Jean Paulhan, Valery Larbaud

L’Association Internationale des Amis de Valery Larbaud et la Ville de Vichy a le plaisir de nous communiquer la liste des ouvrages qui composent la deuxième sélection du Prix Valery Larbaud 2019.

Le Prix littéraire Valery-Larbaud a été remis, dans le cadre des « Grandes Rencontres », le 7 mars 2020, à l'écrivain Jacques Drillon pour Cadence, publié par les éditions Gallimard. Ce prix est décerné chaque année « à un écrivain ayant publié une œuvre qu'aurait aimé Valery Larbaud, ou dont l'esprit, le sens et la pensée rejoignent celle de Larbaud ».

La grande idée, le premier roman d'Anton Beraber, publié par les éditions Gallimard, a valu à son auteur le Prix Valery-Larbaud, récompense décernée « à un écrivain ayant publié une œuvre qu'aurait aimée Larbaud, ou dont l'esprit, le sens et la pensée rejoignent celle de Larbaud ». Il succède à Maud Simonnot, récompensée pour La Nuit pour adresse, également chez Gallimard, en 2018.

Créé en 1967 par l’Association Internationale des Amis de Valery Larbaud et la Ville de Vichy, le Prix Valery Larbaud fait rayonner l’œuvre de l’écrivain et soutient la création littéraire contemporaine.

Qu'en est-il cinquante ans après sa disparition ? La Maison des écrivains et de la littérature, le Musée national Eugène Delacroix, la Société des lecteurs de Jean Paulhan et l'IMEC s'associent afin de rendre hommage à l'écrivain, critique littéraire et éditeur Jean Paulhan.

Le poète et peintre de l'Art brut Gaston Chaissac a entretenu une importante correspondance avec Jean Paulhan entre 1944 et 1963. En publiant un recueil de ses lettres (Gaston Chaissac, Lettres 1944-1963 à Jean Paulhan), les éditions Claire Paulhan ont voulu contribuer à mieux faire connaître cet artiste à l'orthographe très approximative mais au talent certain.

Après Il était une fois… l'Homme, Albert Barillé propose en 1981 Il était une fois... l'Espace, avec une patte graphique toujours assurée, notamment, par Jean Barbaud et Manchu. 26 épisodes sont produits, diffusés en France sur FR3, mais les six derniers récits constituent en réalité un long-métrage, La Revanche des humanoïdes, prochainement restauré.

La traîtrise de Drieu, la non-évidence pour Paulhan

Depuis le 1er janvier 2016, les œuvres de Paul Valéry (1871-1945) sont dans le domaine public. Ce qui permet à chacun et à tous de les découvrir gratuitement et en accès libre au format numérique. Télécharger gratuitement ci-dessous ses œuvres les plus emblématiques, Le Cimetière marin (1920) en tête, mais aussi L’Idée fixe ou Deux Hommes à la mer (1932) et le Discours sur l’esthétique de 1937.

Alexandre Blokh, plus connu sous le nom de Jean Blot, s’est éteint le 23 décembre 2019, à l’âge de 96 ans. Romancier, essayiste, poète, mais aussi traducteur, il a publié une quarantaine d’ouvrages, couronnés entre autres par l’Académie française et le Prix Valery Larbaud.

Les Causes célèbres (1950) est un ouvrage que Jean Paulhan (1884-1968) reprit à plusieurs reprises. La première édition parut 1946, sous le titre Sept Causes célèbres, auxquelles s’ajoutèrent Sept nouvelles causes célèbres l’année suivante, puis Trois Causes célèbres en 1950, date à laquelle, rassemblant tous ces textes, il publia une édition définitive. Cette longue gestation témoigne de l’importance et de la maturation du travail de Paulhan.

« Il a créé le buzz » dit-on de Pierlyce Arbaud. Même avec un titre si poétique qu’on le rendrait presque à Rimbaud.

D’un montant de 15.500 €, le Prix Michel Dard est remis tous les deux ans par le jury du Prix Valéry Larbaud, selon les vœux du testateur. Présidé par Jean-Marie Laclavetine, le jury a décerné le Prix Michel Dard à Michel Bernard pour son roman Le Bon Coeur paru aux Éditions de la Table Ronde.

Après une importante restructuration terminée en juin 2010, le musée Paul Valery de Sète poursuit sa cure de jouvence et accueillera, du 23 au 25 septembre 2011, la première édition des Journées Paul Valery. Cette manifestation réunit spécialistes et poètes amateurs de l’auteur du

Publication de 150 poèmes inédits de Paul Valéry

Pour la 7e édition des Journées Paul Valéry, un thème s’est imposé avec naturel pour un poète et un penseur à l’œuvre immense : Paul Valéry et les écrivains. Homme de lettres reconnu, poète adulé, académicien sollicité et penseur apprécié pour l’originalité de ses points de vue, Paul Valéry s’est présenté lui-même avec ironie comme le « Bossuet de la IIIe République ».

Desproges le redoutait, les Russes vont probablement finir par nous envahir en passant par la façade atlantique. Après tout, l’effet de surprise serait complet. Pour rester dans ces préoccupations belliqueuses, soucions-nous désormais de la prochaine publication de Valéry Giscard d’Estaing.

Paul Valéry, disparu en 1945, est l’un des penseurs les plus importants de la première partie du XXe siècle. Essayiste à découvrir dans ses Variétés, dans son texte sur Goethe ou encore quand il pose des Regards sur le monde actuel, il fut en parallèle un poète. Il était donc logique qu’il donna des cours sur le sujet au Collège de France. Ce jeudi 5 janvier, les éditions Gallimard en publient l’intégralité en deux volumes, alors que longtemps, leurs retranscriptions ont été considérées comme perdues.

Dès 1920, l'écrivain irlandais James Joyce s'installe à Paris, sur les conseils d'Ezra Pound. Et pour cause : à l'époque, la capitale française est aussi celle de la littérature, avec Morley Callaghan, Ernest Hemingway, Valery Larbaud, Sylvia Beach et Adrienne Monnier pour animer les débats.

De plus en plus d’universités et d’écoles du supérieur se lancent dans la création de réseaux sociaux permettant de lier étudiants, enseignants et anciens élèves. C’est le choix fait dernièrement par l’université de Strasbourg, mais le Cnam, en se tournant vers ses anciens élèves, s’inscrit dans la même démarche.

Dimanche dernier, pour la 17e édition de la Forêt des Livres en Touraine, Florian Zeller et Valéry Giscard d'Estaing ont été récompensés du Laurier vert, parmi 200 auteurs, hommes politiques et personnalités, dont Richard Bohringer, François de Closet, Roland Dumas et Lorànt Deutsch. D'après l'Afp, 60 000 personnes sont venues partager leur passion au Café littéraire lors de cette journée gratuite.

La 3e édition du Printemps de la traduction organisé du 7 au 11 juin par l'ATLAS a permis la rencontre avec une dizaine d'auteurs de traductions remarquables, dont le russe Valéry Kislov venu de Saint-Pétersbourg pour défendre « Révoltée » (Fiction&cie), la biographie de la dissidente Evguénia Iaroslvavskaïa-Markon, jeune femme issue de la bourgeoisie juive de Pétrograd qui avait choisi de vivre avec les marginaux et fut exécutée à 29 ans. Un texte venu de loin, dont la traduction est « une nécessité du temps ».

C'est sous le thème « Valéry en ses miroirs intimes » que se placera la 3ème édition des Journées Paul Valéry, du 20 au 22 septembre 2013 à Sète. Au menu, comme les années précédentes, des conférences, des tables rondes ou encore des lectures poétiques et musicales.

À l'occasion des Rencontres européennes de la littérature, qui se dérouleront du 23 au 31 mars, cette 7e édition va inviter notamment Tzvetan Todorov et Valère Novarina. Deux thèmes seront respectivement abordés avec chacun : L'Europe et la traduction, et Le français en partage.

112 participants de 10 établissements pénitentiaires en Normandie ont participé au vote et élu leur bande dessinée préférée parmi les 5 en lice, dans le cadre du Prix BD Hors les murs 2022. Le tome 1 de Contrapaso, de Teresa Valero, publié par les éditions Dupuis, est à l'honneur.

Sean Penn, l'incroyable acteur, revient dans un thriller adapté du roman de Jean-Patrick Mancette, La position du tireur couché, une œuvre sublime (dont Tardi, excusez du peu, s'était emparé en novembre 2010), pour une bande dessinée. Paru en 1982, le roman avait consacré la place de Manchette comme le précurseur du néo-polar français. Le film est prévu pour le 25 février 2015.

L'Académie française, au cours de sa séance du jeudi 14 janvier 2021, a attribué son Grand Prix de littérature Paul Morand au dramaturge, essayiste et peintre Valère Novarina. La récompense, dotée de 45.000 €, vient saluer l'ensemble de son œuvre.

« Mais j'aimais le goût des larmes retenues, de celles qui semblent tomber des yeux dans le coeur, derrière le masque du visage. » Valéry Larbaud. Quel beau livre, encore une fois. Comment imaginer un seul instant que l’œuvre de Beigbeder puisse un jour sombrer dans l’oubli, que ses livres ne soient plus lus ? (une phrase écrite quelque part dans le roman pleine d’humour ou d’auto-dérision).