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Henri Rey-Flaud

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Dossier

Un titan littéraire : découvrir les livres d'Henry James

Henry James est né le 15 avril 1843 à New York, au sein d'une famille aisée d'intellectuels. Son père, Henry James Sr., était un éminent théologien et philosophe, offrant au jeune James un environnement nourri de débats intellectuels dès son plus jeune âge.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Ray Bradbury

Né le 22 août 1920, Ray Bradbury est un des grands noms de la littérature de science-fiction américaine, particulièrement réputé pour la qualité de ses nouvelles, notamment grâce à ses recueils L'Homme illustré (1951), Un remède à la mélancolie (1958) ou encore les Chroniques martiennes (1950). 

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Dossier

Rentrée littéraire 2022 : huit romans détachés du peloton

Dans le cadre d'une tournée inédite de présentation de leur rentrée littéraire, quatre éditeurs – Philippe Rey, Le Tripode, Le Passage et Bruit du Monde – vont à la rencontre de 250 libraires à travers la France. En avant première, ils nous proposent de découvrir les extraits des différents romans qui seront alors dévoilés.

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Dossier

Points Classique : La collection poche qui donne envie de (re)lire vos classiques

Découverts au lycée, les classiques de la littérature ont toujours été parmi nous : si nous les avons aimés, nous ne pouvons nous en passer. Si nous les avons détestés, il serait temps de leur donner une nouvelle chance. Et pour cela, les éditions Points ont décidé de redéfinir et de réinventer l'accès à ces classiques littéraires...

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Dossier

Nouveautés, actualités : les livres et romans de David Foenkinos

Né le 28 octobre 1974 à Paris, David Foenkinos fait son entrée dans le monde des lettres en 2002 avec la publication de son premier roman, Inversion de l'idiotie : de l'influence de deux Polonais, chez Gallimard. Depuis, David Foenkinos a publié une quinzaine de livres, avec un certain nombre de succès, dont Le Potentiel érotique de ma femme (2004) et La Délicatesse (2009).

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Dossier

Le Prix Eugène Dabit du roman populiste

Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».

Extraits

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Psychologie, psychanalyse

L'enfant qui s'est arrêté au seuil du langage. Comprendre l'autisme

L'autisme n'est pas un déficit mental irréversible. Les observations les plus récentes des cliniciens ont permis à l'auteur d'établir que les autistes sont arrêtés au stade primordial de la vie, dominé par les sensations, stade où déferlent en permanence sur le nourrisson des flots d'excitations anarchiques et insensés. Pour émerger de cet état primitif et accéder à l'espace plus élaboré des perceptions, l'autiste attend seulement d'être relancé dans la dynamique du langage à laquelle les autres enfants sont introduits spontanément, sans difficultés majeures. Le défaut de communication, expression la plus manifeste de l'enfermement de l'autiste, révèle alors qu'il peut être corrigé et le contact avec l'entourage restauré. Mais il faut pour cela avoir reconnu la nature des processus psychiques qui régissent normalement les premiers échanges entre le nourrisson et les parents, afin d'identifier le type de court-circuit qui, à un moment donné, a coupé l'enfant de la possibilité du partage. Redonner leur sens aux conduites aberrantes et souvent rebutantes des enfants autistes et, à partir de là, comprendre pourquoi ils ont échoué dans la relation vitale à autrui est aujourd'hui l'approche la plus respectueuse des sujets prisonniers de cette condition douloureuse, en même temps que la seule véritablement susceptible de les réintégrer dans la communauté humaine.

10/2010

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Psychologie, psychanalyse

Je ne comprends pas de quoi vous me parlez. Pourquoi refusons-nous parfois de reconnaître la réalité ?

Ce livre renouvelle la représentation psychanalytique du psychisme humain en corrigeant la conception classique, fondée sur le refoulement. Il jette un nouvel éclairage sur les derniers textes de Freud, en dégageant le rôle d'une opération inédite que Kant avait pressentie sous le nom de "mensonge intérieur" et que Lacan allait appeler le "démenti". Ce processus, peu connu, jusqu'ici réservé à la perversion, produit chez le sujet, à l'économie de tout travail inconscient, un clivage entre sa croyance et la réalité exprimé par la phrase canonique : "Je ne comprends pas de quoi vous me parlez." Un peu comme si coexistaient chez lui tout à la fois la folie et le bon sens, Don Quichotte et Sancho Panza. Freud, sur l'Acropole d'Athènes, fit l'expérience de ce vécu étrange d'où il tira des conclusions fascinantes qui ébranlèrent les deux piliers fondateurs de sa théorie : le refoulement et l'inconscient. A la lumière de cas cliniques passionnants, Henri Rey-Flaud nous entraîne au plus profond de la "crypte" obscure où se jouent ces conflits ignorés, et nous montre comment, dans l'histoire contemporaine, les relations humaines ont été affectées par cette aptitude secrète à démentir la réalité lorsque celle-ci vient menacer les enjeux vitaux de l'individu ou de la société.

04/2014

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Sociologie

George Brummell, dandy, saint et martyr

George Brummell, prince des dandys, ne doit pas être confondu avec tous les épigones qui ont usurpé et dévalué ce titre. L'envers des élégants qui rivalisent entre eux par la coupe ou la richesse de leurs parures, le dandysme selon Brummell est un art du dépouillement, déjà illustré, en d'autres temps, par la peinture et la sagesse orientales. A ce titre, il s'oppose radicalement à toutes les formes d'excentricité, incarnées par Barbey d'Aurevilly, biographe de Brummell, et, à l'occasion, par Baudelaire. Il introduit ainsi une forme inédite d'harmonie fondée sur la négativité, par où il rejoint l'esthétique des troubadours ou de Mallarmé. Par là, il présente dans le monde le modèle d'un homme sans qualités, bien fait pour déstabiliser les lords et les ladies de la cour du régent. Il parachève son personnage par la pratique d'un humour assassin dont chaque trait détient une perle de la pensée, pour peu que soit dégagée la "substantifique moëlle" qu'il recèle, à quoi échouèrent jusqu'ici ses différents critiques. Si Brummell a exercé pendant vingt ans une souveraineté absolue dans tous les salons d'Europe, c'est qu'il introduisait, à travers son déni de la mode, une subversion de tous les idéaux et de toutes les valeurs de l'ancien monde, pour quoi il fut plusieurs fois comparé à Napoléon par ses contemporains. Un point toutefois est resté ignoré des historiens, c'est que cette action destructrice impliquait la propre disparition de son auteur, ce qu'il accomplit lui-même par sa ruine financière préméditée, sa disgrâce provoquée auprès du régent, son exil en France enfin où il va connaître la misère, la prison pour dettes, la folie et la mort, annonçant par là le destin d'un autre personnage, Oscar Wilde, son seul héritier, qui, après avoir connu une gloire pareille à la sienne, parcourra le même chemin de croix, au terme duquel il éprouvera, comme Brummell, une même apothéose.

02/2023

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Sciences politiques

La France s'éteint, l'Islam s'embrase.... Réflexions sur un malaise

En France, les promoteurs du multiculturalisme imputent les tensions avec la communauté d'origine et de culture musulmane à une "islamophobie" qui serait comme le reliquat des conflits coloniaux. Or, il y a longtemps qu'en France, les guerres de religion n'ont plus cours. Derrière les drames suscités par les attentats terroristes, derrières les exaspérations des uns et des autres, le ressort de l'antagonisme entre l'Islam et le monde judéo-chrétien n'est pas d'abord de nature religieuse et politique. C'est dans une strate spirituelle plus profonde qu'il faut chercher la raison de cette antinomie : il s'agit de ce que les philosophes, avec Hegel, ont appelé les "moeurs", qui encadrent et commandent les conduites et les activités de l'existence, et qui règlent en particulier les relations entre hommes et femmes et parents et enfants. Elles sont ce pour quoi une personne reconnaît comme son semblable celui qui partage ses moeurs et que lui apparaît comme un étranger celui qui lui donne à voir des moeurs inconnues qui le dérangent, l'inquiètent ou l'horrifient. Tout l'intérêt de cet ouvrage est de procéder à un inventaire rigoureux de ces oppositions de moeurs, impensées et inconscientes, car c'est certainement par une connaissance plus approfondie d'elle-même que la société française, et sans doute européenne, pourra sortir par le haut de cet antagonisme mortifère. C'est la conviction de l'auteur, qui estime, à la suite de Claudel, que le pire n'est pas toujours sûr.

09/2020

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Psychologie, psychanalyse

Sortir de l'autisme. Parents, ces vérités qu'on vous cache

Depuis trop longtemps les principaux courants thérapeutiques de l'autisme se livrent une guerre sans merci, au grand dam des parents, qui ne savent plus à quel saint se vouer. Il est grand temps de sortir de ces oppositions stériles, d'apporter des réponses claires et une aide constructive. C'est l'objectif de ce petit livre : expliquer concrètement les tenants et les aboutissants des trois types de prise en charge des enfants autistes, et offrir aux parents un vade-mecum indispensable. Aujourd'hui, les techniques comportementales, développées sous le nom de conditionnement opérant, tiennent le haut du pavé. Elles ont en effet donné des résultats, mais à quel prix ? Henri Rey-Flaud révèle les conséquences néfastes du formatage psychologique, de l'éradication de l'inconscient, de la négation symbolique de l'enfant auxquelles elles exposent. Le « naturalisme » de Fernand Deligny, à l'exact opposé du comportementalisme, défend quant à lui l'idée que les enfants doivent être respectés dans ce qu'ils sont et ne subir aucune contrainte, aucune pression de la part de ceux qui ont fait le choix de les accompagner. Une approche de la maladie qui, comme la précédente, a montré ses limites, tout en mettant en lumière l'humanité inaliénable des autistes. Quant à la psychanalyse, elle n'est pas non plus exempte de tout reproche. Redéfinir sa place et son rôle est le second enjeu de ce livre. En traçant le profil d'une nouvelle psychanalyse, Henri Rey-Flaud dresse une liste de propositions thérapeutiques concrètes, allant de l'accueil de l'enfant à sa sortie volontaire de l'autisme, en passant par des techniques lui permettant de se forger l'identité nécessaire à sa libération. Ce livre, utile et pédagogique, ne cherche pas à relancer le débat, mais à donner aux parents des repères et des clés indispensables pour comprendre et choisir la meilleure voie thérapeutique.

02/2013

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Littérature française

Henri ou Henry. Le roman de mon père

"Je lui aurais obéi. Je lui ai toujours obéi. Même le soir où on l'a retrouvé allongé sur le tapis chinois de son bureau, le cœur presque arrêté. Le médecin était là avant moi, il m'a chuchoté d'aller lui dire adieu parce qu'il n'arriverait pas vivant à la clinique, il allait mourir dans l'ambulance. Quand je me suis accroupi pour l'embrasser, papa m'a dit de lui servir un whisky sec, bien tassé. Ne fais pas ça, m'a dit maman, tu vas tuer ton père. Je l'ai fait quand même, toujours obéir à papa, j'ai soulevé sa tête pour qu'il soit bien à l'aise pour boire son whisky, qu'il en profite à fond, je n'avais pas lésiné sur la dose, j'ai senti les boucles de sa nuque ma caresser la paume, ça faisait comme un chat un peu lourd et qui semblait avoir froid, je lui ai demandé de ne pas mourir, pas comme ça, pas couché sur le tapis, alors il m'a dit laisse-moi finir ce putain de whisky et tu m'aideras à me relever, ne le bougez surtout pas a dit l'ambulancier, c'est mon père, j'ai dit, j'ai aidé papa à se redresser, à se mettre debout, il ne tenait pas très bien sur ses jambes mais il n'est pas tombé, il s'est appuyé sur moi pour marcher jusqu'à la porte palière où l'attendait la civière pour l'enfourner dans l'ambulance où il devait mourir, et il n'est pas mort, ni dans l'ambulance ni à la clinique, il n'est pas mort ce soir-là, le scotch y fut peut-être pour quelque chose, c'est la preuve en tout cas qu'une fois de plus j'avais bien fait d'obéir à mon père. Et ce livre est tout le contraire, une désobéissance. " Des années et des années après Abraham de Brooklyn et John l'Enfer, Didier Decoin raconte enfin la vie du plus beau de ses héros, Henri Decoin, son père.

05/2006

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