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Philosophie

Socrate et Jésus. Passeurs d'universel

L'un déclare ne rien savoir et invite à mesurer l'abîme séparant la divinité omnisciente et immortelle de l'homme mortel, passant des ténèbres de l'opinion versatile à la lumière du Bien intelligible ; l'autre se dit fils de Dieu et offre une vérité accessible non par la raison mais par la grâce, une sagesse fondée sur l'" amour " (agapê). Pourtant, en dépit de ces postures contraires, tout rapproche Socrate et Jésus : leur vie, leur mort, leur sagesse, leur morale, leur enseignement. Aujourd'hui encore, leur parole vivante, tournée vers l'universel, nous interroge et nous interpelle. Figures emblématiques de notre culture, ils invitent à outrepasser ce qui fomente des remparts – entre soi et soi, soi et l'autre, soi et l'" Un " ou Dieu. Comme l'exprime l'auteure dans la préface, ils tracent leur sillon en dépassant le " particularisme et [le] sectarisme, terreaux de toutes les violences, [...] qui ressurgissent en Europe et dans le monde ". Dans ce livre, Anne Baudart propose un retour au souffle initial via un parcours en miroir. Par cette déambulation parallèle, elle épouse et propage l'élan des deux sages, fait fi des querelles de clocher et réfléchit la spiritualité comme un chemin universaliste, terrain d'entente des hommes. Un message important dans l'univers désenchanté qui est le nôtre.

02/2018

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Religion

Socrate, Jésus, Bouddha. Trois maîtres de vie

La crise actuelle n'est pas simplement économique et financière, mais aussi philosophique et spirituelle. Contre une vision purement matérialiste de l'homme et du monde, Socrate, Jésus et Bouddha sont trois maîtres de vie. Une vie qu'ils n'enferment jamais dans une conception étroite et dogmatique. Leur parole a traversé les siècles sans prendre une ride, et, par-delà leurs divergences, ils s'accordent sur l'essentiel : l'existence humaine est précieuse et chacun, d'où qu'il vienne, est appelé à chercher la vérité, à se connaître dans sa profondeur, à devenir libre, à vivre en paix avec lui-même et avec les autres. Un message humaniste, qui répond sans détour à la question essentielle du sens de la vie.Lenoir raconte les destins archiconnus de ces « maîtres de vie » avec le brio d’un maître du polar. Jérôme Cordelier, Le Point.

03/2011

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Religion

Jésus, Bouddha, Socrate. Trois maîtres de vie

La crise que nous vivons n'est pas simplement économique et financière, mais aussi philosophique et spirituelle. Elle renvoie à des interrogations universelles : Qu'est ce qui rend l'être humain heureux ? Qu'est-ce qui peut être considéré comme un progrès véritable ? Quelles sont les conditions d'une vie sociale harmonieuse ? Contre une vision purement matérialiste de l'homme et du monde, Socrate, Jésus et Bouddha sont trois maîtres de vie. Une vie qu'ils n'enferment jamais dans une conception close et dogmatique. Leur parole a traversé les siècles sans prendre une ride, et par-delà leurs divergences, ils s'accordent sur l'essentiel : l'existence humaine est précieuse et chacun, d'où qu'il vienne, est appelé à chercher la vérité, à se connaître dans sa profondeur, à devenir libre, à vivre en paix avec lui-même et avec les autres. Un message humaniste et spirituel, qui répond sans détour à la question essentielle : pourquoi je vis ?

06/2009

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Philosophie

Socrate

" Connais-toi toi-même. " Socrate Loin des clichés, c'est un Socrate vivant et familier dont Denis Huisman fait ici le portrait. Un homme pleinement incarné qu'on surprend, grâce à la magie de l'écriture platonicienne, devisant avec ses amis, ses amants ou ses rivaux les sophistes. Il aimait ses semblables avec une telle exigence qu'il ne pouvait supporter de les voir se perdre dans des occupations stériles ou des divertissements futiles. " Connais-toi toi-même ", disait-il. Par ces mots, il invite l'être humain à se ressaisir, à se soucier de son âme, à prendre soin du principe immortel et divin qui réside en lui et qui est sa part la plus élevée et la plus précieuse. Vingt-cinq siècles après sa mort, le sage n'a rien perdu de son actualité.

10/2003

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Philosophie

Socrate

Lourd d'allure, rustique en ses propos, Socrate dégoûte les précieux et déroute l'inconscience sûre d'elle-même. Cet homme physiquement commun fait sourire, avec ses disgrâces et son ménage infortuné... Mais tous ne rient pas : un soir de 399 av. J.-C., la cité d'Athéna donne congé à la sagesse ; " l'homme le plus sage ", devenu dissident, boit la coupe de poison, victime des lois de l'inconscience. Porte-parole du rationalisme ou mystique inspiré, Socrate est le bouc émissaire d'une période politiquement et moralement troublée -l'envers du siècle de Périclès. Qui est Socrate, parmi les Socrate possibles ? A la différence de ses devancières, cette biographie s'intéresse au jeune Socrate, avant qu'il ne soit "sage", avant que Platon ne le fasse " naître vieux " ; Socrate n'est pas ici pris pour un mutant miraculeux, mais comme la maturité d'une prise de conscience athénienne qui s'enracine en deçà de lui, depuis Homère, Antigone, etc., dans un présocratisme qui n'est pas seulement philosophique. Cette histoire ne se borne pas à rendre Socrate possible, mais nécessaire. Jacques MAZEL, historien philosophe de la dissidence grecque, n'a pas reconstruit le système d'un philosophe, fût-il le plus éminent, mais le témoignage d'un homme.

11/1994

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Théologie

Jean V et le Jésus de l'Histoire. Critique de la Religion ou histoire des religions ?

"l'Université de Lille III, a été soutenue une thèse importante dans le domaine de l'his-toire des religions, dont l'enjeu dépasserait celui d'une thèse de troisième cycle, si l'auteur ne l'avait volontairement limitée à un passage restreint, le chapitre V de l'Evangile de Jean. Certes, les études ne manquent pas sur les rapports entre évangiles synoptiques et milieu juif, mais elles se font plus rares lorsqu'il s'agit de confronter Jean et ce même milieu. La raison en est double : d'une part, on tient pour acquis, depuis Bultmann, que Jean s'explique en référence au milieu gnostique, dont il se démarque tout en acceptant son expression culturelle. La grille judaïque serait donc superflue pour lire Jean, d'autant plus que la période tardive de sa rédaction ne permet-trait pas de remonter aux faits et au Jésus de l'histoire ; d'autre part, Jean est entaché d'antijudaïsme, car il condamne durement ceux qui ont refusé ce qu'il présente comme l'introduction à la période du salut. Le chapitre V est celui que grève le plus lourdement cette double hypothèque, au point que Bultmann en fait le type même de la critique de la religion (sécurité mythique, typique du judaisme selon lui) par la proposition de la Foi (rupture totale, indépendante du cours de l'histoire, paradoxe plus net ici que dans tous les discours de Jésus). Il fallait done de l'audace pour prendre le contre-pied systématique de cette attitude et proposer une lecture nouvelle de ce chapitre - comme un ensemble non dissocié - selon le code culturel juif, puis de faire la même démonstration en tenant compte de la transmission et des strates proposes par Bultmann et affinées par Boismard. Une telle étude doit nous faire retrouver, à travers les destinataires de Jean, pour lesquels une partie de l'acquis de Bultmann reste valable, les destinataires du premier kérygme et même les inter-locuteurs de Jésus, et nous permettre de mesurer l'écart entre ce point de départ et le texte reçu". Jean-Marie Delmaire

04/2024

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