des tonalités douces, comme hors du temps, contrastent avec la violence de l'époque. Ses images semblent se détacher du réel. Il percevait la permanence du quotidien dans l'impermanence de la guerre.

03/2024

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Littérature étrangère

Boro

Ce roman plonge le lecteur dans les réalités de l'immigration clandestine. Les protagonistes Alain et Irisa se rendront très vite compte que l'aventure n'est pas ce que les gens pouvaient raconter ni ce qu'ils pouvaient imaginer.

06/2013

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Beaux arts

Guro

Les amateurs d'art connaissent bien les oeuvres des différents groupes de populations que l'on a pris l'habitude d'appeler "Guro" et qui se trouvent dans le centre de la Côte d'Ivoire. A proximité des Wan, des Baule, des Yaure et des Bete, ces groupes ont entretenu de nombreux contacts avec leurs voisins et les influences mutuelles se perçoivent dans les différentes créations plastiques. Les masques, notamment, ont une importance qui va bien au-delà de celle qu'ils ont acquise sur le marché de l'art. Alors que la colonisation française a largement contribué à affaiblir le prestige des hommes dont le pouvoir résidait dans les pratiques de guerre et de chasse, le maintien de rituels complexes impliquant des sorties de masques a permis à la classe masculine de préserver une forme de contrôle politique et religieux. En diversifiant les catégories de masques entre ceux qui reçoivent des sacrifices sanglants en l'honneur d'entités spirituelles, d'une part, et ceux, centrés sur le divertissement, qui interviennent lors de funérailles, de manifestations de propagande politique et de festivals touristiques, d'autre part, les Guro ont réinventé, redynamisé et réadapté des rituels parfaitement intégrés à une société contemporaine en mutation permanente.

08/2016

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