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La Femme Défaite

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Dossier

“Offrir aux femmes une terre d’accueil pour exister en tant que femmes”

En cinquante années de publications, les éditions Des femmes - Antoinette Fouque ont cherché à rendre les femmes plus visibles. A l'occasion de leur anniversaire, ce dossier propose de retrouver les oeuvres majeures de leur catalogue.

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Dossier

Femmes et destins : 10 ouvrages qui brisent les carcans

La femme, dans la société, est une entité multidimensionnelle qui joue plusieurs rôles, la plupart du temps de manière simultanée. Cette pluralité, que ce soit dans la réalité quotidienne ou dans la littérature, est à la fois une source d'inspiration et un miroir reflétant la complexité des enjeux sociaux.

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Dossier

Redécouvrir Colette, à travers les femmes qui l'ont lue

Ce 28 janvier, Colette aurait eu 150 ans. Et depuis quarante années, les éditions des femmes - Antoinette Fouque mettent à l'honneur les écrits de Colette à travers leur collection de livres audio, La Bibliothèque des Voix. L'occasion de retrouver les femmes qui, au fil du temps, ont prêté leur voix pour que vivent les textes de l'autrice.

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Dossier

Du féminisme en littérature

« Quelle erreur pour une femme d’attendre que l’homme construise le monde qu’elle veut, au lieu de le créer elle-même. » Cette phrase d’Anaïs Nin prend toute son ampleur en littérature, où après des siècles où les grands écrivains n’ont parlé qu’à leur semblable du sexe masculin, l’ancien « sexe faible » a aujourd’hui pleinement sa place. Des femmes fortes, sensibles, engagées et/ou artistes, qui font vibrer leurs voix singulières et caractéristiques.

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Dossier

Le Prix “Envoyé par La Poste”

Créé par la Fondation d’entreprise La Poste, le prix « Envoyé par La Poste » récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, sans recommandation particulière, à un éditeur qui décèle, avec son comité de lecture, un talent d’écriture et qui décide de le publier.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Mélissa da Costa

Mélissa Da Costa est la première femme la plus lue de France. Se classant dans les meilleures ventes de livres en 2022, sa plume se caractérise par sa grande sensibilité aux thèmes de l'amour, de la famille et de la transmission.

Extraits

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Actualité et médias

Adieu mademoiselle. La défaite des femmes

Abolir la prostitution, mais autoriser la GPA. Supprimer la différence des genres, mais exiger l'égalité des fonctions. Réclamer l'abolition de la maternité, mais accepter l'imposition du voile. Se proclamer progressiste, mais enchaîner la condition féminine au Marché... Soixante-dix ans après Simone de Beauvoir, Eugénie Bastié dévoile ici, d'une plume enlevée et implacable, la misère du néoféminisme contemporain. L'égalité des droits est actée, le contrôle de la fécondité acquis, le système de la parité rendu obligatoire. Mais les nouvelles ayatollettes entendent poursuivre sans fin le combat, et lutter sans relâche pour un monde déjà advenu. Quitte, pour exister, à promouvoir les pires cauchemars d'Orwell, jusqu'à en oublier les véritables menaces qui pèsent sur le corps féminin. Des laboratoires de la Silicon Valley aux plateaux de l'Eurovision, du tapage des Femen au déni de Cologne, des colloques queer et trans aux réseaux sociaux de la délation, de l'invasion des ministères à la désertion des banlieues, cette enquête intellectuelle sans précédent montre comment, sous prétexte de militantisme, l'idéologie postmoderne travaille à la défaite des femmes. Et, plus largement, à la disparition d'une humanité partagée. Un livre décisif.

04/2016

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Théâtre

La défaite

La pièce, un drame, du Norvégien Nordahl Grieg (1902-1943), au demeurant l'un des écrivains les plus prolifiques et les plus attachants de l'entre-deux-guerres en son pays, également romancier, poète et journaliste, intitulée Nederlaget (La Défaite, 1937) a pour première originalité de se dérouler tout entière durant la Commune de Paris (mars à mai 1871) et de mettre en scène le petit peuple constituant ladite Commune aux prises avec les "versaillais" de M Thiers qui finiront par remporter une victoire sanglante. Avec une admirable connaissance des faits, des lieux et des personnages tous tirés du petit peuple, l'auteur dresse le procès de notre société dévoyée par la violence et leurrée par des idéaux révolutionnaires aussi utopiques que dangereux pour exalter de grands mots d'ordre de pacifisme, de renonciation à la haine et à la vengeance et d'humanisme véritable qui donnent la mesure de la passion profonde de ce Norvégien et de sa vaine volonté d'en finir avec des temps injustes, cruels et meurtriers. Bien entendu, cette volonté est dérisoire et l'implacable loi de violence et d'injustice de notre temps finira par l'emporter. Mais l'on ne peut s'empêcher d'apprécier cette récusation sincère des haines et des intérêts qui mènent notre société. Ajoutons que la pièce est remarquablement construite, les personnages, d'une surprenante vérité humaine et le mouvement d'ensemble, d'une force de conviction digne des plus grands dramaturges norvégiens.

11/2011

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XXe siècle

Pas la défaite

Juin 1940. Le front des armées françaises s'effondre sous la poussée nazie. Le groupe du soldat Paco est anéanti. Il s'habille en civil et décide de rejoindre à pied sa fiancée au sud de la France. Les péripéties d'un voyage de huit cent kilomètres plein d'embûches se mêlent au souvenir de la Guerre d'Espagne, de la politique de Staline, de l'exode des Républicains espagnols, d'une grève en milieu viticole et de la mobilisation. Les récits se croisent, dessinent comme une cartographie de la violence politique et sociale de l'époque à travers des rencontres hostiles ou amicales. Mais les récits sont aussi porteurs de l'espoir d'un homme et de son obstination à atteindre son but... .

01/2023

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Dépression, suicide

La défaite dépressive

Contrairement à l'anxiété qui exprime une lutte des pulsions et des instincts de vie, la dépression signe leur effondrement et atteste d'un vécu et d'une réaction de défaite dont les déterminants traumatiques existentiels sont constants. Cette réaction de défaite s'exprime de plus en plus souvent par des formes frustres, quasi inapparentes, au sein desquelles les signes mentaux s'effacent souvent au profit d'expressions comportementales opératoires ou de pathologies somatiques. Cet ouvrage propose de nouvelles représentations concernant la psychogénèse de la défaite dépressive, ses aspects cliniques les plus variés et les axes psychothérapiques qui en découlent.

06/2022

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Littérature française

La première défaite

"Après que Philippine a décidé de la fin de notre amour, ai aimé Philippine pendant quatre ans. Pendant quatre ans, j'ai consacré chaque heure du jour et chaque heure de la nuit à une seule et unique activité : l'aimer - l'aimer sans qu'elle fût à mes côtés. Je l'ai aimée enfermé dans la solitude de mon studio de l'île Saint-Louis. Je l'ai aimée enfermé dans la nuit des quais de l'île Saint-Louis. Je l'ai aimée enfermé dans la mémoire et dans la folie. Je l'ai aimée éveillé. Je l'ai aimée endormi. Je l'ai aimée en rêve. Je l'ai aimée au crépuscule du jour. Je l'ai aimée au crépuscule de la nuit. Je l'ai aimée tant que j'ai pu. Je l'ai aimée au-delà de ce qu'elle pouvait. Je l'ai aimée en la suivant dans la rue, ombre de son ombre, pas de ses pas. Je l'ai aimée à distance, respectueuse et irrespectueuse. Je l'ai aimée pour survivre. Je l'ai aimée à en mourir. Je l'ai aimée dans un temps sans temps, dans un temps où seule l'écriture égrenait des instants qui, wagons furtifs d'un train disloqué, ne parvenaient plus à s'accrocher les uns aux autres. J'ai aimé le souvenir de son sourire, le souvenir de son parfum, le souvenir de son souvenir. J'ai aimé l'absence de ses lèvres - et de ses lèvres. J'ai aimé sa peau comme un écorché vif. J'ai aimé son regard d'havane comme cet aveugle qui cherche à être roi chez les borgnes. J'ai aimé sa beauté à m'en rendre laid. J'ai aimé sa différence jusqu'à ne plus savoir qui j'étais. Ne voulant plus me souvenir, je l'ai aimée absolument, obsédé par le moindre souvenir d'elle." C'est bien sûr de la Philippine de "Le Premier amour" qu'il s'agit ici et des tourments endurés par le narrateur, "l'auguste crapaud graphomane" tel que Santiago Amigorena se définit lui-même, après la fin de ce premier amour. Ainsi pendant quatre ans va-t-il traîner son accablement et sa mélancolie , les imposant à ses amis, à ses proches, jusqu'à la délivrance, enfin, à la libération. On a été rarement si loin dans l'analyse du désespoir amoureux, et dans son évolution progressive vers la délivrance. Même en s'y appuyant pour commencer, cela va bien au-delà de l'analyse psychologique gràce à un très étonnant lyrisme introspectif qui ne cesse d'ouvrir de nouveaux territoires à l'investigation inquiète du narrateur. Et aussi gràce à un humour dont Santiago Amigorena est la première cible consentante, un humour ravageur, joyeusement dépressif et, pour tout dire, irrésistible. Et bien sûr il va aussi se passer beaucoup de choses pendant ces années soutenues par la basse continue d'une irrépressible tristesse. Notre héros, par exemple va retourner en Uruguay et en Argentine pour la première fois depuis l'exil forcé en France, à la rencontre de ses souvenirs d'enfance et de ses amis d'autrefois, puis en Grèce et en Italie, il va croiser beaucoup de jeunes femmes, écrire et se relire, et se citer, boire et danser.

08/2012

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Littérature française (poches)

La défaite des mères

Au lendemain des indépendances, Niwalie naît à Kinshasa, avant de grandir en République centrafricaine. Son père, chasseur de léopards, devient le garde du corps de la Première dame du pays... et disparaîtra bientôt de la vie de son enfant. Niwalie grandira essentiellement auprès de sa mère, puis donnera elle-même naissance à quatre filles. C'est donc une histoire de femmes que nous raconte ce livre. Sauf qu'il ne s'arrête pas là. C'est l'Afrique centrale des années 1970, son personnage principal. Un pays en proie à un empereur mégalo et tyrannique qui échange de grandes claques dans le dos avec "Végéheu, le roi de France". La violence, la pauvreté, la guerre, l'exil. La peur d'être une femme dans ce monde-là, la peur d'être la mère de quelqu'un dans ce monde-là, surtout quand ce quelqu'un n'est pas un homme. Sans jamais se départir de son humour et de sa poésie, Niwalie dresse le portrait au vitriol d'une société sur le point d'à nouveau basculer.

02/2020

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