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Goya, Inui

Extraits

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Manhwa

Je suis tombée dans un jeu de harem inversé Tome 1

Dur réveil quand on se retrouve dans le corps de la terrifiante princesse impériale Elvia. D'autant plus qu'il s'agit de la méchante d'un jeu vidéo vouée à mourir dans d'atroces souffrances. Pour échapper à ce destin funeste, une seule solution : s'impliquer dans la vie du château, forger des alliances, et contrecarrer les manigances de l'intrigante Urielle, l'héroïne du jeu, prête à tout pour l'emporter !

07/2023

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Manhwa

Je suis tombée dans un jeu de harem inversé. Tome 2

Urielle progresse de plus en plus vite dans ses quêtes et se rapproche dangereusement de l'empereur pour profiter de son influence. Alors qu'Elvia essaye de gérer la situation, l'arrivée d'un nouveau concubin risque de mettre ses efforts en péril. En effet, celui-ci entretient une relation épistolaire avec Urielle. Sera-t-il le coup de grâce ou un allié inespéré ?

09/2023

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Manhwa

Je suis tombée dans un jeu de harem inversé Tome 3

Elvia s'acclimate à la vie au palais grâce à l'aide de Nadrika. Mais à cause de son statut, ce dernier est méprisé par les nobles de la cour impériale, tout comme Héclot, considéré comme un concubin rejeté par la princesse. Consciente de leur avoir causé du tort et pour protéger leur honneur et leur réputation, Elvia affirme son autorité avec une décision inattendue et sans précédent. Un comportement étrange qui n'échappe pas à Robert. Elvia parviendra-t-elle à garder son secret plus longtemps ?

12/2023

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Beaux arts

Goya

Francisco José de Gova y Lucientes (1746-1828). peintre. dessinateur et graveur espagnol, se situe à la croisée de deux siècles. A la gaieté exubérante ou insouciante du XVIIIe, qu'il exprime dans ses cartons de tapisserie, succède un pessimisme souvent provocant, renforcé par sa surdité et I'effondrement tragique de sa patrie au début du XIXe siècle. A travers les sarcasmes de ses " peintures noires " et de ses gravures, mais aussi dans ses portraits, l'artiste donne une touche artistique singulière au mouvement romantique naissant qu'il côtoie lors de son exil à Bordeaux, ville des afrancesados libéraux - et cela jusqu'à sa mort. Témoin de son temps. Goya en est aussi l'accusateur : et sa peinture, délivrée des contraintes traditionnelles, marque un tournant décisif dans l'histoire de l'art moderne.

05/2009

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Beaux arts

Goya politique

Parce qu'il s'est profondément impliqué dans les conflits qui ont déchiré l'Espagne de son temps, qu'il a représentés dans ses oeuvres avec une extra-ordinaire lucidité, Goya (1746-1828) est sans doute le premier peintre politique de l'histoire. Utilisant à la fois l'oeuvre peint, l'oeuvre gravé et les albums de dessins, éclairés chaque fois que cela était possible par les écrits de l'artiste, sa correspondance privée et officielle, le corpus constitué par les légendes des gravures et des dessins, Jacques Souheyroux montre comment l'univers mental de Goya et son oeuvre se sont construits dans un combat permanent avec le monde qui l'entourait. Un combat politique pour conquérir toute la "liberté positive" (Rousseau) possible clans les institutions d'un système monarchique à l'agonie. Une liberté esthétique qui se traduit par une autre manière de représenter le réel, en rupture avec la sublimation traditionnelle du portrait royal et des scènes de bataille, et par un recours à la caricature et au grotesque, à l'encontre du culte du beau prôné par le néo-classicisme. Une liberté qui s'exprime pleinement dans la satire d'une société de fin d'Ancien Régime profondément inégalitaire et dans un réquisitoire contre les horreurs de la guerre et la folie meurtrière de l'être humain, liant inséparablement éthique et politique avec une résonance universelle très actuelle.

03/2011

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XIXe siècle

Le poignard de Goya

Préfacé par David CHANTERANNE, historien et historien de l'art, diplômé et chargé de cours à l'université de Paris-Sorbonne, journaliste et écrivain, rédacteur en chef du magazine Napoléon 1er. Synopsis Mai 1808 : Après les émeutes de Madrid et la répression sanglante de "El Tres de Mayo" les troupes du général Dupont de l'Etang descendent vers l'Andalousie. C'est un chemin semé d'embûches, d'escarmouches, de guet-apens qui les attend. Le danger peut surgir derrière chaque rocher, derrière chaque arbre. Mobilisé contre l'envahisseur le peuple espagnol se défend en inaugurant un nouveau type de combat : la guérilla. Se met en place l'engrenage inévitable : les exactions entrainent des représailles - maisons incendiées, fusillades sommaires. Un cran supplémentaire dans la férocité est franchi au fur et à mesure de l'avancée des troupes napoléoniennes... Les soldats isolés sont une proie pour les navajas, une cible pour les "cuadrillas" . La traversée des sierras par des défilés bordés de précipices, l'attaque des convois, le soulèvement du moindre village, l'impossibilité de s'approvisionner vont faire de ce parcours un véritable enfer. Dans ce flot de quelques milliers de combattants, noyées parmi les fantassins, les cavaliers et les pièces d'artillerie, des femmes essaient de survivre : maîtresses, épouses d'officiers, blanchisseuses ou cantinières. L'une d'elles, ballotée de régiment en régiment, -malgré les affres liées à la peur, à la faim, à la soif, aux maladies de peau, aux angoisses du lendemain - gardera intacte son envie de vivre une passion amoureuse : celle qu'elle éprouve pour un lieutenant des marins de la Garde. Elle fera tout pour que leurs chemins se croisent, acceptant de faire partie d'expéditions périlleuses dans le seul but de le retrouver, avec le secret espoir que lorsque tout cela sera fini, elle rebâtira avec lui une vie normale, aura un foyer, des enfants... Le trajet sera ponctué de cadavres : un général plongé dans l'huile d'olive bouillante, sa femme et sa fille découpée en morceaux, ses compagnons sciés vivants entre des planches... Ces atrocités sont le fait d'un peintre- élève de Goya. Son entourage ayant été touché par la sauvagerie des troupes napoléoniennes, Il a juré que ses ennemis afficheraient sur leurs visages avant de mourir ce qu'il veut cristalliser dans ses dessins ou ses tableaux : la peur ! La frayeur est-elle matérialisable dans une oeuvre d'art ? Est-ce que des abominations peuvent constituer les ingrédients d'une inspiration artistique ? Interrogations auxquelles répondra, plus tard, Francisco de Goya, dans "Les désastres de la guerre".

10/2021

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