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Kakuzô Okakura, Okakura Kakuso

Extraits

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Art japonais

Le Livre du thé

Fort de sa connaissance approfondie des cultures occidentale et orientale, Okakura Kakuzo (1862-1913) - que l'on considère aujourd'hui à la fois comme un modernisateur de l'esthétique japonaise et comme l'un des grands protecteurs de la peinture et du patrimoine culturel japonais traditionnels, - est l'auteur de plusieurs ouvrages destinés à faire connaître les valeurs et les idéaux de la culture classique sino-japonaise aux occidentaux. Dans cette perspective, son livre le plus célèbre est sans conteste "Le Livre du Thé", dont le but affiché est d'expliquer au profane occidental les subtilités de la cérémonie du thé : respect, écoute, simplicité, humilité, poésie, harmonie, sérénité, spiritualité, art d'être au monde... Essai sur le raffinement et la beauté, introduction aux pensées zen et taoïste, "Le Livre du thé" reste toujours, plus d'un siècle après sa publication, l'un des plus grands livres de sagesse et d'art de vivre donné par le Japon à l'Occident.

02/2023

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Vins, alcools, boissons

Le livre du thé

La découverte de l'âme japonaise à travers la cérémonie du thé. A travers la Voie du Thé, Okakura nous révèle la quintessence de l'âme japonaise. C'est une porte ouverte vers l'Orient et son raffinement matériel comme spirituel. Enfant du zen et du Tao, la Voie du Thé est un véritable art de vivre qui, par le partage d'un délicieux breuvage, invite à revenir à l'essentiel : apprécier la beauté partout présente et la magie de l'instant. Publié en 1906, Le Livre du thé est un classique dont le propos, dans le fracas et l'agitation du monde d'aujourd'hui, n'a jamais été aussi actuel.

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Art japonais

Le livre du thé. La cérémonie du thé dans la culture japonaise

Le classique de Kakuzo édité dans la collection à reliure chinoise Le Livre du thé a été écrit par Okakura Kakuzo au début du 20e siècle et publié pour la première fois en 1906 et sans cesse réédité depuis. Dans ce livre, Kakuzo présente le terme "théisme" et explique comment le thé a affecté presque tous les aspects de la culture, de la pensée et de la vie japonaises. Le livre est accessible au public occidental car Kakuzo a appris très jeune à parler anglais et l'a parlé toute sa vie, devenant ainsi compétent pour communiquer ses pensées à l'esprit occidental. Dans son livre, il traite de sujets tels que le Zen et le Taoïsme, mais aussi de l'aspect profane du thé et, de façon plus générale, de l'art japonais. Le livre met l'accent sur la façon dont le rituel du thé nous renseigne sur la façon de vivre et de penser des Japonais. Kakuzo, qui a longuement étudié les arts, explique que la simplicité du rituel du thé a affecté de manière significative l'art et l'architecture. Le livre s'achève sur un chapitre portant sur les Maîtres de Thé. Délicatement illustré, ce livre est un voyage dans la culture japonaise.

09/2022

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Correspondance

Lettre à mon chat

Cher Kôchan, ça fait longtemps - est-ce que tu as changé ? Les cygnes qui traversent l'océan m'ont ap-porté des nouvelles de ta contrée, et je suis heureux de savoir que le destin t'a été favorable. En juillet 1911, Kakuzô Okakura, quittant les Etats-Unis pour s'en retourner au Japon, donna Kôchan, son chat angora. De Tokyo, il lui envoya une lettre en anglais, ici traduite en français. Fils d'un samouraï du haut rang, Kakuzô Okakura, auteur du célèbre Livre du thé (1906) naquit dans la ville portuaire de Yokohama (Japon), le 14 février 1863. Cofondateur de la première Académie des beaux-arts du japon, il fut invité au Musée des Beaux-arts de Boston dont il devint le conseiller du département des arts chinois et japonais, puis le conservateur. Il écrivit ses principaux ouvrages en anglais, dont de nombreuses recherches sur les arts traditionnels japonais. Il a voyagé en Europe, aux Etats-Unis, en Chine et en Inde.

02/2023

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Thèmes photo

Les souvenirs des autres

Ce livre rassemble pour la première fois le travail en Irlande d'Akihiko Okamura à l'occasion de la numérisation de ce corpus quasi inédit, accompagné de textes qui contextualisent son travail dans l'histoire de l'époque et celle du médium photographique. Pendant les Troubles, la lutte pour l'indépendance qui dura de 1969 à 1998, l'Irlande du Nord a attiré un grand nombre de photojournalistes étrangers venu documenter les événements. Certains d'entre eux ont trouvé un sujet qui les touchait personnellement, les poussant à dépasser les codes du photojournalisme. C'est le cas du photographe japonais Akihiko Okamura qui a réalisé un travail unique et remarquable en couleur dans les premières années du conflit, et qui est curieusement encore méconnu aujourd'hui. Né à Tokyo en 1929, Akihiko Okamura s'est distingué comme l'un des grands photographes de guerre de sa génération, opérant notamment au Vietnam au début des années 1960. Il est toujours très respecté au Japon, mais son travail et son expérience en Irlande, essentiels à la fois dans son oeuvre et pour sa vie personnelle, ont été peu explorés. Okamura est arrivé sur l'île avec sa famille en 1969 et y a vécu jusqu'à sa mort en 1985. Il a photographié son quotidien et les alentours, mais a vite été pris d'intérêt pour le nord du pays et sa lutte pour l'indépendance. Son attachement à ce pays et à son histoire l'ont conduit à produire l'une des oeuvres photographiques les plus significatives réalisées par un photographe étranger, mêlant à la fois cette simplicité du cadrage et du sujet, très japonaise, à une force dans la composition pour des sujets plus violents. En Irlande, il s'est éloigné du photojournalisme pour développer un témoignage plus personnel. Le choix de travailler en couleur, alors que les reportages de l'époque sont en N&B pour la plupart, et de privilégier des tonalités douces, comme hors du temps, contrastent avec la violence de l'époque. Ses images semblent se détacher du réel. Il percevait la permanence du quotidien dans l'impermanence de la guerre.

03/2024

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Thé

Les routes du thé

Un fascinant et magnifique périple photographique sur les routes du thé par deux photographes reconnus. Un "beau livre" appelé à faire référence. Photographes au long cours et grands voyageurs devant l'éternel, Tuul et Bruno Morandi sont d'inconditionnels buveurs de thé. Au cours de leurs incessants périples, attablés ou en tailleur sur un tapis, ils ont partagé un nombre incalculable de tasses du singulier breuvage. " L'humanité, chose curieuse s'est toujours retrouvée autour d'une tasse de thé " écrivait à l'aube du XXe siècle le distingué Okakura Kakuzo. Au vu de son extraordinaire ancienneté, il est étonnant de constater que le thé n'est arrivé que très récemment en Europe. Elle le découvrit seulement au XVIIe siècle, lorsque les commerçants hollandais l'importèrent depuis les ports chinois du Fujian. Et ce n'est qu'au XIXe siècle - lorsque le botaniste écossais Robert Fortune (1812-1880) déroba quelques milliers de pieds de théiers et le secret de fabrica-tion, alors jalousement gardé par la Chine interdite - que s'acheva le monopole chinois. Fasciné par l'ubiquité acquise depuis par la boisson la plus consommée au monde, le couple voyageur a entrepris de sillonner les ancestrales routes du thé, de la Chine jusqu'au Kenya en passant par le Japon, la Mongolie, l'Inde, le Tibet, le Népal, Ceylan, l'Ouzbekistan, l'Iran, la Turquie ou le Sahara.

09/2021

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