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Houaria Kaidari

Extraits

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Littérature française

Houara, mon amour

"Qui se souvient encore du Souk du Jeudi, de ses tentes blanches et de la joie de ses commerçants qui étaient l'âme du village ? Son emplacement a disparu absorbé par le béton des petites boutiques commerçan-tes sombres. Il a été progressivement "délocalisé" vers la périphé-rie, poussé comme un indésirable vers l'auto-route qui relie Agadir à Taroudant ? " ;

04/2014

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Critique littéraire

Houria Aïchi : Dame de l’Aurès

L'ouvrage se propose, dans une sorte de Carnet de voyage artistique, de retracer, à travers les éléments biographiques pertinents, et de longs entretiens avec l'écrivain Nourddine Saadi, le cursus de la carrière, l'itinéraire de l'artiste et ses réflexions sur ses chemins de la création. il met en rapport par tissage l'intérêt de son travail avec les fondements culturels du chant chaoui, de la femme chaouia, d'une esthétique singulière dans la culture algérienne et qui participe aujourd'hui des chants du monde. Des artistes peintres, des écrivains, des musiciens sont présents ici par d'amicaux clins d'oeil pour faire de ce livre une rencontre, un des mots favoris de l'artiste. C'est une oeuvre de collaboration de la plume et de la voix, née longue amitié, entre HOURIA AICHI et l'écrivain NOUREDINE SAADI.

09/2012

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Histoire internationale

Houari Boumedienne. Un homme, une revolution (1954 -1962)

Houari Boumediene a toujours suscité à la fois admiration et médisance. D'un point de vue purement politique, les uns l'ont dénigré, en le cantonnant dans le rôle d'un simple colonel, tandis que d'autres l'ont vénéré, au point de le considérer comme un grand révolutionnaire et bâtisseur d'un Etat. La transmission de la mémoire de Boumediene a été victime de cette vision. La guerre de Libération a été soumise à la mémoire et non à l'histoire. Une histoire sujette aux luttes et aux enjeux politiques, communautaires et identitaires qui sévissaient dans la société. Loin de toute subjectivité et influence politique, et à travers divers témoignages recueillis, Hamid Abdelkader lève le voile sur cette personnalité révolutionnaire, tout en retraçant son parcours et définissant son rôle pendant la révolution algérienne.

12/2012

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Littérature étrangère

Contes initiatiques peuls

Aux premiers âges du peuple peul apparut une terrible sorcière, Njeddo Dewal, mère de toutes les calamités, suscitée par Dieu lui-même pour punir les Peuls de leurs péchés... Au fil de multiples aventures, à la fois féeriques et fantastiques, ce conte traditionnel fondamental illustre la lutte éternelle entre le Bien et le Mal, le Bien étant ici incarné par un enfant miraculeux, Bâgoumâwel - avatar africain du Petit Poucet - qui seul pourra finalement triompher de la formidable puissance maléfique de Njeddo Dewal. Kaïdar raconte le voyage initiatique de trois compagnons, à travers un pays souterrain parsemé de rencontres symboliques et mystérieuses, vers la demeure du " lointain et bien proche Kaïdara ", dieu de l'or et de la connaissance. Sur le chemin du retour, un seul sortira victorieux de toutes les épreuves : celui qui, par amour de la connaissance, aura su ne rien garder pour lui de tut l'or reçu dans la demeure du dieu. " Devenu roi sans l'avoir cherché ", il recevra plus tard, en suprême récompense, la visite de Kaïdara lui-même et la révélation des secrets de tous les symboles rencontrés. Derrière l'aspect récréatif de ces deux grands contes africains conçus pour tus les âges, chaque image, chaque événement recèlent un important ensemble de notes sur la symbolique et la spiritualité africaines. Ces textes initiatiques, parmi les plus importants de l'héritage peul, illustrent les pièges à discerner et les étapes à franchir lorsqu'on est engagé dans la voie difficile de la conquête et de l'accomplissement de soi.

12/1995

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Histoire de France

Patton

George Patton est assurément le plus célèbre des généraux américains. Doté d'un sens inné du commandement et d'une incroyable habileté tactique, il combattra sans relâche depuis la Tunisie jusqu'en Allemagne, en passant par la Sicile, la Normandie, la Lorraine et les Ardennes. Maître de la guerre mécanisée, flanqué de ses Colts à crosse d'ivoire et coiffé de son casque lourd, " grande gueule " et gaffeur impénitent, Patton dit ce qu'il pense et fait ce qu'il dit. C'est l'archétype du héros - c'est le héros. Pourtant, son visage de guerrier n'est qu'un masque soigneusement étudié, tout comme son allure de justicier, son langage de charretier et ses effroyables accès de colère. Au-delà de ces artifices, soupçonne-t-on la fragilité psychologique de ce personnage qui connaîtra de graves épisodes dépressifs, frôlant même le suicide ? L'imagine-t-on dévoré par l'ambition et obsédé par son destin ? Ce récit illustré de photos rares retrace l'exaltante aventure d'une formidable bête de guerre, doublée d'une fabuleuse bête de scène.

05/2011

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Histoire ancienne

Massinissa. Le Grand Africain

Massinissa (238-148 av. J.-C.), l’un des premiers rois de la Berbérie antique, était le fils d’une prophétesse et de Gaïa, qui régnait sur un modeste royaume, coincé entre le territoire de Carthage à l’est et les États du puissant Syphax, à l’ouest. Animé d’une immense ambition, doué de qualités exceptionnelles, le prince parvint à agrandir le royaume ancestral aux dimensions du Maghreb. Le contexte politique et militaire de l’époque favorisa cette ascension. Carthage, grande puissance maritime et commerciale, dominait le bassin occidental de la Méditerranée ; elle se heurta à l’impérialisme naissant de Rome, au cours de trois guerres dites puniques. Le fils de Gaïa participa à la seconde (218-201 av. J.-C.) déclenchée par Hannibal, génie militaire qui voulait rendre à sa patrie, Carthage, son honneur et sa suprématie. Au terme d’une guerre-éclair, Hannibal remporta quatre brillantes victoires qui mirent Rome à deux doigts de la capitulation. Massinissa se battit d’abord dans les rangs carthaginois en Espagne. Puis, sentant le vent tourner, il rejoignit l’armée romaine commandée par Publius Scipion, le futur Africain. Dès lors, il devint le favori de la Fortune, qui lui accorda pouvoir, gloire et la faveur des Romains. Comblé par la Fortune de son vivant, il accéda à l’immortalité dès sa mort : ses sujets le divinisèrent et lui élevèrent des temples pour lui rendre un culte. Plus de deux siècles plus tard, il revivra dans l’épopée de Silius Italicus, La Guerre punique, sous les traits d’un guerrier valeureux et énergique, et d’un entraîneur d’hommes aux éminentes qualités morales. À notre époque, Massinissa, le conquérant et le bâtisseur de la grande Numidie, demeure une figure emblématique de l’Histoire du Maghreb. Universitaire algérienne, H. Kadra-Hadjadji est l’auteure de plusieurs livres, notamment d’un premier essai sur Jugurtha (Jugurtha, un Berbère contre Rome, Paris éd. Arléa, Alger, éd. Barzakh) ; d’une méthode d’arabe moderne (4e édition, Paris éd. Bachari) en collaboration avec Hamdane Hadjadji. Avec Massinissa, le Grand Africain, elle signe la première biographie de cet illustre Berbère

05/2013

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