Kindle chiffres ventes

Ventes de livres européennes en 2007 : les chiffres

Attention, remarque liminaire et introductive : il ne faut pas tirer de vérité générale nouvelle de ce qui va suivre. Simplement, quand un éditeur de la taille de Random House s'aperçoit que les ventes d'un livre sont plus importantes, après une semaine de commercialisation, en version numérique, les questions se posent.

Chaque année au mois de mars, le Service du Livre et de la Lecture du ministère de la Culture mobilise son service Observatoire de l'économie du livre pour la publication des chiffres-clés du livre. La publication 2016, qui s'appuie sur les données des années 2014-2015, met en avant la hausse des ventes déjà observée, mais aussi le dynamisme des cessions de droits. 

Les expérimentations tarifaires n'en finissent plus, outre-Atlantique, parfois même aux dépens des auteurs eux-mêmes. Ainsi, James Crawford s'est retrouvé pantois devant un énorme pic de téléchargements de son roman, Blood Soaked & Contagious, qu'il avait commercialisé via la plateforme Kindle Direct Publishing.

Les ventes de livres numériques, aux États-Unis, sont décortiquées avec attention. Et quand le cabinet Nielsen présente les résultats de l’année passée, chaque observateur retient son souffle. Ainsi, pour 2014, l’édition américaine accuserait un recul de 6 % des ventes. À force de retenir leur respiration, on raconte que certains seraient morts...

Chat et souris : quand Amazon joue avec les chiffres des ventes

*NdR : et non Prends Plus de Risques, comme le croyait Clément...

L’interprète de « Savoir Aimer » a sorti son autobiographie Pagny par Florent (Fayard) cette semaine. Il la voit s’écouler à 31.167 exemplaires, un démarrage foudroyant. Ce n'est pas la seule nouveauté. Cette 14e semaine est aux couleurs de l'inédit : les trois ouvrages du trio de tête sont sortis il y a seulement quelques jours.

Entrée, record de longévité, sortie de classement : le classement des meilleures ventes d'Amazon fait figure de miroir de l'édition de par sa distribution mondiale. Mais derrière l'argument de la mise à jour, heure par heure du palmarès des meilleures ventes, quelle est la réalité des chiffres ?  Ce week-end, Gabe Habash de

#Booktracking – Cinq ans maintenant que le projet Booktracking a émergé dans l’interprofession. Mais peut-être pas autant à l’initiative du Syndicat national de l’édition (SNE) que ce dernier veut le faire croire. Ce nom de code cache un outil comptant les sorties de caisse —donc les ventes de livres en temps réel. Un effort de transparence promis, désormais doublé d’une mission d’écoresponsabilité. 

Des ventes énormes, le Kindle, chouchou de Noël

Avec un léger décalage qui s'explique par la collecte et le traitement des données, l'Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) et l'Union internationale des éditeurs (UIE/IPA) proposent régulièrement des rapports réunissant les chiffres d'affaires et volumes de titres publiés pour un maximum de marchés de l'édition. Celui portant sur l'année 2018 vient d'être publié par les deux organisations.

La situation n'est pas brillante, et le vote américain de sanction contre le président Obama démontre évidemment le mal-être de la population américaine.

Depuis les premiers temps du Black Friday, l'occasion pour les Américains de se ruer dans les boutiques pour leurs emplettes de Noël, les ventes vont bon train. Et Amazon ne perd jamais une occasion de ne pas communiquer ses chiffres de ventes, tout en assurant qu'ils sont excellents. Allons-y donc, avec bonheur, pour l'exercice d'enfumage traditionnel.

Voilà quatre mois que le service Kindle Unlimited, la lecture à volonté contre souscription par Amazon, est lancé aux États-Unis. Si en France l'initiative de Jeff Bezos a rencontré la frilosité de certains éditeurs, outre-Atlantique elle s'est principalement appuyée sur le vivier des auteurs autopubliés via Kindle Direct Publishing Select. Désormais certains observateurs du marché du livre se demandent si cette formule d'abonnement aux ebooks ne va pas nuire à l'ensemble des écrivains indépendants, en rognant sur leurs ventes. Réponse ? Evidemment...

De mars 2012 à mars 2013, le Kindle d'Amazon s'est taillé la part du lion dans les ventes de lecteurs de livres électroniques au Japon, avec 38 % du marché selon GoodEreader. Derrière, on retrouve, avec 33 %, le Kobo, vendu par le groupe Rakuten. Sony n'arrive qu'en troisième position, avec 25,5 % des ventes.

Inutile de partir avec toute sa bibliothèque pour pouvoir lire. Le lecteur ebook a un potentiel qui va croissant, mais les ventes ont connu une légère baisse durant ces derniers mois. Les revenus sont à la baisse : de 33 % au mois de janvier et de 44 % pour le mois de février.

Amazon prévoit des ventes records pour le Kindle et le Kindle Fire mais envisage que les profits générés par les ventes d'ebooks seront un peu à la traîne.

Si l'heure est aux bilans pour certains, Amazon dégaine son traditionnel communiqué de presse pour annoncer le succès de ces fêtes de fin d'années. Avec un million de clients qui ont souscrit au service Amazon Prime durant la troisième semaine de décembre, ce sont plus de 36,8 millions d'articles qui ont été commandés durant le Cyber Monday, avec un record de 426 articles par secondes. 

Le fait est connu : Amazon ne communique pas sur ses chiffres et encore moins sur le nombre de Kindle écoulés. Ce qui laisse souvent cours aux plus folles supputations. Et en tout cas, laisse penser que, s'ils étaient rendus publics, les résultats ne seraient pas si bons que ça.

The Lost Symbol : Les ventes Kindle dépassent le papier

Kindle : Les ventes de ebooks décollent. Oui, mais lesquelles ?

Le territoire chinois sera le prochain enjeu dans la guerre numérique entre les grosses écuries. Le site de e-commerce Alibaba avait déjà amorcé le virage, en débutant la commercialisation de livres numériques en juin dernier. Avec 1,3 million de titres disponibles prochainement. Et le leader dans le domaine, Amazon, n'a toujours pas amorcé la pompe Kindle, bien que la boutique Amazon.cn existe depuis quelque temps.

Inutile d'insister, les deux nouvelles machines d'Amazon sont d'authentiques réussites marketing, et les consommateurs ne s'y sont pas trompés.

Aux États-Unis, un quart des ventes de livres numériques est réalisé par des éditeurs indépendants. Un chiffre avancé par la firme Amazon, à l'occasion d'une présentation commerciale, pour montrer combien les auteurs autoédités et les maisons indés représentent désormais une force indéniable - et un atout commercial de grande envergure. 

Éditeurs et auteurs anglo-saxons disposent désormais d'un nouvel outil promotionnel, pour mettre en vente, sur une courte période, des ouvrages numériques à prix réduit. Avec CountDown - compte à rebours, en français dans le texte - est une solution récemment mise en place pour le Kindle. 3...2...1...0 : Ignition !

Exclusif : En début d'année, un nouvel outil promotionnel avait fait son apparition : MyKindex. Ce service proposait, contre rémunération, de profiter d'un afflux de ventes d'ebooks, via la plateforme Kindle, et d'entrer dans le top 20 des best-sellers Amazon. Si l'objectif n'était pas atteint, l'utilisateur était remboursé. S'il entrait dans le top, charge au livre de trouver son public, maintenant qu'il profitait de cet éclairage soudain.

La politique tarifaire des livres numériques est un vif sujet de débat, depuis les premiers temps. Et régulièrement, un motif de dispute entre Amazon et les éditeurs, tous pays confondus, ou presque.

Dan Lubart dirige l'agence Lobyte Solution, et propose un service d'information micro et macro économique sur le marché du livre électronique, dédié aux professionnels du livre : « Ebook Market View. »

Indicateur intéressant, mais en même temps biaisé, Amazon fait régulièrement état des ventes de livres papier mises en regard des ventes de livres numériques. Et une fois encore, le cybermarchand annonce que ces dernières ont dépassé leurs consoeurs.