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Henri Béraud. Version reporter

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Dossier

Un titan littéraire : découvrir les livres d'Henry James

Henry James est né le 15 avril 1843 à New York, au sein d'une famille aisée d'intellectuels. Son père, Henry James Sr., était un éminent théologien et philosophe, offrant au jeune James un environnement nourri de débats intellectuels dès son plus jeune âge.

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Dossier

Team AlexandriZ : pirates de livres ou distributeurs de savoir ?

La Team était spécialisée dans la diffusion d’ebooks, spécifiquement de romans transformés en version numérique. L’une de leurs grandes marottes était d’ailleurs de procéder à la numérisation d’ouvrages que les éditeurs ne commercialisaient pas en format ebook. Mais ils étaient aussi qualifiés, en regard du Code de la propriété intellectuelle, de pirates.

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Dossier

2020, édition particulière pour le Salon international du Livre rare et de l'autographe

Le SLAM, Syndicat de la Librairie Ancienne et Moderne, organise chaque année un Salon international du Livre rare et de l'autographe au Grand Palais, à Paris : l'édition 2020 a été chamboulée à cause de l'épidémie de coronavirus, et reportée du 18 au 20 septembre 2020. Elle accueillera toujours, en tant qu'invitée d'honneur, la Cinémathèque française.

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Dossier

Nouveautés, actualités : les livres et romans de David Foenkinos

Né le 28 octobre 1974 à Paris, David Foenkinos fait son entrée dans le monde des lettres en 2002 avec la publication de son premier roman, Inversion de l'idiotie : de l'influence de deux Polonais, chez Gallimard. Depuis, David Foenkinos a publié une quinzaine de livres, avec un certain nombre de succès, dont Le Potentiel érotique de ma femme (2004) et La Délicatesse (2009).

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Dossier

Le Prix Eugène Dabit du roman populiste

Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».

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Dossier

Coronavirus : l'industrie du livre face à l'épidémie

Cela avait commencé avec quelques cas en Chine, mal recensé et des perturbations dans l’économie du pays. Et rapidement, le coronavirus est devenu l’invité tragique de l’année 2020. Les cas se sont multipliés et les décès sont survenus peu après. Avec des conséquences diverses dans l’industrie du livre, à travers le monde.

Extraits

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Actualité médiatique internati

Henri Béraud. Version reporter

Redécouvrir l'oeuvre journalistique d'Henri Béraud, légende du grand-reportage à l'image de Kessel, Londres, Morand, Cendrars et Simenon, avant de succomber aux dérives de son époque. Pendant l'entre-deux-guerres, Henri Béraud fut l'une des stars du grand reportage - l'un des plus lus, l'un des plus célèbres, et peut-être le plus talentueux d'une génération où se côtoient Kessel, Londres, Morand, Cendrars et Simenon. Cette anthologie réunit une sélection de ses meilleurs articles publiés entre 1919 et 1933 : sous la plume vive et mordante du journaliste, nous assistons à la guerre d'indépendance irlandaise, à la construction de l'Union soviétique et de la Turquie kémaliste, à la marche des fascistes sur Rome, à la montée du nazisme... Béraud, initialement engagé à gauche, fut à cet égard l'un des premiers à percevoir puis dénoncer l'essor des totalitarismes. Mais alors comment expliquer que le même homme, dans la deuxième moitié des années 1930, ait basculé sur une pente inverse, jusqu'à être condamné pour collaboration en 1944 ? Relire le Béraud " première période ", c'est ainsi redécouvrir un immense écrivain, mais aussi se plonger dans les remous d'une Europe en crise vue à travers le regard de l'un de ses plus fins observateurs. - Prix Goncourt 1922 (pour Le Martyre de l'obèse et Le Vitriol de la Lune).

11/2021

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Critique littéraire

Béraud

Le destin d'Henri Béraud est fascinant car il tient tout entier dans le demi-siècle précédent : la guerre de 14 avec les amitiés définitives ; la Révolution bolchevique et le fameux reportage Ce que j'ai vu à Moscou ; les scandales de la IIIe République, le 6 février 1934 et les éditoriaux fracassants de Gringoire ; la montée des totalitarismes et Faut-il réduire l'Angleterre en esclavage, ce cri qui eut tant d'échos ; etc. Pourtant, ne retenir de Béraud que l'œuvre polémique et politique, celle des années trente et quarante, ce ne serait pas restituer le personnage. Mais, ne retenir de lui que l'œuvre régionaliste lyonnaise, celle de sa jeunesse, quand il était l'ami des peintres, quand il peignait lui-même, ne le restituerait pas davantage, et cela reviendrait à le mutiler. Dans ce Béraud Qui suis je ? l'auteur a voulu présenter un autre Béraud, plus complet, et, surtout, plus complexe, un Béraud dont la caractéristique fut, sans doute, d'être le chef de file le plus représentatif d'une école littéraire et journalistique que l'on pourrait qualifier de " populiste ". Le jeune Béraud a entraîné dans son sillage lyonnais les Albert Londres, Charles Dullin, Gabriel Chevallier, Marcel Achard. Les amis qu'il se fait à Paris s'appellent Jean Galtier-Boissière, Joseph Kessel, Francis Carco, Pierre Mac-Orlan, Roland Dorgelès, Marcel Prévost, Henri Jeanson, Edouard Helsey, André Billy, Louis Jouvet, Marcel Pagnol ou, encore, les peintres Villebmuf, Oberlé, Dignimont, Touchagues, etc. Béraud est l'authentique chef de file de cette école, et sa Croisade contre les longues figures montre bien cette ligne de fracture qui partage irrémédiablement les lettres françaises avec, d'un côté, les " gallimardeux ", les " gidards " et, de l'autre, ses amis à lui, bons vivants, gouailleurs et sachant lever le coude autant qu'il est souhaitable. Ce sont des écrivains très français, avec tous les excès - de langue et de plume - que cela peut signifier. Et telle est sa biographie : celle d'un homme qui aimait Wagner et le beaujolais mais pas les Anglais ni les " métèques ", comme Céline et quelques rares autres.

10/2003

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Littérature française

La petite place

Henri Béraud (1885-1958) a laissé quelques inédits, par exemple "La petite place" qui était annoncé comme "à paraitre" dans d'autres ouvrages de l'auteur, des ouvrages appartenant plutôt à la période "lyonnaise" du romancier et reporter. L'association des amis d'Henri Béraud a fait l'acquisition du manuscrit original et du tapuscrit lors de la vente Henri Béraud qui s'est déroulée à Paris, salle Drouot, le 18 novembre 2015. Ce récit fait un peu penser au Clochemerle de son ami Gabriel Chevallier. Henri Béraud nous raconte une joute électorale opposant socialistes, radicaux et conservateurs, à propos de la rénovation d'un quartier de la ville. Il a le mérite de nous faire vivre la vie politique et la vie tout court dans une sous-préfecture de province, au début du XXe siècle : les clivages de l'époque, les références, et aussi le vocabulaire de ce temps, les métiers exercés, l'importance des cafés, la place du clergé, le militantisme catholique, son engagement. Tout cela contribue au charme de ce petit roman, qui ressemble plutôt à une longue nouvelle. L'action se déroule au printemps et au début de l'été 1914 ; assez politique, il a une tonalité générale plutôt anarchisante : les conservateurs comme les radicaux sont brocardés. Les socialistes, ex-communards et rescapés de la révolution de 1848 s'en sortent mieux, même si Béraud en fait des portraits somme toute peu flatteurs. Si l'ouvrage a été écrit en 1914, comme on peut le supposer, ou peu de temps avant, cela signifie que Béraud a alors 29 ans. On appréciera le ton du reporter, les dialogues truculents de ce récit assez cocasse...

10/2021

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Littérature étrangère

Apprenti reporter

Hemingway a été chargé dans sa jeunesse des chiens écrasés au Kansas City Star. On reconnaît maintenant que son métier de journaliste lui a beaucoup servi pour devenir écrivain et romancier. Le docteur Bruccoli, professeur d'anglais à l'Université de la Caroline du Sud, est parvenu à attribuer onze articles anonymes du Kansas City Star à Hemingway. On y découvre déjà son talent et ses dons exceptionnels pour évoquer la violence et camper des personnages.

01/1973

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Policiers

Reporter criminel

Le 28 août 1963. le jour où Martin Luther King prononce son célèbre discours "I have a dream", deux jeunes filles sont sauvagement poignardées dans leur appartement de Manhattan. A l'issue d'une enquête bâclée et orientée, George Whitmore, un jeune Noir, est accusé du crime. Le 12 février 1976, l'acteur Sal Mineo est assassiné devant chez lui à Los Angeles. Le LAPD mène l'enquête. Toutes les théories sont avancées autour de ce meurtre. mais la vérité est ailleurs. James Ellroy revient sur ces affaires dans deux reportages que lui avait commandés le Vanity Fair américain. Dans la grande tradition des écrivains journalistes, de Truman Capote à Nick Tosches, il réinvente le déroulement des enquêtes, en empruntant la voix des flics et en faisant résonner la sienne, inimitable.

10/2018

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Littérature française

Henri ou Henry. Le roman de mon père

"Je lui aurais obéi. Je lui ai toujours obéi. Même le soir où on l'a retrouvé allongé sur le tapis chinois de son bureau, le cœur presque arrêté. Le médecin était là avant moi, il m'a chuchoté d'aller lui dire adieu parce qu'il n'arriverait pas vivant à la clinique, il allait mourir dans l'ambulance. Quand je me suis accroupi pour l'embrasser, papa m'a dit de lui servir un whisky sec, bien tassé. Ne fais pas ça, m'a dit maman, tu vas tuer ton père. Je l'ai fait quand même, toujours obéir à papa, j'ai soulevé sa tête pour qu'il soit bien à l'aise pour boire son whisky, qu'il en profite à fond, je n'avais pas lésiné sur la dose, j'ai senti les boucles de sa nuque ma caresser la paume, ça faisait comme un chat un peu lourd et qui semblait avoir froid, je lui ai demandé de ne pas mourir, pas comme ça, pas couché sur le tapis, alors il m'a dit laisse-moi finir ce putain de whisky et tu m'aideras à me relever, ne le bougez surtout pas a dit l'ambulancier, c'est mon père, j'ai dit, j'ai aidé papa à se redresser, à se mettre debout, il ne tenait pas très bien sur ses jambes mais il n'est pas tombé, il s'est appuyé sur moi pour marcher jusqu'à la porte palière où l'attendait la civière pour l'enfourner dans l'ambulance où il devait mourir, et il n'est pas mort, ni dans l'ambulance ni à la clinique, il n'est pas mort ce soir-là, le scotch y fut peut-être pour quelque chose, c'est la preuve en tout cas qu'une fois de plus j'avais bien fait d'obéir à mon père. Et ce livre est tout le contraire, une désobéissance. " Des années et des années après Abraham de Brooklyn et John l'Enfer, Didier Decoin raconte enfin la vie du plus beau de ses héros, Henri Decoin, son père.

05/2006

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