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Hugues Jallon Gafa

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BD tout public

Le Cousin Hugues

Le Cousin Hugues, sa mère dénaturée, sa cousine incestueuse, ainsi que sa gouvernante anglaise ont l'honneur de vous prier d'assister à leur totale décadence.

02/2009

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Science-fiction

Fugues

Ray Shackleford, réparateur de matériel hi-fi, se noie dans l'alcool et la musique pour tenter d'oublier une vie de couple chaotique et les brimades de son père. A la mort de ce dernier, sa vie bascule. Il se découvre un don singulier : il a le pouvoir de se projeter dans l'univers de ses groupes de rock favoris, d'enregistrer des versions inédites de leurs chansons. Poussé par Graham Hudson de Carnival Records, il accepte d'enregistrer l'album mythique et inédit des Doors : Celebration of the Lizard. Mais ces fugues vers le passé sont-elles sans conséquence ? Roman initiatique, réflexion sur le deuil, Fugues est aussi un magnifique hommage au rock des années 1960-1970 où l'on croise, entre autres, Jim Morrison, Brian Wilson, Jimi Hendrix ou les Beatles. Il a reçu le World Fantasy Award en 1994.

05/2014

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Littérature française

Fugues

Ce volume est la suite logique de La Guerre du Goût (1994), d’Éloge de l’infini (2001), et de Discours Parfait (2010). Jamais trois sans quatre. Une fugue, je n’apprends rien au lecteur, est une composition musicale qui donne l’impression d’une fuite et d’une poursuite par l’entrée successive des voix et la reprise d’un même thème, et qui comprend différentes parties : l’exposition, le développement, la strette. La strette, comme on sait, est la partie d’une fugue précédant la conclusion, où les entrées du thème se multiplient et se chevauchent. Les thèmes sont ici multiples, mais, en réalité, il n’y en a qu’un : la formulation comme passion dominante. Le mot « fugue » a aussi un autre sens, toujours musical : les enfants rebelles font souvent des fugues dans la nature. Il ne leur arrive pas forcément malheur. Il est vrai qu’ils ne deviennent pas universitaires ou membres des institutions académiques. Leur tempérament est foncièrement anarchiste. Leurs choix sont variés, mais tendent tous à la liberté. En 1985, paraissait un curieux roman, Portrait du Joueur, dont voici le début : « Eh bien, croyez-moi, je cours encore… Un vrai cauchemar éveillé… Avec, à mes trousses, la secte des bonnets rouges… Ou verts… Ou marron… Ou caca d’oie… Ou violets… Ou gris… Comme vous voudrez… Le Tibet de base… Singes, hyènes, lamas, perroquets, cobras… Muets à mimiques, tordus, érectiles… Hypervenimeux… Poulpeux… Un paquet de sorciers et sorcières, un train d’ondes et de vibrations… (…) L’anti-littérature au complet !… » L’anti-littérature, sans doute, mais aussi, de plus en plus, l’absence totale de pensée. A travers mille difficultés et ennuis, j’ai fait ce que j’ai pu, lecteur. Cependant, je crois à ton avenir d’éclaircie, et j’espère que tu cours encore.

10/2012

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Poésie

Fugues

S'il existe plusieurs chemins pour se rendre en poésie, il y a aussi différents moyens d'aborder l'art de la fugue. Dans ce texte qui pourrait être une ode à la joie, un carnet de voyages intérieurs ou une composition de Jean-Sébastien Bach, celle dont se révèlent peu à peu les contours est avant tout une voix, l'écho d'une pensée qui décortique un quotidien auquel la narratrice tente d'échapper tout en jouant à s'en emparer. C'est aussi le journal d'une femme de notre temps, qui travaille, vit dans une maison, aime un homme dont on devine la présence, élève des enfants, fait pousser des légumes tout en se cultivant elle-même, où l'on croise les réminiscences d'une enfance qui pourrait être la nôtre, des personnages de films ou de romans, des animaux domestiques et d'autres sauvages, des paroles de chansons, des recettes de cuisine exotique, des formules en latin, des notions de psychanalyse qui tournent autour du père, du lapsus et de la langue, des rêves de cathédrale, de plage enneigée et de jus de citron...

12/2020

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Beaux arts

Fugues

Fuguer n'est pas une mince affaire. Il peut s'agir de fuir son domicile ou d'entreprendre une escapade sans conséquence. La fugue est également, bien sûr, une écriture musicale. Singulièrement, la suite des dessins de Marie Mirgaine apporte sa pierre à l'édifice que constitue cette longue et savante histoire de la fugue. Comme en musique, effectivement, les créations de Marie Mirgaine ont la rigueur d'une suite d'imitations ouvrant la voie à l'alternance d'un thème qui s'enchaîne à travers la reprise (comme on le dit d'un canon pour le chant) : reprise et répétition de couleurs, de formes et d'impulsions articulées les unes aux autres. Ainsi se consitutent des dynamiques, des trajectoires où chaque nouveau mouvement des personnages en fuite (en fugue) reprend certains aspects des précédents pour obtenir pleinement l'accomplissement de ses propres énergies. Il y a même là une sorte d'ardeur, on pourrait dire, ce qui ne saurait nous étonner, si l'on songe un instant à la racine de ce mot fugue, de l'italien fuga, dont l'une des variantes : foga, a produit le mot fougue. Et plus encore : la fugue fait également écho aux notions de jointures et d'ajustements, agencement ou combinatoire de parties, le propre même, à bien y regarder, des compositions dessinées de Marie Mirgaine dont la technique, comme elle l'explique elle-même, est d'ajuster, d'organiser, en les superposant les uns aux autres, des morceaux de papier de toutes espèces. A n'en pas douter, il s'agit donc ici d'un art (cet ars, cette habilité, cette technique) dont la signification repose en son fond sur les notions d'assemblage et d'organisation. D'un art dont l'objet, peut-être, serait d'échapper par la fugue (la fuite vers nulle part) à l'immobilité, au poids cadavérique de la mort même, pour mieux lancer un hymne à l'impulsion, à la poussée de la vie, dont le rythme relèverait à la fois de la pulsion d'un choeur et du battement du coeur.

04/2019

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Musique, danse

Fugues

"J'avais quinze ans, et un mois plus tôt j'avais fugué. Ca avait été beaucoup plus simple que je ne le croyais. On était à l'aéroport de Pointe-à-Pitre, pour rentrer à Paris, et j'avais fermement pris ma décision. Deux jours avant, il s'était passé une chose prodigieuse et après cette chose je ne pouvais plus revenir en arrière". Arthur H signe ici un bouleversant autoportrait, en trois fugues. Celle de sa mère, Nicole Courtois, à l'âge de dix-huit ans. La sienne, lorsqu'il avait quinze ans, pendant un séjour en Guadeloupe avec son père Jacques Higelin, dans la maison de Coluche. Et la dernière fugue de Bach, laissée inachevée : L'Art de la fugue.

04/2019

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