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Histoire de France

Juger sous Vichy, juger Vichy

Juger sous Vichy, puis juger à la Libération. Servir l'Etat français et le maréchal Pétain, auquel ils ont prêté serment de fidélité, puis juger dans la France libérée et présider les juridictions de l'Epuration. En quelques années, les mêmes magistrats ont eu à affronter des situations pour le moins complexes, sinon contradictoires, sur lesquelles tout regard rétrospectif doit être remis dans son contexte historique. Les repères chronologiques sont essentiels car les attitudes des juges, comme celles de la plupart des Français à l'égard du régime de Vichy, vont évoluer entre 1940 et 1944.

10/2018

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Policiers

Mamie Luger

Six heures du matin : Berthe, cent deux ans, canarde l'escouade de flics qui a pris d'assaut sa chaumière auvergnate. Huit heures : l'inspecteur Ventura entame la garde à vue la plus ahurissante de sa carrière. La grand-mère au Luger vide son sac, et le récit de sa vie est un feu d'artifice. Il y est question de meurtriers en cavale, de Veuve Noire et de nazi enterré dans sa cave. Alors... Aveux, confession ou règlement de comptes ? Ventura ne sait pas à quel jeu de dupes joue la vieille édentée, mais il sent qu'il va falloir creuser. Et pas qu'un peu.

05/2020

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BD tout public

Juger Pétain

Paris, le 23 juillet 1945. Au beau milieu de l'été, un an après la libération de la capitale par les troupes du Général Leclerc, c'est sous une chaleur harassante que la foule s'agglutine devant les portes du Palais de Justice. Et pour cause, c'est aujourd'hui qu'à lieu le procès du maréchal Pétain. Le procès d'un vieux monsieur de 89 ans, que l'on dit sénile et dont on a du mal à croire qu'il fut tour à tour sauveur de la République puis meneur de l'ignoble Collaboration. Seulement 3 mois après la capitulation finale de l'Allemagne nazie, c'est le procès retentissant de l'un des personnages les plus controversés de l'histoire de France qui commence... Philippe Saada nous raconte le déroulement du procès Pétain dans un passionnant documentaire en BD, illustré par l'un des habitués de La Revue Dessinée : Sébastien Vassant. Permettant d'entrevoir tous les tenants et aboutissements de cet épisode crucial de l'après-guerre, cet ouvrage – adapté du film documentaire éponyme diffusé en 2015 sur Planète et France 5 – se révèle d'utilité publique.

09/2015

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Droit pénal

Juger les crimes

La détermination de la ou des juridictions devant juger les infractions les plus graves est lourde d'enjeux. La chose ne peut étonner : ils sont impliqués, tout à la fois, par la gravité singulière desdites infractions et par la question d'une participation populaire auxdites juridictions. En France et en Belgique, cela braque les projecteurs sur la cour d'assises donc sur la crise qu'elle traverse. Un tel objet de recherche intéresse évidemment la technique juridique, spécialement en procédure pénale, mais aussi notamment la définition de ce que doit être le juge en démocratie, le rapport aux droits fondamentaux ou à l'européanisation du droit qui peuvent bousculer des traditions nationales. Quel(s) juge(s) pour quel(s) crime(s) ? Cette question classique autant qu'essentielle est donc l'objet d'un renouvellement à l'aune des bouleversements que connaissent nos sociétés. Pour mieux l'envisager, la recherche collective dont cet ouvrage est issu pose cette question à plusieurs systèmes juridiques nationaux, sous le regard du droit européen supranational qui les coiffe. Outre la France et la Belgique, sont ainsi étudiées les situations anglo-galloise, allemande, suisse, italienne et espagnole. En ressort un tableau contrasté, à la mesure de la diversité des cultures juridiques et politiques évoquées. Il permet cependant de dégager des convergences, en particulier quant aux incertitudes qui travaillent nombre des droits d'Europe occidentale en la matière, reflets des mutations de nos sociétés et des hésitations et contradictions qu'elles suscitent.

12/2023

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Droit

L'art de juger

Le travail judiciaire est souvent exécuté dans un contexte d'incertitude sur des matières aussi élémentaires que les preuves et, à un autre niveau, en présence de conflits de valeurs qui déchirent la société. Le juge n'agit pas dans le brouillard et au hasard, mais il demeure que la prise de décision survient à l'intérieur d'une marge d'incertitude quant aux éléments de la situation en cause et davantage quant aux conséquences de l'orientation qu'il prendra. L'acte de jugement ne se réduit pas à un automatisme découlant d'une situation fort claire à partir d'un droit d'une portée évidente. Il ne s'agit pas de mettre en marche un mécanisme à l'égard duquel le magistrat ne porterait aucune responsabilité. Au contraire, son action est une activité de jugement au sens large. Elle fait appel à une prudence, à une certaine sagesse et à une sensibilité à la nature et aux effets de la décision. Il s'agit à juste titre de sagesse prudentielle et, ainsi, d'un rapport à une philosophie de la vie et de la nature humaine.

02/2019

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Actualité politique internatio

Peut-on juger Poutine ?

Injustifiable au regard du droit international, la guerre que mène Poutine contre l'Ukraine constitue la plus grande remise en question de l'ordre mondial depuis 1945. A la tête des juristes, universitaires et chercheurs français qui, à la suite de l'ancien Premier Ministre britannique Gordon Brown et du juriste Philippe Sands, appellent à la création d'un tribunal spécial pour juger les crimes d'agression contre l'Ukraine, Mathilde Philip-Gay raconte le combat actuellement mené pour juger les responsables du crime d'agression contre l'Ukraine. Mais pourquoi juger le chef d'Etat russe alors que George Bush ne l'a pas été pour la guerre en Irak ? Quelle sanction risque-t-il vraiment ? Vladimir Poutine peut-il être jugé par une juridiction internationale, en Ukraine, à La Haye ? Echappera-t-il au jugement par l'amnistie ou par une autre solution politique ? Mathilde Philip-Gay montre qu'en laissant faire les dictateurs, c'est toute la crédibilité, l'efficacité et la légitimité du système juridique international qui se trouvent anéanties. Ne pas punir cette nouvelle agression, c'est préparer les conflits mondiaux de demain ; accepter qu'il n'y ait alors plus aucun recours juridique, c'est céder à la "loi de la guerre". Il faut donc reposer les grands principes du droit international afin de juger ceux qui ont décidé de l'invasion de l'Ukraine, et, en premier lieu, Poutine.

05/2023

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