Julian Assange Wikileaks

Julian Assange, ce devait être le genre de petit garçon à qui on disait de ne pas piocher de cacahuètes dans le placard à apéro, et qui s'emparait alors de tout le paquet pour le déverser dans la rue...

Pour le 500e épisode des Simpson, la guest star nécessitera une protection rapprochée. Alors que Julian Assange est aujourd'hui classée dans le top 100 des personnes les plus influentes au monde, il sera le 19 février prochain dans un épisode de la grande et belle famille jaune. 

Le livre de mémoire de Julian Assange, a été acheté 930.000 £ par l'éditeur Alfred Knopf A, pour les États-Unis et Canongate pour l'Angleterre. Un contrat très solidement monnayé, donc, pour un livre qui doit faire sensation...

En juin 2011, Julian Assange alors en résidence surveillée à Norfolk en Angleterre, reçoit une visite de marque : Eric Schmidt, alors PDG de Google. Il est accompagné de quelques vieilles personnalités politiques américaines, dont un ancien conseiller de Hillary Clinton -  tous fraîchement arrivés des États-Unis pour lui... When Google Met Wikileaks,

Étonnant, de la part de l'homme qui a porté le projet Wikileaks, décidant soudain de ce qui était bon de dévoiler ou non. Cette autobiographie, résultat d'un projet éditorial datant de mars, est pourtant contestée par Assange, qui avait décidé de rompre son engagement contractuel avec l'éditeur écossais, Canongate.

EXCLUSIF – Les grands récits se préparent avec minutie. Les éditions du Cerf feront paraître en janvier 2020 un ouvrage rédigé par Juan Branco, portant sur son client, Julian Assange. L’homme qui a fondé l’organisation non gouvernementale Wikileaks en décembre 2006 sera au centre de cet ouvrage.

Le responsable de Wikileaks, homme médiatique de l'année, a fait état d'une situation financière assez calamiteuse pour WIkileaks, qui perdrait près de 480.000 € chaque semaine, selon les propose recueillis par 24 heures.

Homme de l’année, en tout cas, personnage médiatique de l’année, c'est certain : Julian Assange, fondateur de Wikileaks, n’avait pas vraiment envie de rédiger ses mémoires. Mais il n’a pas eu le choix. Les frais, que voulez-vous...

Julian Assange, poursuivi de tous côtés, ne sait plus où donner de la tête. Et pourtant, le co-fondateur de WikiLeaks n’en tient pas moins toujours une plume à la main, ou plutôt un clavier, en l’occurrence. A peine libéré sous caution dans l’affaire des poursuites intentées contre lui par deux jeunes femmes l’accusant d’avoir abusé d’elles, que l’on apprend que M. Assange travaille aussi à la rédaction de ses propres mémoires.

Wilileaks, c'est lui, Julian Assange. Assailli de toutes parts, voyant l'hébergement de son site menacé, sa propre intégrité fustigée, accusé de viol, puis finalement de rapports sexuels non protégés (fait condamné en Suède)... Et dernièrement, abandonné par une partie de l'équipe, qui a décidé de monter un site annexe.

Dreamworks, les sudios de Steven Spielberg, auraient racheté selon

Information ActuaLitté : L'éditeur américain OR Books a annoncé ce dimanche qu'il avait acquis les droits pour la publication du livre de Julian Assage, Cypherpunks, un nouvel ouvrage traitant de liberté et d'internet. On s'en serait douté. 

Voilà : un site, une polémique, mais désormais deux hommes pour en parler. D'un côté, Julian Assange, le fondateur, libéré sous caution la semaine passée. De l'autre Daniel Domscheit-Berg, ancien porte-parole. Leur point commun ? Wikileaks.

C’était l’Australien à abattre, à l’origine de WikiLeaks, auteur de plusieurs ouvrages, et jusqu’à lors préservé des autorités à l’ambassade de l’Équateur à Londres. Julian Assange vient d’être arrêté par les services de la police métropolitaine. Les forces de l’ordre sont entrées directement dans l’ambassade, à la demande de l’ambassadeur…

Courant 2011, les mémoires du controversé fondateur de Wikileaks étaient avortées, et ce, bien que la publication s'annonçait chez Canongate comme l'un des contrats d'édition les plus lucratifs du moment. Près de 3 ans après sa rencontre avec Julian Assange, celui qui devait lui servir de nègre, le biographe Andrew O'Hagan vient de rompre le silence. Il est revenu sur le fiasco éditorial et nous dépeint un partenaire à multiples facettes, tantôt « passionné, drôle, paresseux, courageux, vain, paranoïaque, moral et manipulateur ».

L'ouvrage signé de Julian Assange, cofondateur de Wikileaks, Jacob Applebaum, spécialiste américain de la sécurité information, Andy Müller-Maguhn, porte-parole du Chaos Computer Club de Berlin et Jérémie Zimmerman, porte-parole de la Quadrature du Net, va donc sortir aux éditions Robert Laffont, en mars 2013. Cypherpunks est sorti ce 26 novembre outre-Atlantique chez OR Books.

La maison d’édition écossaise Canongate a publié jeudi en Grande-Bretagne la biographie du patron de Wikileaks : Julian Assange: The Unauthorised Autobiography (Julian Assange : une biographie non autorisée), malgré le désaccord d'Assange qui juge cette parution « opportuniste ».

Julian Assange a affirmé que Wikileaks ferait des « milliers de révélations » pour bientôt et que le site est « dans une situation financière assez forte »  lors d'une vidéoconférence avec l'Assemblée générale de la Société interaméricaine de presse (SIP) à Lima lundi 17 octobre.

Les petits malins ont déjà mis la main dessus, et de toute manière, l'un des coauteurs du livre avait charitablement averti : « Quant à la version numérique, je n'étais pas au courant, mais je vais demander s'il est d'accord pour qu'elle soit proposée et diffusée librement. (pause...) En fait, il a plutôt intérêt à être d'accord. »

Le site Wikileaks a reçu dimanche soir le prix Walkley de la « meilleure contribution au journalisme » pour 2011, prix décerné en Australie, le pays natal du fondateur de Wikileaks, Julian Assange.

Julian Assange est devenu l'homme à abattre, avec Wikileaks, mais a surtout généré plusieurs ouvrages. Au moins un ne sortira jamais, pour lequel Peter Carey avait été sollicité. Ce double lauréat du prix Booker avait refusé de devenir le nègre pour l'écriture des mémoires de son compatriote australien, comme il vient de le révéler.

Daniel Domscheit-Berg, auteur d'un livre à charge contre le site Wikileaks, mais également son fondateur, Julian Assange, fera l'objet d'une plainte de la part de Wikileaks. Ce dernier avait été suspendu en septembre, souligne le site, qui confirme la procédure judiciaire contre lui.

L'un des sites d'information les plus gênants pour les pouvoirs en place va bientôt être raconté par Hollywood : le film The Fifth Estate retracera en effet l'épopée de Wikileaks et de son créateur aux cheveux immaculés, Julian Assange. Benedict Cumberbatch et Daniel Brühl prêteront leurs traits aux deux principaux protagonistes : Assange, donc, et Daniel Domscheit-Berg, son proche collaborateur.

C'est l'histoire d'un câble qui aura fait déborder le vase. Avec l'avènement de Wikileaks, les journaux et le journalisme a pris une leçon, sur la manière d'opérer sur le net. Pas étonnant que nombre de publications aient cloué au pilori le site de Julian Assange...

Wikileaks en parle comme le « secret le mieux gardé des États-Unis » : Julian Assange, créateur de la plateforme, a lui-même donné de sa personne dans une vidéo pour demander à un éventuel lanceur d'alerte de révéler les documents concernant le traité transpacifique. Avec 100 000 $ à la clé, collectés via un projet de crowdfunding.

Julian Assange, l’homme des Wikileaks, a pris tout le monde de court en considérant que l’Angleterre plombe l’Europe : à ce titre, il est favorable au Brexit, la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union. Le referendum prévu pour le 23 juin prochain fait trembler les places de marché, et même Bruxelles commence à s’agacer. 

Hier, Wikileaks a encore fait des siennes. En publiant 1,7 million de documents émanant des services diplomatiques américains, le site de Julian Assange révèle les grands dessous, pas toujours appareils, de la géopolitique étatsunienne. Les documents couvrent la période des années 1973 à 1976, et permettent de se remémorer les joyeuses années de la guerre froide encore bien chaude.

Victime de nombreuses attaques en règle, le site WikiLeaks, qui se bat pour une circulation beaucoup plus libre de l'information, ne peut plus recevoir directement des soutiens financiers. Pour contourner le problème, une nouvelle fondation vient de voir le jour : Freedom of The Press Foundation, rapporte LeMondeInformatique.

Après la biographie non autorisée de Julian Assange, c’est la biographie autorisée de Mark Zuckerberg qui fera son entrée en librairie demain.

Alors que le site multiplie les miroirs permettant de poursuivre son entreprise de diffusion des câbles diplomatiques américains, c'est désormais l'application Wikileaks pour iOS qui fait les frais d'une campagne de censure, organisée par Apple.