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Histoire venir Toulouse

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Dossier

Nota Bene : visiter et apprendre l'Histoire, autrement

NotaBene – « L'histoire est devenue ma passion quand j'ai créé ma chaîne Youtube », explique Benjamin Brillaud, fondateur de Nota Bene. Ses émissions, qui recensent aujourd’hui 2,16 millions d’abonnés, travaille à rendre l’Histoire plus abordable. Une approche pédagogique et ludique qui devait, assez logiquement, conduire à puiser dans d’autres supports comment rendre le sujet plus populaire encore.

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Dossier

Des romans pour adolescents qui explorent l'Histoire

Dès ses premières publications jeunesse en 2010, Scrineo a proposé des romans mêlant histoire et fantastique, en lien avec l’ADN de la maison “Le savoir et l’imaginaire”. C’est le cas de la série Les Haut Conteurs, des romans fantastiques médiévaux à succès, et de la série Via Temporis, autour d’une machine à remonter le temps pour explorer plusieurs époques. Comment comprendre le présent sans les notions indispensables sur le passé ? C'est pourquoi la maison a construit plusieurs collections historiques, pour mieux donner vie à cette mémoire. 

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Peuples et civilisations : histoires en majuscule

Les Magyars sont-ils les descendants d’Attila ? Napoléon est-il le descendant d’Apollon ? Le récit des peuples et des civilisations se construit sur des mythes fédérateurs et galvanisants. L’Histoire c’est autre chose : c’est le « Je me souviens » du groupe. Comme tous retours vers le passé, c’est autant une nécessité qu’un danger. Comment raconter l’Histoire de Venise ou de l’armée italienne ? À travers ses hauts faits ou la réalité quotidienne ? Tous ces historiens nous éclairent grâce à un patient et rigoureux travail dans les sources. 

 

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Dossier

Luca Di Fulvio : l'homme qui riait de l'Histoire

Luca Di Fulvio est un écrivain italien contemporain dont le talent a traversé les frontières. Né en 1957 à Rome, il a su, dès son plus jeune âge, que les mots seraient sa vocation. Après des études en dramaturgie, il s'est lancé dans l'écriture, mêlant habilement histoire, suspense et émotions. Décédé le 31 mai 2023 à l’âge de soixante-six ans, il laisse une oeuvre foisonnante, ancrée dans l'Histoire. 

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Dossier

Mangas.io : l’avenir du manga numérique ?

Une application pour lire ses mangas en illimité et légalement : la communauté l’attend depuis des années. Cependant, aucune solution ne semble pour l’instant satisfaire les millions de lecteurs pirates français... Mais grâce à son système à l’abonnement, Mangas.io tente de faire évoluer le marché du manga numérique. 

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Dossier

Carnet de bord d'Audrée Wilhelmy

En août / septembre 2024, Audrée Wilhelmy publiera au Tripode son prochain roman, Peau-de-sang. L'autrice québécoise a choisi ActuaLitté pour raconter l'histoire qui précède l'ouvrage : entre carnet de bord et feuille de route, voici l'aventure inédite d'un livre à venir, et de sa créatrice.

Extraits

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Sciences historiques

Nouvelle histoire de Toulouse

Toulouse, le "païs" de Nougaro, la patrie des violettes et du rugby... Mais que sait-on vraiment de son passé ? D'abord ville romaine, elle devient capitale du royaume wisigothique, puis de celui d'Aquitaine... Si la croisade albigeoise marque un période difficile, la Ville rose affirme, dès 1152, son originalité avec la place que tiennent en son sein les "Capitouls". Entre les XVI e et XVII e siècles, la cité connaît un vrai "siècle d'or" grâce à l'exportation du pastel. Plus tard, la forte industrialisation au lendemain de la Première Guerre mondiale donnera naissance à l'une des métropoles les plus dynamiques aujourd'hui en Europe. Cet ouvrage retrace ainsi l'histoire mouvementée d'une ville riche en personnages et événements avec, comme symboles de sa réussite, ses universités, l'aéronautique et l'aérospatiale. Livre de référence, écrit par des historiens de renom, la Nouvelle Histoire de Toulouse vous propose un voyage inédit dans le temps, des origines à nos jours.

12/2014

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Tourisme France

Toulouse Métropole. Une histoire en devenir

Trente-sept communes, 762 956 habitants, 45 820 hectares dont 43% d'espaces naturels, agricoles et forestiers, plus de 100 000 étudiants... les chiffres ont toute leur importance pour décrire le paysage socio-économique de Toulouse Métropole. Mais quelle est la "personnalité" de ce territoire ? Comment s'est construit son paysage historique, économique et culturel ? C'est d'abord une histoire partagée, celle qui, de la romanité à nos jours, en a modelé les contours. Après les villae gallo-romaines, ces fermes disséminées autour de l'antique Tolosa, le Moyen Age voit la constitution des seigneuries et la fondation des paroisses ; les communes instituées à la Révolution ont presque toutes conservé leurs limites de 1790. Toulouse ne cesse de grandir et, à partir des années 1960, c'est aussi le tour des trente-six autres communes qui accueillent aujourd'hui près de 40% de la population de la Métropole. Métropolitains des villes et Métropolitains des champs partagent désormais un territoire et un avenir communs. Toulouse Métropole c'est aussi une économie. Jusqu'au début du XXe siècle, Toulouse est une grande cité industrieuse, administrative et commerçante, au milieu d'une vaste plaine agricole plutôt prospère. Le pastel a fait la fortune de quelques riches commerçants au XVIe siècle, mais point d'industrie jusqu'à ce qu'un jeune industriel, ambitieux et avisé, venu des Pyrénées voisines, se lance au sortir de la guerre de 1914-1918, dans la construction d'avions et l'exploitation de lignes aériennes commerciales. Nul ne le savait encore, mais le destin aéronautique de Toulouse était scellé ; le spatial suivra à partir des années 1970. Dans le même temps, l'université, créée en 1229, est devenue la troisième université de France en dehors de Paris. Toulouse Métropole, c'est enfin une culture et un art de vivre qui s'enracinent dans un patrimoine et dans une langue, cette belle langue d'oc qu'on entend encore chanter - un peu - dans l'accent. Une terre fertile depuis longtemps pour la créativité dans tous les domaines : arts littéraires et arts plastiques comme arts du spectacle vivant ; arts du ballon ovale comme du ballon rond ou de la belle foulée ; arts de la gastronomie comme art de la flânerie... Un territoire avec son histoire, son économie et sa culture, c'est ce paysage, cette mosaïque, que ce livre a pour ambition de montrer. Toulouse Métropole, un territoire à vivre, une histoire en devenir.

03/2019

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Documentaires jeunesse

Toulouse

Que vous y viviez ou que vous y veniez en vacances, embarquez pour une visite guidée de Toulouse avec "Mes p'tites questions atlas - Toulouse", à travers 16 questions d'enfant : C'est où Toulouse ? Pourquoi on la surnomme la Ville rose ? C'est quoi, le Capitole ? Est-ce qu'il y a de beaux parcs ? Comment s'appelle le fleuve qui traverse la ville ? Il y a la mer ou la montagne à Toulouse ? C'est loin, l'Espagne ? Pourquoi il y a beaucoup de dessins sur les murs ? Qui sont les Toulousains connus ? Toulouse, c'est la ville où on construit des avions ? C'est vrai qu'il y a une fusée Ariane à Toulouse ? Est-ce qu'elle grandit, Toulouse ? Qui parle occitan ? Est-ce que tout le monde joue au rugby ? Qu'est-ce que c'est, le pastel ? Il y a beaucoup de festivals à Toulouse ?

03/2020

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Religion

Toulouse

Ce n'est qu'en 1317, par une décision de Jean XXII, que Toulouse est devenu archevêché. Le siège fondé par saint Sernin comportait déjà cependant une histoire importante marquée, entre autres, par la tempête de l'hérésie cathare, et le couvent de Toulouse, fondé par saint Dominique, a été le premier des grands centres de Frères Prêcheurs, tout comme l'Université fut l'une des plus anciennes de France. En 1790, la nouvelle géographie ecclésiastique lui réunit les évêchés de Saint-Bertrand de Comminges et de Rieux, ainsi qu'une partie de celui du Couserans. C'est surtout aux XIXe et XXe siècles que son histoire est passée au premier rang des diocèses français, avec de grandes figures d'archevêques, parmi lesquelles se détache bien entendu celle de Mgr Saliège, mais aussi grâce à la ferveur d'une Eglise ardente, qui ne fut pas toujours en plein accord avec ses pasteurs. Il n'existait pas encore d'histoire de ce diocèse. Celle qui est offerte aujourd'hui dans la collection de l'Histoire des diocèses de France fait plus que combler une lacune. L'équipe est en partie cléricale. Pourquoi pas ? Surtout lorsque le clergé y est représenté par l'abbé GEORGES BACCRABÈRE, dont les premiers travaux portèrent sur les visites épiscopales des XVIe et XVIIe siècles et qui, depuis lors, a réalisé de remarquables recherches archéologiques sur Toulouse antique ; par l'abbé JEAN-CLAUDE MEYER, dont la thèse de doctorat sur l'Église et la Révolution en Haute-Garonne vient de paraître ; par Mgr CHANSOU qui, en qualité de vicaire général de Mgr Saliège, a vécu de l'intérieur la « mutation » du diocèse et dont de beaux ouvrages disent par ailleurs la vocation historique. L'équipe des laïcs est composée d'ELISABETH MAGNOU-NORTIER, ancienne étudiante de Toulouse, de PHILIPPE WOLFF pour les XIVe et XVe siècles, d'YVES CASTAN pour le XVIII, qui, sans être des spécialistes de l'histoire religieuse, peuvent se recommander d'une bonne connaissance des périodes traitées ; enfin de HENRI SEMPÉRÉ qui dirige à l'Université de Toulouse-le-Mirail les travaux accomplis sur la période contemporaine en histoire religieuse. Cette coopération, fructueuse et aisée, entre clercs et laïcs, répond à une tradition toulousaine. Comment ne pas évoquer ici le chanoine Etienne Delaruelle, ancien professeur à l'Institut Catholique, qui, s'il eût vécu, eût été le maître d'œuvre de ce travail ? Quoi qu'il en soit, l'ouvrage lui doit beaucoup.

01/1983

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Midi-Pyrénées

Toulouse

Le plan pratique de TOULOUSE offre un contenu complet : Rues piétonnes, Parkings, parkings relais, Transports en commun, Principaux édifices publiques (Administration, Ecoles, Lieux de culte, Installations sportives, Espaces de loisirs, Centres commerciaux). Vous trouverez en plus dans ce plan quelques mots d'introduction sur la ville, les sites à visiter, des renseignements pratiques, les stations vélos en libre service, le plan des transports. Son format pratique permet de le glisser dans la poche. Chaque commune a son index des rues détaillé positionné à côté de son plan pour permettre de se repérer plus facilement sur la carte. Ce plan a entièrement été mis à jour en 2022.

06/2022

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Religion

Toulouse

Ce n'est qu'en 1317, par une décision de Jean XXII, que Toulouse est devenu archevêché. Le siège fondé par saint Sernin comportait déjà cependant une histoire importante marquée, entre autres, par la tempête de l'hérésie cathare, et le couvent de Toulouse, fondé par saint Dominique, a été le premier des grands centres de Frères Prêcheurs, tout comme l'Université fut l'une des plus anciennes de France. En 1790, la nouvelle géographie ecclésiastique lui réunit les évêchés de Saint-Bertrand de Comminges et de Rieux, ainsi qu'une partie de celui du Couserans. C'est surtout aux XIXe et XXe siècles que son histoire est passée au premier rang des diocèses français, avec de grandes figures d'archevêques, parmi lesquelles se détache bien entendu celle de Mgr Saliège, mais aussi grâce à la ferveur d'une Eglise ardente, qui ne fut pas toujours en plein accord avec ses pasteurs. Il n'existait pas encore d'histoire de ce diocèse. Celle qui est offerte aujourd'hui dans la collection de l'Histoire des diocèses de France fait plus que combler une lacune. L'équipe est en partie cléricale. Pourquoi pas ? Surtout lorsque le clergé y est représenté par l'abbé GEORGES BACCRABÈRE, dont les premiers travaux portèrent sur les visites épiscopales des XVIe et XVIIe siècles et qui, depuis lors, a réalisé de remarquables recherches archéologiques sur Toulouse antique ; par l'abbé JEAN-CLAUDE MEYER, dont la thèse de doctorat sur l'Église et la Révolution en Haute-Garonne vient de paraître ; par Mgr CHANSOU qui, en qualité de vicaire général de Mgr Saliège, a vécu de l'intérieur la « mutation » du diocèse et dont de beaux ouvrages disent par ailleurs la vocation historique. L'équipe des laïcs est composée d'ELISABETH MAGNOU-NORTIER, ancienne étudiante de Toulouse, de PHILIPPE WOLFF pour les XIVe et XVe siècles, d'YVES CASTAN pour le XVIII, qui, sans être des spécialistes de l'histoire religieuse, peuvent se recommander d'une bonne connaissance des périodes traitées ; enfin de HENRI SEMPÉRÉ qui dirige à l'Université de Toulouse-le-Mirail les travaux accomplis sur la période contemporaine en histoire religieuse. Cette coopération, fructueuse et aisée, entre clercs et laïcs, répond à une tradition toulousaine. Comment ne pas évoquer ici le chanoine Etienne Delaruelle, ancien professeur à l'Institut Catholique, qui, s'il eût vécu, eût été le maître d'œuvre de ce travail ? Quoi qu'il en soit, l'ouvrage lui doit beaucoup.

01/1983

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