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Grand Besançon septembre

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Dossier

Le Grand Prix de l'Académie française

Prix annuel, créé en 1914, le Grand Prix de l'Académie française vient récompenser l’auteur du roman que l’Académie a jugé le meilleur de l’année. Doté de 10.000 € depuis 2016, il est habituellement décerné à la fin du mois d'octobre, au cœur de la rentrée littéraire.

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Dossier

“Grands romans”, une littérature inoubliable

Les plus grands romans, tout simplement. Venus de toutes les époques et de tous les continents, ces ouvrages de la collection créée en 2006, se sont vendus à plus de 2 millions d’exemplaires. « Les Grands Romans, passionnément ! », tout simplement.

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Le Salon du livre de Turin 2021, le grand Salto

Le Salon du livre de Turin se tient du 14 au 18 octobre 2021, au Lingotto. Il sera précédé par une initiative inédite : au printemps, en ligne et en présentiel, les festivals Portici di Carta (Turin), Libri Come (Rome) et Lungomare di libri (Bari) seront réunis pour une grande fête !

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Salon du livre de Montréal 2018 : la grande aventure

Le Salon du livre de Montréal a bouclé une grande programmation pour sa 41e édition. Celle-ci se tenait pour la dernière fois à la Place Bonaventure du 14 au 19 novembre 2018, et proposais un foisonnement de rencontres.

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Dossier

Des lectures pour les enfants, des plus jeunes au plus grands

L’association Lire et Faire Lire propose depuis plusieurs années d’apporter la lecture aux plus jeunes, où qu’ils se trouvent. Des bénévoles, spécialement formés, interviennent ainsi dans les différentes structures d’accueil pour lire des histoires. Pour les accompagner, l’association propose une liste d’ouvrages, sélectionnés par son comité de lecture national.

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Programme, invités : La Grande Librairie, l'invitation à lire de François Busnel

Émission phare de la littérature sur le service public, La Grande Librairie, présentée par François Busnel, fait preuve d'une longévité que beaucoup lui envient. Créée en 2008 par son présentateur lui-même pour la chaîne France 5, l'émission hebdomadaire convie un ou plusieurs invités pour aborder différents thèmes, en lien avec des ouvrages récemment parus.

Extraits

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Histoire de France

Septembre 1944. Le IVe Corps US libère Besançon

Cette année, la ville de Besançon fête le soixante-dixième anniversaire de sa libération. A cette occasion est célébrée, avec juste raison, l'héroïque détermination des unités F.F.I. (1) locales qui, malgré leurs faibles moyens matériels, n'hésitèrent pas à affronter un ennemi en notre région encore redoutable. Mais emportés par notre ferveur nationale, ne risquons-nous point - comme jusqu'à présent - de sous-estimer l'action de nos Alliés pourtant décisive à Besançon, en l'occurrence les opérations menées en Franche-Comté par le VIe Corps U.S. (2) au début septembre 1944 ? Depuis ces événements, plus d'un demi-siècle s'est écoulé. Avec le temps, le souci d'une nécessaire propagande patriotique - virant parfois jusqu'à l'idéologie - a perdu de son intérêt. De légitimes amours-propres se sont émoussés. La plupart des témoignages, au début fatalement passionnés, se sont peu à peu clarifiés. Des documents d'origine française et même étrangère commencent à être révélés. De plus - garde-fous salutaires pour l'historien - des acteurs vivent encore, assez nombreux et toujours vigilants.

09/2014

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Non classé

Tarot Besançon

Format 6. 5 x 12 cm

09/1999

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Sciences historiques

Besançon, un vignoble millénaire

La cité de Besançon, qui a compté plus de 1 000 vignerons et 1 650 hectares de vigne, était-elle destinée à devenir "une ville de vignerons" comme on la qualifiait autrefois ? Certes, la morphologie propose à la vigne de belles possibilités avec des pentes bien orientées au sud. Le Doubs fournit également des facilités de transport. Ce ne sont là que des potentialités qui, à Besançon, ont été mises en valeur pendant un millénaire par des moines, des archevêques, des nobles, des bourgeois et surtout des vignerons qui se sont acharnés à planter, à labourer, à tailler, à vendanger sur ces pentes... Mais, quand le monde clos du vignoble bisontin s'ouvre, malgré lui, sur le monde débridé de la concurrence, tout commence à basculer...

05/2019

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Religion

Besançon et Saint-Claude

Un territoire de quelque 1600 kilomètres-carrés, abstraction faite de la ville et des vingt-six « grandes paroisses » qui constituaient la « Terre de Saint-Claude », tel se présentait autrefois l'immense diocèse de Besançon. En étendue à quoi le comparer parmi ceux qui divisaient le royaume de France ? Au vrai, il en allait différemment du point de vue paroissial, tant la densité de ce pays comtois restait faible. Par la suite, les correctifs qu'ont provoqués les rectifications de frontières du côté suisse, la création des trois départements : Doubs, Haute-Saône et Jura avec pour ces derniers des limites réajustées, enfin le transfert du Territoire de Belfort dans la pastorale de l'archevêché depuis le traité de Francfort en ont modifié l'image traditionnelle. La transformation essentielle ce fut sans nul doute le démembrement de l'ancienne circonscription ecclésiastique et la création, définitive en 1823, d'un nouveau diocèse couvrant l'actuel département du Jura. Cette particularité n'a pas manqué de susciter des problèmes à chacun de ceux qui voulaient se conformer à l'esprit d'une collection où l'on entend mettre l'accent sur l'histoire contemporaine. C'est pourquoi, les rédacteurs se sont efforcé d'unir dans un même récit les faits ayant précédé le XIXe siècle, de séparer ensuite les événements propres aux deux diocèses. D'où la présentation inhabituelle de ce volume. D'autres difficultés ont surgi en cours de route : les abandons auxquels il a fallu remédier sans que les successeurs puissent bénéficier toujours des travaux commencés. Délicat, très délicat certes aura donc été le rassemblement d'une documentation homogène. Par ses recherches critiques poursuivies pendant de longues années, le R.P. de Vregille s'était déjà préoccupé des origines chrétiennes de ce pays jurassien qui est le sien ; ses études personnelles l'ayant mené jusqu'en plein XIIe siècle, tout le désignait comme le présentateur des temps anciens, qu'au surplus un jeune érudit, M. Gérard Moyse, venait de renouveler dans une thèse d'Ecole des Chartes. J'ai pu, pour ma part, recevoir les conseils de M. Roland Fiétier et de M. René Locatelli : le premier, auteur, entre autres choses, d'une thèse monumentale sur la société bisontine allant du début du XIIIe siècle jusqu'au milieu du XIVe, où se trouve consacrée au clergé près de la moitié de son exposé ; le second - et c'est tout dire - est le médiéviste spécialisé dans les questions religieuses. Ajouterais-je aussi des travaux d'étudiants qui ont largement déblayé des fonds mal connus de nos vieux érudits ? Moins favorisé, M. Jean Courtieu, si tôt quitté le XVIe siècle, pour lequel il ne pouvait que s'appuyer sur l'œuvre monumentale de Lucien Febvre, a dû se livrer à des investigations dans le dépôt qu'il dirige. M. le chanoine Etienne Ledeur, ancien supérieur du Grand Séminaire de Besançon, servi par ses enquêtes, les souvenirs qu'il a pu ramasser, aidé aussi par une thèse d'Etat qui a fait époque, celle de M. l'abbé Huot-Pleuroux, enfin par sa connaissance d'un jeune clergé qu'il avait lui-même formé, n'a pas failli à une tâche que des circonstances douloureuses ont malheureusement assombrie. Mais l'obstacle le plus dur à franchir aura été celui qu'avec persévérance, bénéficiant fort heureusement de concours bénévoles, M. l'abbé Pierre Lacroix aura affronté pour le diocèse de Saint-Claude ; par suite d'une bibliographie indigente, il aura fallu procéder à des dépouillements dans les archives publiques, diocésaines et privées. Si quelques-uns se plaignent de la place qui lui a été allouée par rapport à celle acceptée par son confrère, malgré la disparité des deux diocèses, qu'ils se souviennent de ce mot (que je cite de mémoire) d'un théologien fameux: « Je n'ai pas eu le temps de faire court »… Grâce à ce collaborateur diligent, un point de départ aura été donné dans des recherches historiques un peu trop négligées au sud de notre Franche-Comté. Au terme de cet avant-propos, qu'il me soit permis d'insister sur deux originalités de nos deux diocèses. Dès le haut Moyen-âge, la terre jurassienne fut un foyer exceptionnel de monachisme. Cet élan ne s'est, pour ainsi dire, jamais ralenti, tant du moins que les âmes éprises de solitudes claustrales se tournèrent vers l'une des branches de la grande famille bénédictine. Que de monastères, que de prieurés, que de maisons se sont développés au milieu de nos déserts, sur nos montagnes, dans nos étroites vallées, au centre de nos plateaux et de nos clairières, toutes isolées par de vastes étendues forestières, que l'on gravisse les pentes du Jura ou que l'on gagne les rives de la Saône et les eaux stagnantes du pays bressan ! N'est-ce pas ici que s'affirma saint Colomban, que le Bernon d'avant Cluny a groupé ses premiers disciples ? Les ordres réguliers postérieurs, s'étant tourné vers l'apostolat des villes, n'ont pas connu, sauf exception, le même essor magnifique. Peut-être bien la nature physique du pays et la rareté de ses cités le prédisposaient-elles moins aux besoins du temps qui commence avec le XIIIe siècle. Phénomène inverse en quelque sorte, sur lequel nous aimerions attirer l'attention. Dans une région touchée comme ailleurs par la vague de déchristianisation ou, si l'on préfère, d'indifférentisme, les paroisses rurales changent de visage : elles éprouvent le besoin de se regrouper, tandis que dans les villes cl autres paroisses apparaissent, plus nécessaires que jamais. Le mouvement s'accélère depuis la fin de la dernière guerre. A ne considérer que les chiffres bruts, peu de changements dans l'ensemble de la population : 907 000 habitants en 1954 pour les trois départements du Doubs, de Haute-Saône et du Jura; au recensement de 1975, 732 000. Mais la répartition n'est plus la même. Comment comparer les 78 000 âmes de Besançon avec les 129 000 - encore accrues par des banlieues-dortoirs qui ne cessent de grandir ? Et que dire de la « nébuleuse montbéliardaise », à cheval sur trois départements et devenue la plus grosse agglomération de l'archidiocèse: 183 000 au lieu de 113 000 ? Les villes plus petites : Vesoul, Dole, Lons-le-Saunier et, dans leurs montagnes, Saint-Claude et Pontarlier subissent au ralenti une évolution analogue. Que d'interrogations posées par un pareil devenir dans le domaine religieux qui est le nôtre !

01/1977

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Littérature française

Septembre ! Septembre !

Paris, fin août. Pierre vient d'emménager et entre dans la routine de sa vie parisienne et de son travail à Radio France. Il fait de grandes marches dans son quartier. Il rencontre même, fugacement, une jeune femme qu'il perd tout de suite de vue. En proie à une certaine agitation, Pierre fait alors la connaissance de Rebecca, sa voisine de palier, et de son compagnon, Dan, un thésard chétif et provocateur. Elle passe son temps à la bibliothèque, et lui à éructer contre le monde et ses conformismes. C'est le début d'une amitié. Et d'une série d'autres rencontres - journalistes, intellectuels, prêcheurs de résistance et autres critiques - au fil d'un voyage au coeur de la bien-pensance. Mais que veut Rebecca, derrière sa quête de légèreté rêveuse ? Que cache Dan, sous cette ironie mordante dont il ne se défait pas? Dans la chaleur étouffante de la fin d'été, les premières feuilles mortes tombent. Les illusions se fissurent. Septembre est là, et l'orage gronde.

09/2013

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Littérature française

O Besançon. Une jeunesse 70

« Et ils sont ainsi devenus tout naturellement mes parents adoptifs. A vrai dire j'étais heureux que des personnes de leur âge remplacent les miens propres que je n'allais plus revoir pendant dix-sept ans. Oui, dix-sept ! Figure-toi que j'ai été banni de mon pays à vingt-deux ans, et pour dix-sept longues, trop longues années ; sans jamais pouvoir revoir mon vieux père, mes frères et mes soeurs, mes neveux et mes nièces laissés en bas âge. Ni mes amis. Ni le coquelicot printanier qui agrémentait nos plaines à perte de vue. Ni la lumière splendide du généreux soleil de mon pays. Ni plus aucun chemin que mes petits pieds d'enfant avaient foulé il y a si longtemps... » Le narrateur, jeune étudiant marocain, débarque à Besançon au début des années 70. Il est aussitôt pris dans le tourbillon d'une jeunesse assoiffée de liberté et en particulier de liberté sexuelle. La « vieille ville espagnole » ne sortira des chamboulements de Mai 68 que pour plonger dans le fameux conflit de Lip. A partir de simples anecdotes de la vie sociale de l'époque, l'auteur nous donne à comprendre le secret d'une « intégration » réussie. Au delà de sa passion pour sa ville d'adoption, il nous dévoile « sa » France généreuse et solidaire...

07/2009

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