Kan Shimozawa

San Francisco est une ville légendaire. Ici vous descendrez et remonterez ses 42 collines à pied, en voitures ou en funiculaire.

Vous découvrirez également son équipe de base ball, sa baie, son célèbre pont suspendu, sa prison d' Alcatraz et plongerez ainsi tête la première dans une ville cosmopolite et originale.

Les éditions Casterman ressuscitent la collection d'albums documentaires de paru à l'origine dans les années 60.

Dessins naïfs et colorés, textes simples et pleins d'humour composent ce San Francisco. Les enfants peuvent y découvrir l'architecture, l'Histoire mais aussi l'ambiance et les particularités de cette ville dans un style qui n'a rien perdu de son charme et de son élégance.

Enfin, pour continuer le voyage, vous pourrez découvrir également dans la même série d'albums voyageurs dans l'espace et le temps, les villes de Hong-Kong, Paris ou Rome entre autres. Tous ces ouvrages étant la reproduction fidèle des éditions originales à l'exception d'un petit lexique sur la dernière page expliquant les changements opérés dans ces villes depuis la première parution des albums.

Dédicaces - Mercredi 26 novembre 2014 à 17h00 - A la librairie

Panettone, que tout le monde appelle, est un panda qui travaille comme gardien à la résidence Kanda. Il habite avec Praline, une fillette débrouillarde qui lui prépare les meilleurs petits plats. Chacun veille ainsi l’un sur l’autre et s’entraide dans tous les moments de la vie : qu’il s’agisse de choisir un nouveau foulard pour Pan’Pan, d’accueillir les nouveaux voisins ou encore de préparer les fêtes de Noël.

Au fil des pages, le petit monde de Pan’Pan et de Praline s’enrichit de personnages tout aussi attendrissants (Rose en admiration devant le panda, Paprika la tête de mule…) qui viennent mettre de l’animation dans leur quotidien !

Tendre comme un film de Miyazaki(Mon voisin Totoro), découvrez le quotidien plein de bonne humeur de la petite Praline et de Panettone, le plus attachant des pandas !

est une maison d'édition que nous apprécions particulièrement. Gagnant du prix Sorcière de l'album 2013 avec , la maison d'édition d'Olivier Pacciani et de Pierre-Alain Dufour ne cesse de nous étonner. Depuis trois ans et demi, ces deux amoureux du pays du Soleil-Levant nous font découvrir un pan de la culture japonaise à travers de magnifiques albums jeunesse.

Dans une semaine exactement, le 14 novembre, la maison d'édition va sortir son premier manga Pan'pan Panda – Une vie en douceur de Sato Horokura, l'histoire d'un immense panda, Panettone, qui vit avec une adorable petite fille, Praline.
Qui s'occupe de qui ? Qui protège qui ? Ami, ils le sont assurément l'un pour l'autre.

Amusant petit manga pour les plus jeunes lecteurs qui fera dans sans doute penser à Ranma ½ au plus vieux, les traditions et la cuisine japonaise sont au centre de l'aventure de cette joyeuse pension.

A l'occasion de ce premier titre dans cette nouvelle collection de manga jeunesse et familial, Nobi-Nobi organise justement, un concours de cuisine. Voilà qui est original, dite donc !
Alors c'est facile, vous faites un plat qui ressemble à un panda (Choucroute alsacienne et ratatouille acceptées), vous le prenez en photo (hop, c'est bon, maintenant vous pouvez le manger ! ), vous envoyez la photo et celle qui donne le plus faim à Benjamin Griffon, pâtissier au B[n]S Kitchen, gagnera plein de cadeaux !

Miam !

Au début du mois dernier nous vous annoncions que l'écrivaine tchèque d'origine vietnamienne Pham Thi Lan avait remporté le Prix des maisons d'édition tchèques.

Celle-ci prétexta un voyage en Malaisie qui l'empêchait de venir chercher son prix. Le jury avait apprécié dans son livre Cheval blanc et dragon jaune, un récit moderne mâtiné de légendes anciennes dans lequel plusieurs registres de langues cohabitent harmonieusement. Le président du jury avait même affirmé que la beauté du style de l'écrivain rendait des auteurs tchèques jaloux.

Il semblerait pourtant que tout cela n'a été en fait qu'une supercherie. En effet, Pham Thi Lan n'existe pas. Elle aurait été inventée par un auteur de 40 ans boudé par la critique et les médias, Jan Cempirek.

Tout cela a commencé à faire du bruit, mais le jury a précisé tout de suite que seule la qualité du texte l'a influencé puisque les textes sont anonymés jusqu'à l'annonce du lauréat. L'histoire auirait pu s'arrêter là, mais Jan Cempirek n'avait pas dit son dernier mot.

Il a expliqué que son texte n'était construit que sur des clichés que pourrait avoir un Tchèque moyen sur la façon de penser de la communauté vietnamienne de Tchéquie. Et pour enfoncer le clou, il indique que son texte ne rentrait pas dans les critères de longueur imposés à savoir 150 pages minimum. Enfin, il affirme que le style est des plus simples avec des phrases courtes quasiment sans compléments.

Pour se donner une idée, il suffit de lire les premières lignes de Cheval blanc et dragon jaune, traduites par Eco89 : « Je suis tchèque. Je suis née ici. Et j'y mourrai probablement aussi. Je suis vietnamienne. Pour tout le monde ».

Cabale contre Jan Cempirek

Enfin, une partie du communiqué du jury lors de l'annonce du lauréat jette un doute : « Les membres du jury ont unanimement estimé que l'œuvre des auteurs de la deuxième génération des immigrés représente un grand atout pour la littérature tchèque ». On se demanderait presque si ce n'est pas parce qu'elle était une femme, jeune d'origine vietnamienne et écrivant dans un genre très prisé (les histoires vraies un peu difficiles) que Pham Thi Lan a été désignée lauréate.

Bien évidemment, les personnes impliquées dans cette histoire ne sont pas restées insensibles à ces accusations et se sont retournées contre l'auteur. La maison d'édition Knižní klub aurait affirmé que l'auteur était un « manipulateur dangereux ». Un des membres du jury aurait carrément laissé entendre que Jan Cempirek aurait très bien pu avoir volé le manuscrit. Une accusation qui serait assez pratique pour justifier à la fois la bonne qualité du texte primé et le désintérêt que la critique porte à cet auteur.

Quoi qu'il en soit Jan Cempirek aura réussi à jouer un joli tour, et à faire parler de lui dans les médias.

Ah c'est toujours un bonheur de tenir un tome de 'Hokuto No Ken' ('Ken le survivant' en français) dans les mains. Un bon défouloir après une journée de boulot harassante durant laquelle votre patron n'a pas trouvé meilleure occupation que de venir vous chercher querelle. Comble de bonheur vous avez la version Asuka très belle mais surtout très respectueuse de la version originale.

Ken se retrouve face à une bande d'hommes enragés qui tentent par tous les moyens mais surtout par la violence quand même de s'approprier une source d'eau que se partagent une grand-mère et les petits orphelins qu'elle a recueillis. Il se trouve de plus que cette grand-mère s'était occupée de Batt quand il était plus jeune.

Face à tant de cruauté Ken va éliminer tous les membres de cette bande qui se trouveront sur son chemin. Mais le chef de celle-ci lui réserve une surprise de taille, toute en muscle et relativement impressionante.

Entre révélation et suspense :

Pour la première fois on va retrouver Ken en légère difficulté et il va même être obligé de craquer son tee-shirt pour être plus à l'aise pour se battre. À moins que ça ne soit simplement pour craner, style j'ai tellement de muscles que mon tee-shirt n'y résiste pas. Enfin peu importe c'est toujours aussi impressionnant quand Ken fait ça. On se dit que là ça va vraiment saigner.

Ce troisième tome fait entrer en scène de nouveaux personnages importants mais surtout il crée la surprise avec une révélation surprenante. Pour un peu on se mettrait à douter de Ken. Le suspense est très bien ménagé tout au long du tome pour trouver son point culminant sur la dernière page de celui-ci. Eh, oui ! Il va falloir courir se procurer le tome 4 pour savoir ce qu'il va se passer. Mais on s'attend bien sûr à un combat titanesque.

Du bonheur !

Le dessin est toujours aussi bien léché et il est étonnant de constater que les planches n'ont pas pris une ride contrairement à beaucoup d'autres manga de notre jeunesse. Petite mise en garde d'usage parce qu'il le faut bien : 'Hokuto no Ken' est un manga violent où les bons sentiments du héros priment certes mais dans lequel l'hémoglobine tient une bonne place.

'Hokuto no Ken. Fist of the North Star' (ou 'Ken le survivant' hein, pour ceux qui n'auraient pas suivi !) tome 3 de Buronson et de Tetsuo Hara est édité par Asuka. Vous pourrez vous offrir ses 192 pages de bonheur défouloir pour 6,95€.

Alors qu’il se trouvait en visite officielle à Stockholm, le président du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, a profité de l’occasion pour faire un petit pèlerinage sur les traces de la trilogie Millenium du romancier Stieg Larsson.

M. Zapatero a fait cette petite confidence au cours d’une conférence de presse où il se trouvait aux côtés de Fredrik Reinfeldt, l’actuel Premier ministre suédois. Mais la raison officielle de ce déplacement reste tout de même la préparation de la prochaine présidence espagnole de l’Union européenne.

C’est en effet à partir du 1er janvier 2010 que l’Espagne prendra les commandes, après la Suède. Toutefois, M. Zapatero s’est dit très réjoui d’avoir pu se promener dans Södermalm et mieux s’imprégner ainsi de l’atmosphère de la trilogie Millenium.

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