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La société fluide. Une histoire des mobilités sociales (XVIIe-XIXe siècle)

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Le théâtre du XVIIe au XXIe siècle - Programme de français 1ère

Pour la classe de Première en voie générale, le curriculum de français présente quatre domaines d'exploration. Pour l'année académique 2023-2024, le sujet "Le théâtre du XVIIe siècle au XXIe siècle" a été renouvelé.

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La Société des Gens De Lettres (SGDL)

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

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Dossier

Atlas historique mondial : l'histoire de l'humanité vue du 21e sièce

Depuis 40 ans, aucun projet d'atlas historique généraliste n'avait été réalisé. Les Arènes et la revue L'Histoire relèvent ce défi en donnant naissance au premier grand atlas historique mondial, sous la direction de Grantaloup et Patrick Boucheron. A partir de ses 500 cartes inédites, l'l’Association des Professeurs d’Histoire et de Géographie (APHG) et l'éditeur réaliseront conjointement une série de vidéos autour de thématiques spécifiques. 

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Z-Library : histoire d'une chasse à l'offre de livres piratés

Z-Library, également connu sous le nom de "Library Genesis" ou "LibGen", est un site web qui permet de télécharger gratuitement des livres électroniques, des articles scientifiques, des magazines et des journaux. Pas forcément en toute légalité...

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Les sociétés matriarcales : les cultures autochtones dans le monde

Dans cet ouvrage pionnier, fondateur des recherches matriarcales modernes, Heide Goettner-Abendroth définit pour la première fois clairement et scientifiquement le concept de matriarcat, jusque-là décrié et opaque, qui lui permet de revisiter l’histoire culturelle de l’humanité. 

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Dossier

Le livre numérique fête ses 50 ans : un anniversaire, tout en histoire

Certains membres du Projet Gutenberg, célèbre plateforme dédiée à la préservation d'ouvrages du domaine public, ont décidé de sortir les bougies. L'ebook célèbre ses 50 années – né en 1971 ! – qu'il n'a effectivement pas l'air d'avoir. Si le grand public l'a découvert avec les premières liseuses, ActuaLitté, en partenariat avec ces passionnés, retrace une histoire de l'ebook. Un dossier exceptionnel.

Extraits

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Sciences historiques

La société fluide. Une histoire des mobilités sociales (XVIIe-XIXe siècle)

Classes mouvantes, classes inquiétantes, pourrait-on dire. Les mobilités sociales n'ont jamais été véritablement un objet historiographique, celles d'Ancien Régime en particulier, volontiers tenues pour inexistantes. Il est vrai que la société dite d'ordres a longtemps servi de contre-modèle, pour ne pas dire de repoussoir, consacrant, dans les sociétés démocratiques, des dynamiques parfois plus supposées que réelles. " La société d'ordres d'Ancien Régime ne connaît guère les mobilités sociales ", " le capitalisme dynastique français souffre de la rigidité de ses structures ", " le marchand du XVIIIe siècle n'aspire qu'à quitter son état par l'anoblissement de sa lignée ", voilà quelques lieux communs mis à mal par le présent livre. L'approche retenue en fait la particularité : délaissant les catégories traditionnelles posées comme a priori, elle offre une matrice fluide du mode de production empirique des mobilités et des identités bourgeoises, par une analyse méticuleuse de ses univers matériels, de ses réseaux de propriétés et de sociabilités. De la Malmaison à la place Vendôme, du négoce normand à la création de la Banque de France, de la traite négrière à l'argent d'Espagne, le livre épouse la formidable ascension de la dynastie Le Couteulx sur sept générations. Il propose, en définitive, un tableau totalement inédit des mobilités sociales bourgeoises, entre 1600 et 1824.

08/2018

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Sciences historiques

Histoire des universités. XIIe-XXIe siècle

L’histoire des universités permet de mieux comprendre une partie de notre héritage intellectuel et du fonctionnement de nos sociétés, ainsi que la circulation des modèles culturels et des savoirs. Chaque époque a dû résoudre le dilemme renaissant entre préservation du savoir passé et intégration de l’innovation. Aux origines mêmes de l’institution, dès le Moyen Âge, c’est le défi de nouveaux savoirs en même temps que le souci de leur légitimation et de leur utilisation sociale qui ont donné naissance à l’université. À l’époque moderne, elle a dû faire face aux ruptures religieuses, politiques et intellectuelles nés. À partir du XIXe siècle enfin, la multiplicité des modèles nationaux, locaux et internationaux attestent de manière persistante que le projet d’un enseignement supérieur distinct de la stricte transmission d’un savoir figé devait évoluer en rythme avec la société. La comparaison des temps et des lieux permettra au lecteur d’amorcer des réflexions sur le présent incertain des enseignements supérieurs grâce au recul critique fourni par le regard historique.

08/2012

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Sciences historiques

La violence, une histoire sociale. France, XVIe-XVIIIe siècles

Des hommes qui vengent leur père, leur frère ou leur soeur, des maris qui tuent en flagrant délit d'adultère, des pères qui mutilent l'enfant menaçant l'honneur de la famille... À partir des lettres de rémission, une source méconnue, bruissante des affrontements de violence et de sang qui traversent et perturbent les relations interpersonnelles, ce livre porte sur l'homicide vécu au quotidien, du siècle de la Renaissance à celui des Lumières : il en définit les composantes, il en esquisse l'évolution et ambitionne de proposer une explication globale en offrant un modèle de compréhension et d'intelligibilité de la société de l'époque moderne. L'évolution n'a pas été linéaire : la violence s'exacerbe au XVIe siècle, notamment dans le cas du duel, puis décline, jusqu'à atteindre un point bas dès le début du XIXe siècle. A la théorie du procès de civilisation, chère au sociologue Norbert Elias, maints aspects des affrontements du siècle de la Renaissance et des guerres de Religion ne se conforment pas. Aussi, la première originalité de cet ouvrage est-elle d'emprunter son paradigme explicatif à Emile Durkheim : la violence diminue parce que déclinent les causes qui y portent, c'est-à-dire l'attachement à des groupes, et d'abord aux groupes de parenté, ainsi qu'aux communautés confessionnelles au temps de la déchirure religieuse et des " guerriers de Dieu ". Ce livre permet de comprendre le poids des devoirs issus des liens du sang, encore très forts au XVIe siècle : à la fois une solidarité impérieuse et une obligation intransigeante de défense de son honneur, un honneur conçu comme collectif et absolu. L'attention accordée aux femmes est toujours très forte : épouses, soeurs et filles occupent, au coeur de ces conflits de violence, une position centrale. Une autre originalité de l'ouvrage est de calculer des taux d'homicide : taux très élevés dans le cas du duel, puis déjà bas dans la société rurale du XVIIIe siècle. Il montre enfin l'affaiblissement des liens de parenté, corrélé au resserrement du lien conjugal, ainsi que la relativisation et l'individualisation de l'honneur, portées par le désir de plus en plus impérieux d'un épanouissement individuel. L'aspiration au bonheur serait-elle le meilleur remède à la violence ?

02/2011

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Histoire ancienne

Byzance. Economie et société (VIIe-XIIe siècle)

L'histoire byzantine du milieu du VIIIe siècle à 1204 connaît de profondes transformations rendues nécessaires par la pression militaire qui s'est exercée quasiment sans répit sur l'empire. C'est à peine si l'on compte 25 années de paix pendant ces quatre siècles ! Pour assurer son salut l'empire a mobilisé toutes ses forces autour du seul signe capable de réunir les chrétiens, le signe de la Croix " victorieuse et vivifiante ". C'est l'iconoclasme (717-843) qui libère l'empire de la pression musulmane. Pour soutenir l'effort de guerre, pallier la perte des provinces méridionales d'Égypte et de Syrie, l'empire se réorganise à l'intérieur grâce à une population nombreuse en voie de christianisation et d'assimilation, les Slaves. Il en résulte une mise en valeur des terres sous une double poussée : celle des petits paysans libres que l'état s'efforce de maintenir au moins jusqu'au Xe siècle inclus et de la grande propriété nobiliaire et d'église engagée dans une agriculture de rapport dont la croissance est inéluctable à partir de la fin du XIe siècle. La vie des individus ne peut qu'en être transformée. Les règles du mariage se précisent; les droits des femmes et des enfants s'explicitent. Tout au long de cette période Byzance nous montre l'image d'un empire qui loin de s'enfermer dans un héritage du passé est capable de se transformer et de répondre aux conditions de son temps.

04/2007

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Histoire littéraire

Histoire des orientalistes de l'Europe, XIIe-XIXe siècle

Histoire des orientalistes de l'Europe, du XIIe au XIXe siècle / par Gustave Dugat,... Date de l'édition originale : 1868-1870 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2023

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Histoire de France

La société des princes. XVIe-XVIIIe siècle

Dans les royaumes des Temps modernes, la vie d'un prince était affaire d'Etat, et l'on en suivait avec passion les étapes, de sa petite enfance à ses funérailles. Son destin était inséparable de celui des autres monarques, souvent ses parents. Les souverains constituaient ainsi une société fermée au sein de la chrétienté et entretenaient des relations cruciales : François Ier et Henri VIII rivalisèrent de faste au Camp du drap d'or ; Louis XIV rencontra son beau-père, le roi d'Espagne, sur l'île des Faisans ; l'empereur Joseph II voyagea incognito pour conseiller Marie-Antoinette et Louis XVI. Dans ce cercle des têtes couronnées, les rapports personnels définissaient les relations internationales, car ils signifiaient la guerre lorsque les monarques profitaient des crises de succession pour renforcer leur puissance, mais ils étaient également synonymes de paix lorsque les mariages princiers favorisaient les réconciliations. Rassemblant de multiples témoignages sur les grandes dynasties, ce livre offre un tableau coloré de cette société européenne des souverains, dans laquelle l'émulation, les rivalités et les conflits n'excluaient pas des liens solides et où les femmes tenaient un rôle essentiel, puisqu'elles assuraient la continuité d'une maison et l'avenir de la monarchie. Il dévoile en particulier les règles et les lois secrètes de ce monde à part. Au fil du temps, l'humilité du prince chrétien laissa la place à une savante mise en scène de la majesté royale, puis les princes des Lumières cherchèrent à s'affranchir du carcan du cérémonial et à se rapprocher de leurs sujets.

10/1999

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