Le mouvement est en marche depuis le début de l'année, après les demandes très concrètes formalisées par l'association des libraires allemands devant les éditeurs. Les DRM « durs » comme celui d'Adobe, très utilisé dans l'édition, mais véritables punitions à l'usage, les forçaient à assurer le service après-vente, sans contrepartie. Pour le bien de l'industrie, il était nécessaire de changer de technologie et d'habitudes. L'appel a été largement entendu.