Recherche

Henriette Levillain, Catherine Mayaux

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Dédicaces, programme, auteurs, éditeurs : le FIBD d'Angoulême 2020

La 47e édition du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême, ou FIBD pour faire plus court, se déroulera du 30 janvier au 2 février 2020 : à cette occasion, la ville tout entière vivra au rythme du 9e art, avec des événements un peu partout. Expositions, dédicaces, conférences, cosplays et autres masterclasses attendent les visiteurs, venus du monde entier. 

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Laetitia Colombani

Cinéaste, scénariste, comédienne et romancière, Laetitia Colombani s’apprête à réaliser au cinéma le film tiré de son premier roman La Tresse (Grasset, 2017), co-production internationale dont la sortie est prévue en 2022. Elle est également l’auteure des Victorieuses, best-seller en cours d’adaptation en série. L’album jeunesse Les Victorieuses, ou le palais de Blanche est également publié chez Grasset en juin 2021.

ActuaLitté

Dossier

Dédicaces, programme, auteurs, éditeurs : le FIBD d'Angoulême 2019

Le FIBD d'Angoulême, ou Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, tiendra sa 46e édition en 2019, du 24 au 27 janvier 2019, partout dans la ville de la région Nouvelle-Aquitaine. 

ActuaLitté

Dossier

Le prix des Deux Magots : 90 années à “défricher le talent”

Le prix des Deux Magots est une récompense littéraire française prestigieuse. Il est décerné chaque année depuis 1933 au Café des Deux Magots, situé dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés à Paris. Ce prix a été créé dans le but de reconnaître et de célébrer le travail des auteurs contemporains.

Extraits

ActuaLitté

Revues

Bulletin de la société Paul Claudel N° 236, 2022-1 : Les philosophes inspirés par Claudel

Contributeurs : Didier Alexandre, Agnese Bezzera, Yves Fravalo, Guanqiao Huang, Yinuo Jiang, Graciane Laussucq Dhiriart, Henriette Levillain, Stephen E. Lewis, Anne Mantero, Catherine Mayaux, Marie-Victoire Nantet, Jacques Parsi, Claude-Pierre Pérez, Jean-François Poisson-Gueffier, Armelle Rincquesen-Corman, Eric Touya de Marenne et Soeur Barbora Turkova.

04/2022

ActuaLitté

Critique littéraire

Dictionnaire Saint-John Perse

Poète de réputation mondiale (prix Nobel en 1960), diplomate à la carrière fulgurante brutalement interrompue en juin 1940, Alexis Leger/Saint-John Perse, méritait, à l'instar d'autres grands de notre culture, la publication d'un dictionnaire. Celui-ci s'appuie sur une critique renouvelée, libérée des interdits qu'avait fait peser le poète, enrichie des nombreux documents inédits portés au jour ces dernières années. Toutefois un dictionnaire d'auteur dans sa forme traditionnelle n'aurait pas rendu compte de l'importance de cette double carrière. Celui-ci, chronologique et thématique, présente les séquences d'une histoire qui débute aux Antilles et se termine sur la presqu'île de Giens, ponctuée d'épisodes glorieux et d'heures sombres. Les regroupements mettent en relief l'origine antillaise et le premier exil à Pau, les voyages choisis ou subis, les maîtres à penser, les amitiés littéraires et relations féminines, les faits et gestes du secrétaire général du Quai d'Orsay, puis de l'exilé à Washington, enfin de l'homme de "grand âge" à Giens. La matière verbale de la poésie, chantante et somptueuse, fait l'objet de rubriques spécifiques. Qui lit l'ouvrage dans la continuité découvrira peu à peu les deux faces d'une personnalité contestée et fascinante, partagée tout au long de son existence entre la chose publique et le songe. Il apprendra également à connaître la singularité d'une poétique à distance de la modernité et pourtant irréductible à une quelconque tradition.

08/2019

ActuaLitté

Critique littéraire

Cahiers Saint-John Perse Tome 18 : Une lecture de Vents de Saint-John Perse

Saint-John Perse a composé Vents pendant l'été 1945, alors qu'il séjournait, comme chaque été, sur une petite île du Maine (Etats-Unis). C'était le sixième été de l'exil, depuis que, au mois de juin 1940, Alexis Leger, le diplomate, avait été relevé de ses fonctions de Secrétaire général du Quai d'Orsay par Paul Reynaud. Du fond du silence et de la solitude, l'appel de la poésie s'était à nouveau fait entendre, elle qui avait été laissée en retrait depuis Anabase. Et avec le recueil, d'abord intitulé Quatre poèmes-1941-1944, puis Exil, un cycle s'était clos. Celui de l'exil politique la libération de la France occupée pouvait laisser légitimement prétendre à une réhabilitation du proscrit. Celui de l'exil poétique : Perse avait appris le sacrifice du passé et le dialogue imaginaire avec les gens de peu, sur les chantiers et les cales désertées par la foule, après le lancement d'une grande coque de trois ans. Le thème n'était bientôt plus de circonstance. Or, dans les mois qui précédèrent Vents, Saint John Perse se trouva face à un dilemme majeur : il allait falloir choisir entre la reprise de la vie publique du haut fonctionnaire - mais quelle serait-elle? - et la construction d'une grande œuvre poétique - mais serait-elle entendue? On sera peut-être surpris d'apprendre que c'est le poète qu'il avait eu l'intention durant l'été 1944 d'étrangler, devenu trop inopportun pour la préparation pratique à une vie nouvelle (lettre à Mrs Francis Biddle). Vents est donc le résultat inattendu d'une crise du renoncement, aussi grave que la nuit de Gênes pour Valéry. Finalement, Saint-John Perse a voulu demeurer chez ses amis américains, quitte à s'installer dans une posture fictive d'exilé. Dans son poème, il traverse les Etats-Unis, à cheval, d'Est en Ouest. Aurait-il tourné le dos à la vieille Europe blessée et renoncé à y faire entendre sa voix? Ou bien, serait-ce que la hauteur de sa monture et la distance de l'Atlantique fussent les seuls lieux d'où il réussissait à parler aux hommes de son pays? Poussé en avant par la force des vents, par le rythme entraînant du verset et les rebonds inouïs des images, le lecteur n'a pas toujours conscience du drame qui se joue dans Vents : les destinataires ardemment sollicités y sont absents.

11/2006

ActuaLitté

Biographies

Virginia Woolf, carte d'identité

Qui ignore aujourd'hui Virginia Woolf ? La beauté anxieuse de son visage, les tragédies de son enfance, sa mélancolie suicidaire, ses appréhensions sexuelles, sa liaison tumultueuse avec Vita Sackville-West et sa défense de la cause des femmes ? Au cinéma comme au théâtre sont exposés avec complaisance ses frustrations d'adolescente et ses combats contre l'autorité masculine, ses crises de dépression et sa noyade dans la rivière Ouse. Les féministes ont fait d'elle une icône, et les psychiatres diagnostiqué sa maladie. Or aucun de ces arrêts sur image ne donne la clef d'une imaginative qui s'est refusée à aggraver le malheur, à laisser le dernier mot à la mort. Dans cet essai aux multiples entrées, Henriette Levillain rend à l'oeuvre romanesque son autonomie au regard des confidences de la femme en souffrance. Les personnages de Virginia Woolf ne sont pas des reflets mais des créatures auxquelles elle donne le pouvoir de relier ce que la vie ne cesse de séparer, les corps comme les consciences. "Beauté", "Féministe", "Marcheuse" ou "Poète", autant de fenêtres ouvertes sur les secrets d'une artiste qui, malgré son drame intime, savait enchanter le quotidien.

02/2021

ActuaLitté

Critique littéraire

Yourcenar. Carte d'identité

Rendue célèbre en 1951 par Mémoires d’Hadrien (prix Femina), puis par L’Oeuvre au Noir (1968), Marguerite Yourcenar (1903- 1987) a été aussitôt classée, pour le meilleur et le pire, parmi les grands écrivains français classiques : érudite, impersonnelle, maîtrisée jusqu’à l’excès dans le style et les passions, académique avant l’heure de son élection. En réalité, avec le recul du temps et grâce à la connaissance nouvelle de son oeuvre intime - Mémoires, Correspondances - ou de ses récits plus modestes Nouvelles, Essais -, une personnalité tout autre d’écrivain femme se révèle. Avec son ironie et ses attendrissements, son orgueil et son humilité, son pessimisme grandissant et son idéal de bonté, son homosexualité affichée et sa misogynie. Accueillir et identifier ces passions contradictoires en allant de l’oeuvre à la vie et réciproquement, tel est l’enjeu de cet essai. Il faut du temps pour approcher la «vérité» d’un écrivain comme Marguerite Yourcenar. Henriette Levillain, par cette carte d’identité, nous permet néanmoins de s’en approcher. D’aristocrate à écologiste, de frontalière à visionnaire, elle dresse dans un abécédaire biographique le portrait de cet auteur paradoxal. Henriette Levillain, professeur émérite à Paris-Sorbonne. Auteur de nombreux ouvrages et articles parmi lesquels Saint-John Perse, Fayard, 2013 (Grand Prix de la biographie littéraire de l’Académie française), Mémoires d’Hadrien de Marguerite Yourcenar (Foliothèque, 1993), Qu’est-ce que Le Baroque ?, Klincksieck, 2003.

01/2016

ActuaLitté

Biographies

Katerine Mansfield. Rester vivante à tout prix

Katherine Mansfield est née en 1888 à Wellington, en Nouvelle-Zélande. Elle est morte de la tuberculose en 1923 à Avon, près de Fontainebleau. Elle avait trente-quatre ans. Mansfield, par instinct et par goût, n'a écrit que des nouvelles. Faute de traces de son "campement" sur terre et en raison de nombreux malentendus, Katherine Mansfield, la seule dont Virginia Woolf avouait avoir été jalouse en tant qu'écrivain, est tombée dans la fosse commune de l'oubli. L'écriture fut son unique ligne de force. Dans le Midi de la France, où elle passe ses derniers hivers dans la souffrance et la solitude, elle écrit ses plus beaux textes. Elle cherche le mot juste, la perfection mélodique. Elle s'y épuise. Mais elle découvre enfin l'euphorie. Henriette Levillain retrace avec talent la vie et l'oeuvre de cette femme sensuelle, musicienne, éprise de nature et de liberté.

09/2023

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté