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Kobo rachat

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Dossier

Kobo : toute une bibliothèque qui tient dans la main

Fondée en 2009 à Toronto, Kobo s'est rapidement imposée comme une figure emblématique dans le monde des liseuses. Bien que le marché des e-readers soit dominé par quelques géants, Kobo a su trouver sa place grâce à une combinaison gagnante d'innovation, de qualité et d'ouverture.

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Dossier

Liquidation, prudence, salariés : les librairies Gibert Joseph en question

Figure toute particulière de la librairie et du disque, le réseau Gibert réunissait 31 établissements sur le territoire français. Jusqu’à ce que la direction annonce, brutalement, son choix de mettre en liquidation judiciaire trois d’entre eux. Suite au rachat de Gibert Jeune en novembre 2017, la famille était réunie après un siècle de discorde. Mais entre temps, la pandémie est passée par là.

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Dossier

Le Prix Stanislas du premier roman

Créé en 2016 par Le Livre sur la Place et Groupama, le Prix Stanislas du premier roman récompense le talent d’un auteur d’un premier roman publié à la rentrée de septembre. Dix ouvrages de la rentrée littéraire sont sélectionnés au cours de l'été, le nom du lauréat est connu à la fin de celui-ci, avant que la récompense ne soit remise au cours du Livre sur la Place.

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Dossier

Foire du Livre de Francfort 2019 : la Norvège à l'honneur

La Foire du Livre de Francfort 2019, 71e édition, se déroulera du 16 au 20 octobre. L'un des plus importants salons du monde du livre européen fera cette fois une place d'honneur à la Norvège. « The dream we carry », ou le « Le rêve que nous faisons », titre du programme mis en œuvre par le pays, promet beaucoup, et notamment des focus sur la liberté d'expression et sur les auteurs et livres féministes.

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Dossier

Netflix : quand les livres inspirent films et séries

Fondée en 1997, la société Netflix est devenue le symbole même d’une nouvelle approche de la vidéo sur internet. Son service de streaming, déployé sur une vingtaine filiales, réparties sur 190 pays dans le monde a conquis les utilisateurs. Séries, films, documentaires, on y retrouve une offre qui se diversifie. Et les livres y trouvent de plus en plus leur place.

Extraits

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Littérature étrangère

Le Rachat

La guerre vient à peine de finir. Sachenka, dix-sept ans, orgueilleuse et coquette, monstrueusement égoïste, vit dans le dénuement absolu d'un village où la misère est le lot de chacun. Sa mère travaille dans une cantine militaire où elle vole chaque jour quelques miettes pour nourrir sa fille. Autre source d'aliments : un couple de mendiants professionnels qui s'est imposé sous leur toit et partage avec elles leurs croûtons et leurs poux. Dans leur cour vivait, il y a encore quelques mois, un dentiste juif avec sa famille. Tous ont été massacrés. Par qui ? Pour quoi ? Ils gisent dans des trous creusés à la hâte ici et là. Qu'y a-t-il à racheter ? La mort de quatre innocents ? Les vols de la mère, la méchanceté de Sachenka ? Et qui sera l'instrument du rachat ? Le lieutenant, fils du dentiste ? La mère emprisonnée pour vol ? Sachenka amoureuse, généreuse pour la première fois de sa vie envers le lieutenant ? Eux tous, et plus : chaque couple, même éphémère, donnera naissance à une petite fille ; Sachenka et le lieutenant, sa mère et son amant, les deux mendiants. Et les trois petites filles tiendront entre leurs mains, tiendront dans leur sourire la coupe de miel en laquelle s'est muée l'ancienne coupe d'amertume. On retrouve ici, comme dans Psaume et dans Degrés du même auteur, l'âpreté humaine, le don d'oubli des innocents, un lyrisme prophétique d'une rare fécondité.

02/1988

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Littérature française

Crachat

" Je veux me souvenir de ces heures passées dans le bus, de la musique triste qui résonne dans la tête, collée contre la vitre à regarder défiler toujours le même paysage. Je veux me souvenir de ces pleurs discrets au lycée, cachée derrière une porte, des cheveux, des lunettes de soleil, de ces sanglots passés inaperçus les soirs dans mon lit, de la sensation des larmes chaudes qui coulent délicatement dans le creux des oreilles, qui les contournent et se posent sur l'oreiller. Et quand je veux me débarrasser de ce passé qui me pèse, il ne me lâche plus. Alors j'écris et je lève mon verre aux années de souffrance silencieuse. "

08/2019

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Thèmes photo

Maya Rochat

COLLECTION "PERCEVOIR" Percevoir (verbe tr.) : saisir, prendre connaissance par les sens, l'intuition ou l'entendement. Les Editions de La Martinière encouragent les nouveaux talents de la photographie et des arts visuels à travers "Percevoir" , une collection de livres qui porte un autre regard sur l'image : mouvante, fragmentaire et multiple, comme le monde qui nous entoure. A chaque artiste, une réponse singulière. MAYA ROCHAT Procédant par une superposition de photographies, de textes et de peintures abstraites, mais aussi par l'altération numérique ou physique des images, Maya Rochat a développé un langage formel singulier. Dans ses premières années (2010-2014), elle joue sur la densité des collages pour des images qui embrassent un contenu politique contestataire marqué. A partir de 2015, elle se tourne vers des photographies de végétaux, de roches ou encore de rivières, qu'elle transforme pour proposer de grands formats, hautement saturés en couleur, dans une démarche de réenchantement de la nature. Si ses séries commencent toujours par un livre, elles peuvent se déployer de bien des manières, notamment en vidéo et par des performances. Une collection dirigée par Simon Baker, directeur de la Maison européenne de la photographie.

06/2023

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Théâtre

Les Immobiles ; Proposition de rachat

Dans ce diptyque théâtral alternant récit et dialogues rapides, idéal pour des distributions mixtes d'une demi-douzaine de comédiens, Guillaume Cayet s'immerge dans les confins d'une France que d'aucuns estimaient éternelle. Loin de la carte postale avec mairie et église, temps suspendu et tranquillité de la vie malgré l'absence du progrès, l'arrière-plan est plus sombre : chômage rampant et vieux sur des bancs regardant le village s'endormir. L'auteur dépeint gravement mais non sans humour cette transition civilisationnelle, jusqu'à une reconstruction possible ? Les Immobiles sont les habitants d'une de ces bourgades où, paradoxalement, un jeune couple s'installe pour fuir l'anonymat de la ville, comme une revanche sur l'exode rural. Mais cette discrétion qu'autorise la foule urbaine s'efface peu à peu du fait de l'intrusion de traditions imposées aux nouveaux arrivants, jusqu'à déconstruire leur projet de vie. Dans Proposition de rachat, même village, même ambiance, mais c'est le bout du processus que montre l'auteur :une histoire de famille dont le mal prend ses racines dans la lente décomposition de ce vivre ensemble et dans ces idées de repli sur soi qui gangrènent peu à peu les esprits.

01/2015

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Littérature étrangère

Koba

Dans son vingtième roman, Robert Littell met en scène pour la première fois un enfant comme héros et narrateur. Le jeune Léon est à la fois intellectuellement précoce et d'une candeur désarmante ; ses rencontres avec un péremptoire vieillard dont il ignore l'identité seront surprenantes et instructives pour l'un comme pour l'autre. La Maison du quai est un vaste immeuble à Moscou, où logent des fonctionnaires, des apparatchiks soviétiques, ainsi que le jeune Léon Rozental. Après la mort de son père, physicien nucléaire, dans un accident de laboratoire, et l'arrestation de sa mère pendant la purge stalinienne des médecins juifs, Léon et d'autres enfants se cachent du NKVD dans les pièces secrètes du bâtiment. Lors d'une expédition souterraine, il découvre un passage menant à une immense salle de bal désaffectée. Il y rencontre Koba, un vieil homme peu avenant dont l'appartement est protégé par plusieurs gardiens jouant aux échecs. Koba est un officier soviétique haut placé, plus important encore que Léon ne peut l'imaginer, et qui connaît de façon troublante les pensées et machinations du camarade Staline... Dans ces conciliabules entre un jeune garçon naïf et un tyran paranoïaque, Robert Littell fait un portrait ambigu du dictateur soviétique, montrant son côté humain et en même temps une inconscience totale par rapport aux souffrances qu'il a infligées au peuple russe des décennies durant. Le charme et la spontanéité du jeune Léon en font un personnage irrésistible — et qui n'est pas sans rappeler Holden Caulfield, à qui il avoue s'identifier — pris dans la toile d'araignée du récit tissé par cette figure énigmatique.

05/2019

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Littérature française

Koba

Au début de notre ère, un terrible ouragan dévaste ces hautes vallées du Caucase que l'on appelait le " Ventre du monde ". Pour se venger du Vent, un bûcheron géorgien, Koba, chef des Abreks, décrète l'extermination des dieux, de tous les dieux, où qu'ils se trouvent. Alors commence cette chasse insensée : les " Insoumis ", ainsi s'appellent-ils eux-mêmes, déferlent sur les hauts plateaux d'Arménie, installant partout, jusque dans les chemins de neige, des pièges à dieux. Koba s'écrie : " Que les dieux nous blâment à leur guise ! Laissons-les pousser des cris de rage ; même s'ils se lèvent contre nous, nous serons vainqueurs ! " Pour se rendre plus effrayants, les Abreks s'enduisent de glu et se roulent dans les chardons. Massacres, viols et pillages s'enchaînent : Ninive est en flammes, Babylone mise à sac. Dans les déserts de Syrie, des juifs leur parlent d'un certain Elohim, un dieu qui passe dans la brise et qui chuchote. Qu'à cela ne tienne : Jérusalem investie, les chercheurs de dieux dévorent et mâchent les rouleaux de la Torah. Le Sinaï franchi, Koba et ses hordes ensanglantées dévastent les rives du Nil, " le Nil couleur de carnage et d'incendie "... puis rageusement s'embarquent pour la Grèce, à destination du mont Olympe, le repaire des dieux inaccessible aux hommes. On le sait, c'est surtout à mi-chemin des mythes et de l'Histoire que les dieux ont tendance à pulluler : c'est donc là que Koba inscrit sa guerre personnelle - une guerre totale par laquelle le Guide, à la recherche du Grand Coupable, pourchassant dieux et hommes jusqu'au dernier, devient dieu lui-même. En ce sens, Koba est au-delà de Prométhée, il est lui-même l'injure définitive, l'injure bariolée, hoquetante et inépuisable qu'on fait aux dieux.

08/2002

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