Fondée en 1974 et reprise en 2020 par Caroline Fortin, fille du fondateur Jacques Fortin, Québec Amérique se distingue par sa passion pour la littérature francophone et son engagement envers la qualité et l'innovation éditoriale.
Créé par la Fondation d’entreprise La Poste, le prix « Envoyé par La Poste » récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, sans recommandation particulière, à un éditeur qui décèle, avec son comité de lecture, un talent d’écriture et qui décide de le publier.
Qu’est-ce qui témoigne de la vitalité d’une littérature ? Dans ce cas-ci, celle de la littérature jeunesse au Québec. Est-ce le nombre d’éditeurs ? On en compte plus d’une soixantaine. Le nombre d’ouvrages publiés par année ? Il y en a plus de 400. Les prix dédiés à ses créateurs ? On en compte une bonne douzaine. Ou alors l’attrait de ses créateurs pour des éditeurs étrangers ?
Avec le développement fulgurant du livre lu, c’est toute une dimension audio qui se développe désormais dans le monde du livre. Ce qui devait pousser la rédaction à diversifier ses approches, avec la création d’un podcast dédié. Des livres, des auteurs, des lectures, des chroniques, et bien d’autres choses encore.
Une étude réalisée conjointement par le ministère de la Culture et de la Communication, le Syndicat de la librairie française et le Syndicat national de l’édition, le rapport de la mission « Livre 2010 » et celui d’Antoine Gallimard, remis au cours de l’année 2007, ont souligné la fragilité de la situation économique des librairies indépendantes et préconisé de faire du maintien et du développement de ces entreprises une des priorités de la politique du livre.
Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.
Littérature française
Colin lo Trobadaïre (de son nom Nicolas Sègerie) est un musicien d'origine paysanne attiré depuis sa prime jeunesse par tous les instruments qui passent à sa portée : harmonica, flûte, accordéon, piano. Il écrit ses premières chansons vers l'âge de 12 ans sur l'orgue offert par un oncle. Il découvre la guitare avec l'animateur de colonies d'origine espagnole Fico Gomez. Il crée nombre d'expériences musicales, comme l'association "Autour du Piano d'Or" à Lyon, qui anime chaque jour le parc. Musicien bénévole des lieux de création hors des circuits commerciaux de la culture, il adopte le modèle des carnets de chants avec accords. L'artiste développe un mode particulier d'animation participative : à l'aide de classeurs, il fait chanter petits ou grand les textes de Brassens, Brel, Dassin, le Forestier... Entretenant ainsi une culture longtemps laissée de côté et préparant petit à petit ses propres chansons qui constituent ce recueil. Sa musique a beaucoup participé à révéler la sensibilité de l'artiste, susciter la rencontre et revisiter les amours, soulager les peines, restituer les militances qu'on voit transparaître dans ce gros carnet à l'usage des musiciens, fruit de quatre décennies de travail [1983-2021]. De formation scientifique, enseignant, chercheur indépendant, son activité d'artiste fut un temps mise de côté. Mais la nécessité de rehausser le moral, d'animer toutes sortes d'activités et de combattre l'époque devenue attristante par la montée des périls, Colin lo Trobadaïre réveille par ses chansons la tradition du troubadour.
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