Judge Dredd BD

La magazine pourvoyeur de comics aux USA 2000AD publie les nouvelles aventures de Judge Dredd, et ses auteurs n'ont visiblement pas l'intention de coller le flic aussi célèbre que violent derrière un bureau, ou pire encore, à la retraite. Bien au contraire : une image a filtré du Judge Death, un de ses ennemis les plus redoutables.

Les éditions IDW (Star Trek, True Blood, Doctor Who, G.I. Joe, Rocketeer...) viennent d'obtenir une licence d'exploitation de la série Judge Dredd, initialement publiée par Virgin Books.

Alors que la planète entière fête les 35 ans de Luke, Leia et Vador, c'est un autre justicier qui fait parler de lui. Pas bégueule, Judge Dredd propose sur la plateforme ClickWheel  5 comics en formats courts à télécharger gratuitement.

Il est peut-être la loi, mais il vient surtout de décider de lever une mesure de protection et de surveillance électronique. Judge Dredd, comme d'autres titres du catalogue de l'éditeur britannique 2000 AD, sera désormais vendu sans DRM sur les applications iOS et Android de l'éditeur. Sa boutique web en est débarrassée depuis 2005, et l'éditeur « fait confiance à ses lecteurs ».

Cette semaine sont apparues, sur la Toile, les premières images de Judge Dredd : Suicide Watch, le prochain chapitre des aventures juridico-héroïques livrées par 2000 AD. Et si au cours de ses péripéties, il arrivait parfois à l'incorruptible juge de rencontrer des pairs féminins, il s'agit toutefois du premier épisode de la série à être écrit par une femme. Cette décision prise au tribunal du Comics pourrait bien faire jurisprudence.

C'est une annonce qui devrait réjouir les fans de comics et de SF : le Judge Dredd reviendra en adaptation, mais cette fois-ci, sur le petit écran. Pour mener à bien ce projet, les groupes Rebellion et IM Global Television se sont associés pour produire ce qui s'annonce comme la série britannique la plus chère de l'histoire.

En pleine période de débat sur la législation qui introduira le mariage pour tous, et que l'on baptise déjà Loi sur le mariage gay, l'apparition du Judge Dredd ne manque pas d'ironie. Outre que le personnage dans les comics incarne le machisme dans sa quintessence, Sylvester Stallone lui a donné ses lettres de noblesse avec cette célèbre sentence : « La loi, c'est moi. » Or, la loi pourrait bien être gay...

We, the people. La formule correspond aux premiers mots du préambule de la Constitution des Etats-Unis d'Amérique, mais est également l'intitulé d'un projet lancé à l'initiative du président Barack Obama pendant sa première mandature à la Maison Blanche. Le site internet, sorte de pont direct, permet aux citoyens de créer des pétitions et obtenir une éventuelle réponse du gouvernement.

Plus que jamais, les fans ont le poids nécessaire pour faire de leurs rêves les plus fous une possibilité dans la tête des producteurs. Après tout, c'est bien ainsi que le projet Deadpool, chez Marvel, s'est concrétisé. Galvanisés par l'adaptation de la bande dessinée Richie Rich en série par Netflix, des inconditionnels de Judge Dredd — des comics comme du second film, sorti en 2012 — rassemblent leurs forces.

À force de répéter « Je suis Batman », le Chevalier noir a visiblement fini par adopter le tic de langage de Judge Dredd : à présent, il est la loi. Dans la série de comics Gotham City Garage, attendue dans quelques jours chez DC Comics, Collin Kelly et Jackson Lanzing imaginent un univers DC revu à la sauce Mad Max, relevé aux épices cyberpunk, avec des dessins de Brian Ching.

La loi, c'est toujours lui : Judge Dredd, l'impitoyable incarnation de l'ordre à Mega-City One, est de retour pour de nouvelles aventures dans Les liens du sang, un nouveau recueil publié par le label Delirium. Une bande dessinée signée John Wagner et Carlos Ezquerra, créateurs du personnage, avec Simon Fraser et Colin MacNeil. Delirium et ActuaLitté vous proposent de repartir avec votre exemplaire !

Alan Grant, le scénariste de comics écossais connu pour son travail sur Batman, Judge Dredd et Lobo est décédé à l’âge de 73 ans. Sa mort a été annoncée le matin du 21 juillet par sa femme, Susan, dans un post sur le réseau social Facebook.

Il est la loi, et eux sont des créatures extra-terrestres taillées pour tuer, découper, dissoudre et dessouder : 2000 AD et Dark Horse se sont associés pour faire s'affronter leurs personnages phares, Judge Dredd, le Predator et les Aliens. L'affrontement final commencera le 27 juillet prochain, pour la version originale.

Depuis hier, la presse bouillonne : enfin, le sauveur des médias et de l'édition française, l'homme qui fait vendre des journaux et des livres à la simple évocation de son nom, revenait dans l'arène médiatique. Nicolas Sarkozy, mis en examen pour trafic d'influence présumé, est présumé innocent comme tout contribuable français, et sa méthode audiovisuelle, sur TF1 et Europe 1, avait des élans de philosophie du droit assez fameux. .

ENTRETIEN EXCLUSIF : Il est l’incarnation d’une certaine idée de la justice, de l’ordre et de ce qu’une société policée doit être – celle de Mega-City One en tout cas. Il est aussi le représentant de la Loi, dans sa plus stricte acceptation et son premier exécuteur. Ses interventions dans la presse sont rarissimes, son champ de compétence réside plutôt dans la lutte active et radicale contre les formes de criminalité. ActuaLitté est très fier d’accueillir Judge Dredd pour une interview – presque garantie sans violence.

Le dessinateur et encreur britannique Brett Ewins, particulièrement connu et reconnu pour le travail qu'il a fourni pour l'hebdomadaire 2000 AD, est décédé le 17 février dernier des suites d'une courte maladie. Il avait participé, pour le titre, aux séries Judge Dredd, Future Shocks, Bad Company, Judge Anderson ou Rogue Trooper, et avait signé une série pour DC Comics.

L'initiative a le mérite de faire patienter le public et l'introduire à de nouveaux moyens de lecture. En attendant la sortie du film dans les salles, Dredd propose de « découvrir l'histoire secrète et bouleversante de Ma-Ma », alias le familier de Madeleine Madrigal, antagoniste du héros. L'initiative n'est pas nouvelle, on pense à Max Payne 3, dont le comics en ligne avait servi de pont entre les deux premiers épisodes de la licence.

On connaît à présent le visage de Martha Kent la mère de Clark dans le reboot de Zack Snyder. Warner Bross Picture a déclaré que ce serait celui de Diane Lane (Judge Dredd et Jumper).

Au cinéma, Judge Dredd avait reçu une sentence fameuse avec un film, en 1995, dans lequel le superflic était incarné par Sylvester Stallone. Inutile de souligner que les fans avaient crié au sacrilège face à ce film d'action dans la pure tradition 1990, trop éloigné de la violence originale du comic. Le film de Pete Travis, en 2012, est venu mettre un peu de baume au cœur des fans.

Publié ce 19 aout, l’essai féministe Moi les hommes, je les déteste sera peut être victime de censure. La menace ne vient pas d’organisations militantes réactionnaires, mais bien d’un chargé de mission au ministère délégué à l’égalité femmes-hommes. L'État, fait loi, comme dirait Judge Dredd...

Le livre et sa couverture : ne juge pas si tu ne veux pas être jugé

Quelques personnages cultes ont traversé la Manche, comme Tank Girl ou Judge Dredd, mais force est de constater que la bande dessinée britannique reste méconnue dans l'Hexagone. Nous avons profité de la Foire du Livre de Londres pour remettre à jour notre conception de l'industrie du comics chez nos voisins insulaires avec Paul Gravett, auteur, critique, éditeur et directeur du festival Comica de Londres.

Jude Law serait préssenti pour jouer le manchot iconique dans Peter Pan et Wendy, le prochain reboot de Disney de son classique de 1953.

L'avocat Emmanuel Pierrat a été condamné à deux mois fermes d'interdiction d'exercice pour manquements aux principes essentiels de la profession, le jeudi 30 juin dernier. La sanction a été prononcée dans le cadre d'une procédure disciplinaire du Conseil de l'ordre des avocats de Paris, mais elle pourrait encore s'alourdir après un appel de la décision.

Un coup dur qui ne manquera pas de faire grincer des dents la filière de l'édition numérique. Une cour fédérale de New York a déclaré illégales les activités de reventes en ligne de ReDigi. La société se targuait d'être la première à proposer l'achat de seconde main et la revente de fichiers musicaux. Et comptait bien étendre son offre aux ebooks, à la façon d'un bouquiniste numérique.

Le juge Chin, en charge du long et douloureux règlement Google Books, qui oppose la firme américaine aux associations professionnelles, vient de publier un petit document dans lequel il ordonne que l'audience où les deux parties sont attendues, se tienne le 3 mai. 

Jean-Louis Burguière, juge à la retraite de l'anti-terrorisme, avait été relaxé par la justice, alors que l'ancien membre du groupe Action directe (voir Wikipedia), Claude Halfen, l'avait accusé de diffamation. Une relaxe décidée par la justice, à Lyon.

L’auteur jordanien Qasim Tawfiq est dans la tourmente : un de ses romans, Mira, publié en 2018, a provoqué une vive controverse fin novembre, notamment sur les réseaux sociaux. En effet, certains y ont découvert de « l’indécence » qui menacerait la moralité publique. Édité dans le cadre du Family Library Project, une opération émanant du ministère de la Culture, ce dernier a retiré le titre du royaume.

Âgé de 30 ans, Filippo Bernardini est accusé du vol de plus d'un millier de manuscrits inédits, à l'aide d'une méthode bien rodée combinant usurpation d'identité et création de faux grâce à des outils informatiques. Il a plaidé coupable des faits devant une cour américaine, et connaîtra sa sentence le 5 avril prochain.