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Hermann expo

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Théâtre

Hermann

Léa Paule, médecin neurologue, reconnaît dans les couloirs de son hôpital la voix de Hermann, un ancien patient. Ce choc va la ramener dix ans en arrière, au moment où deux histoires d’amour se sont croisées, où l’une est née des cendres de l’autre. Hermann nous transporte dans les méandres de la mémoire, aux frontières de ce que peut expliquer la science et de ce qui lui échappe, aux frontières du possible et de l’amour absolu.

01/2014

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Littérature étrangère

Expo 58

Londres, 1958. Thomas Foley dispose d'une certaine ancienneté au ministère de l'Information quand on vient lui proposer de participer à un événement historique, l'Exposition universelle, qui doit se tenir cette année-là à Bruxelles. Il devra y superviser la construction du Pavillon britannique et veiller à la bonne tenue d'un pub, Le Britannia, censé incarner la culture de son pays. Le jeune Foley, alors qu'il vient de devenir père, est séduit par cette proposition exotique, et Sylvia, son épouse, ne voit pas son départ d'un très bon oeil. Elle fera toutefois bonne figure, et la correspondance qu'ils échangeront viendra entrecouper le récit des nombreuses péripéties qui attendent notre héros au pays du roi Baudouin, où il est très vite rejoint par de savoureux personnages : Chersky, un journaliste russe qui pose des questions à la manière du KGB, Tony, le scientifique anglais responsable d'une machine, la Zeta, qui pourrait faire avancer la technologie du nucléaire, Anneke, enfin, l'hôtesse belge qui va devenir sa garde rapprochée. Coe embarque le lecteur dans une histoire pleine de rebondissements, sans que jamais la tension ne retombe ou que le ridicule ne l'emporte. Sous la forme d'une parodie de roman d'espionnage, il médite sur le sens de nos existences et dresse le portrait d'un monde disparu, l'Angleterre des années 1950, une société tiraillée entre une certaine attirance pour la liberté que semble offrir la modernité et un attachement viscéral aux convenances et aux traditions en place.

02/2014

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Littérature étrangère

Cadavre Expo

Il était une fois, dans les ruines d'un pays déchiré par la guerre et la terreur, des assassins transformés en artistes, et leurs victimes en oeuvres d'art ; des soldats morts écrivant des romans d'outre-tombe ; des lapins pondant des oeufs ; un sourire refusant de s'effacer d'un visage ; des couteaux disparaissant par magie ; des fantômes et des djinns ; des hommes cherchant par tous les moyens à fuir, sur les routes de l'exil ou de l'asile, l'effroi d'une existence tout entière régie par le théâtre de l'absurde et de la cruauté. Les quinze nouvelles qui composent ce recueil déploient un univers d'une violence inouïe et d'une rare noirceur - illuminé cependant par l'enchantement de la poésie, de l'humour et de l'imagination. Entre le rire et la rage, l'insoutenable et le merveilleux, le trivial et le sublime, Cadavre Expo nous fait visiter le musée des horreurs de notre inhumanité quotidienne. Mais Hassan Blasim, jeune écrivain visionnaire, transcende l'atrocité pour nous offrir le tableau d'un monde carnavalesque singulièrement vivant.

01/2017

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Poésie

Johannes, Hermann

Ce matin, rue Gambetta statues en plâtre abandonnées par Martin, créateur de mode Un homme presse le pas Les trois amoureux de Camille oublient de traverser le pont Camille chante à mi-voix comme souvent le soir Deux jours, deux nuits chambre vingt-sept rideaux fleurettes maintenant elle photographie la ville

10/2014

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Beaux arts

L'expo idéale

Ce livre d'artiste se visite comme une exposition. Les fenêtres et jeux de superpositions animent les oeuvres, jouent avec notre regard et nous invitent à créer dans une explosion de couleurs, de formes et d'inspiration.

11/2021

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Allemand apprentissage

Hermann et Dorothée

" Vous avouerez que ce poème marque l'apogée de l'art de Goethe et de tout notre art moderne. J'ai vu naître cette épopée et la façon dont elle est née m'a causé presque autant d'admiration que l'œuvre elle-même. Tandis que nous autres nous sommes forcés de rassembler et de choisir péniblement nos matériaux, pour n'arriver qu'à sortir lentement quelque chose de passable, lui n'a qu'à secouer d'une main légère l'arbre de son génie pour en faire tomber les plus beaux fruits, des fruits mûrs et pesants. On ne peut s'imaginer avec quelle aisance souveraine il moissonne maintenant les fruits d'une vie si bien employée et d'une culture de tous les instants, quelle gravité et quelle sûreté il y a dans tous les pas qu'il fait, et à quel degré la clarté de ses vues sur lui-même et sur les choses le préservent de tout vain effort et inutile tâtonnement. Lettre de Friedrich Schiller au peintre Johann Heinrich Meyer 21 Juillet 1997

10/1991

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