JustWrite e ink holding

Le monstre taïwanais de la fabrication d'écran à encre électronique s'apprête à exploser plus encore ses concurrents. Ça risque d'éclabousser gentiment, alors que le DigiTimes annonce une vente de 60 millions d'actions. Une décision de E Ink Holdings, la société mère, et qui concerne les trois firmes E-ink, Sipix, et Hydis.

La société E Ink Holdings avait annoncé que la rentabilité reviendrait au deuxième trimestre 2019. Elle ne s’était pas trompée. Un certain optimisme régnait mi-juin, que les résultats économiques sont venus confirmer. 

Contrairement au livre imprimé, le support numérique ne semble pas bénéficier de grandes possibilités en matière d’initiatives créatives. C’était sans compter sur le leader du marché de l’encre électronique, E Ink Holdings, qui présente une toute nouvelle solution de epaper en couleur à destination des liseuses mais aussi des cahiers numériques.

Le chairman et CEO de la société E Ink Holdings, Scott Liu, vient d'annoncer qu'il démissionnait des postes actuellement occupés. Dans l'intervalle Felix Ho, vice-chairman, va assurer l'intérim pour les deux responsabilités.

La société E Ink Holdings vient de présenter ses revenus consolidés, avec un résultat de 1,431 milliards de dollars NT, soit 37,06 millions €, pour le mois de février 2013. C'est une diminution de 44 % en regard des résultats du mois dernier, mais de 33 % par rapport à l'an passé, sur la même période.

C’est une alliance très stratégique que les deux acteurs viennent de monter : Japan Display et E Ink Holdings veulent travailler autour du papier électronique sur le long terme. Le projet est de voir la technologie du second dans les produits du premier. Logique. 

Un premier semestre 2019 prévu à la baisse

La société E Ink Holding, spécialisée dans la fabrication des écrans à encre électronique utilisés pour les lecteurs de livres numériques, a dévoilé un nouveau produit. JustWrite, de son petit nom, se présente comme un papier électronique sous forme de film, qui permet d'écrire sans latence, selon la société, à l'aide d'un stylet adapté.

Un des grands patrons de l'édition française est décédé : Alain Kouck, président d'Editis Holding, est mort, confirme Pierre Conte, directeur général d'Editis, à ActuaLitté. Il avait commencé sa carrière dans l'automobile avant de rejoindre le groupe Hachette en 1980, dans la distribution. Depuis décembre 2002, Alain Kouck était le président de Editis Holding, à la tête de son conseil d'administration.

Alors que la librairie indépendante lutte contre les pratiques d'Amazon en matière d'optimisation fiscale, voici qui va gratter. Depuis maintenant deux ans, la holding dirigée par Guillaume Decitre, Tiburon Investments SARL, est installée au Luxembourg. Le Grand Duché, qui offre de sérieux avantages, en toute légalité, serait-il parvenu à séduire le premier réseau de librairies indépendantes français ?

L'avenir de TXTR vient de se fixer : cette société allemande dédiée à la lecture numérique sera adaptée à la plateforme de vente en ligne Media-Saturne-Holding. Basée à Berlin, l'entreprise était entrée en janvier dernier dans une procédure d'insolvabilité, ayant opté pour Olswang Restructuring Solutions, afin de l'accompagner dans une vente globale. 

Dans la continuité du rachat de Flammarion, le PDG des éditions Gallimard, avait annoncé qu'il ouvrirait le capital de sa holding, Madrigall. Mi-août, Antoine Gallimard affirmait que pour trouver les 40 millions € nécessaires, il mettrait en vente 10 % de ce capital, conservant malgré tout une part majoritaire. Et il était attendu qu'une famille fortunée se présente, et ce sera le groupe LVMH. 

La holding E-Ink a annoncé que ses recettes pour le premier semestre de 2011 étaient de 600 millions de dollars (environ 426 millions d’euros), soit une augmentation de 67% de plus que l’année dernière.

L'association Culture Papier s'est donné pour mission la défense du papier et de l'imprimé à travers la sensibilisation de l’opinion, des décideurs publics et des médias sur le rôle économique, social et culturel du papier. L'association créée en 2010 vient d'élire président Alain Kouck, le président d'Editis Holding, pour une période de 3 ans.

ActuaLitté a fait paraître un article hier, présentant l'installation d'une structure de type holding au Luxembourg, dont le dirigeant était Guillaume Decitre. Nous avions sollicité le PDG du groupe Decitre, qui nous a fait parvenir un courrier, donnant suite aux questions soulevées dans l'article. Nous publions donc un droit de réponse, dans son intégralité.

Bisbille en Corée ? En 2008, la société E Ink Holding achetait Hydis Technologies, spécialiste des écrans LCD. L'année suivante, c'est en rachetant E Ink Corp que le groupe se développait un peu plus encore. Mais pour rester le leader dans un secteur, en l'occurrence, la fabrication d'écran à encre électronique, E Ink Holding prête le flanc aux critiques. 

William Golding : un presque viol et des problèmes d'alcool

Le rassemblement annuel de la Society for Information Display (SID) s'est tenu en juin dernier à Boston, le temps de quelques jours qui ont réunis technophiles et constructeurs. Le SID 2012 a notamment été marqué par les démonstrations de la société E-Ink, qui a dévoilé son nouvel écran, le Triton 2, mais également de nouveaux usages de la technologie d'encre électronique.

La société E Ink corporation, leader sur le marché des écrans à encre électronique, technologie qui ne consomme d'énergie que pour modifier le contenu affiché, disposerait en son siège d'un écran de démonstration qui n'a pas été rafraîchi depuis novembre 2000... et celui-ci afficherait toujours une image correcte. Douze ans plus tard, il s'agirait d'un record de persistance.

La société IRX Innovation, spécialisée dans le développement de solutions d'affichage à encre électronique et basée aux Pays-Bas, a mis la clé sous la porte en cette fin 2014. En 2010, IRX avait racheté iRex, l'entreprise qui avait créé un des premiers modèles de lecteurs ebook, l'iLiad.

Lifehacker partage des trucs et astuces postés sur le site par la communauté de ses fidèles. C'est ainsi que le weblog a exposé hier à ses lecteurs une technique simple, qui devrait donner l'illusion que nos écrans disposent de la technologie d'encre électronique. Celle-ci est réputée optimiser le confort de lecture.

Plutôt que d'avoir à choisir entre un écran classique, bien trop brillant pour pouvoir lire longtemps, et un écran E Ink, l'idéal serait de posséder un appareil qui propose les deux ! C'est tout à fait ce qui semble se profiler, selon le site Digital Trends.

Avec un résultat pour le mois d'avril qui accuse un léger contrecoup, inutile de crier au loup. La société E Ink Holding continue de bien se porter et la société basée à Taiwan n'est pas sur le point de mettre la clef sous la porte.

La société E Ink fait de régulières présentations de sa technologie Triton, permettant l'affichage de couleur sur un écran à encre électronique. Présentant des résultats qui n'étaient pas particulièrement probants pour l'heure, les vidéos de présentation n'ont pas manqué.

La société E Ink, anciennement Prime View International, vient de dévoiler un chiffre d'affaires en réelle explosion pour l'exercice de l'année 2010, dévoile le DiGiTimes.

E-ink teste de nouveaux supports pour son encre électronique : vêtements, polyéthylène... et le papier ? E-ink possède plus de cent-cinquante brevets concernant l'encre électronique, et a reçu au mois de mars une récompense du Média Guardian, pour ses innovations.

La société E Ink Holding, spécialisée dans la fabrication de papier électronique, et leader à peu près incontestable, vient de porter plainte pour contrefaçon, accusant la société allemande, Trekstor, de violation de brevets. Celle-ci commercialise en Allemagne deux appareils, le Pyrus et 4ink, dont les écrans sont conçus par Guangzhou OED Technologies, firme basée en Chine.

Le papier électronique... ça ne sert pas qu'à faire des lecteurs ebook ! Si les étiquettes de prix e-paper ont le vent en poupe dans la grande distribution, Sony entend démontrer qu'il est possible de faire autre chose avec cette technologie. Le groupe avait ainsi présenté une montre e-ink en 2014, et récidive aujourd'hui.

La société taïwanaise E Ink Holdings, versant dans la technologie d'écrans à encre électronique, a dévoilé son dernier rapport financier en marge de la conférence des investisseurs. Pour le troisième trimestre 2014, le chiffre d'affaires de l'entreprise a atteint les 132,95 millions $. Il a subi une baisse de 14 % par rapport à la même période en 2013, mais ce bilan représente toutefois une hausse de 6,4 % en comparaison au second trimestre 2013.

Dans le domaine de la lecture numérique, l'encre électronique est une technologie bien connue, qui reste la plus confortable pour les ouvrages ne comportant que du texte - ce qui n'empêche pas que les lecteurs ebook soient supplantés, pour l'usage, par les smartphones et tablettes. Les constructeurs poursuivent alors leurs développements, pour diversifier leurs sources de revenus.