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Lady

Extraits

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12 ans et +

Lady

Sandra est une adolescente vraiment dévergondée : sentiments excessifs, désirs impulsifs, préoccupations pas toujours avouables... D'ailleurs, depuis quelque temps, elle fait n'importe quoi : garçons, nuits blanches, vodka... à volonté et sans modération ! Un jour, au cours d'une dispute avec un clochard, Sandra se retrouve brusquement transformée... en chienne ! Celle que l'on appelle désormais Lady découvre sa nouvelle condition : se nourrir, dormir, s'amuser et se faire plaisir... Une vie qui fonctionne à l'instinct... Une vie de chienne ! Un roman percutant, drôle, original, qui ne manquera pas de choquer, de créer un réel débat, mais ne laissera pas indifférent. Cette fois encore, Melvin Burgess surprend !

05/2002

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Littérature française

Lady

Les Editions Gallimard ont proposé à cinq auteurs français et trois auteurs américains d'écrire librement une nouvelle autour du sac comme objet littéraire. Centré sur le sac Lady Dior, objet de mode devenu icône, chaque texte offre au lecteur une vision singulière où les mots jouent habilement avec cet objet de désir. Cécile Guilbert offre une drolatique et brillante petite phénoménologie du Lady Dior. Adam Gopnik décrit l'obsession de sa femme américaine pour un objet qui symbolise le luxe français. Camille Laurens invente une tendre histoire d'amour dont le sac se révèle être le magicien. Alexander Maksik dresse un somptueux portrait de Paris. Anthony Marra propose une fable sociale autour de la possession d'un objet de rêve. Eric Reinhardt retrace la fabrication d'une commande spéciale dans les usines de Florence. Colombe Schneck a trouvé au Lady Dior une étrange fonction, un abri pour un homme qui ne sait pas encore aimer. Nelly Kaprièlian ose décrire les femmes de mode en vampires aristocrates.

02/2017

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Histoire internationale

Lady died

Si des fantômes hantent toujours la place de l'Alma, c'est peut-être parce que des secrets enfouis dans la mémoire des vivants peinent encore à trouver le chemin de la lumière. Neuf ans après le très médiatique crash de l'Alma, n'est-il pas temps d'en finir avec l'affrontement stérile : " théorie de l'accident " contre " théorie du complot " ? Et de traiter sérieusement une affaire réduite dès la première heure à la rubrique people et au fait divers ? Si le rôle de l'institution judiciaire est de rétablir l'ordre public, cette mission semble avoir été parfaitement remplie par la France après la mort spectaculaire de la princesse Diana à Paris dans la nuit du 30 au 31 août 1997 : un " banal " accident de la route. Mais la vérité sur cette mort embarrassante demeure fuyante, et les événements qui l'ont précédée, occultés par le glamour, sont restés ignorés du public tenu trop souvent à l'écart des affaires du monde et du monde des affaires. Les sujets de Sa Très Gracieuse Majesté Élisabeth II, toujours perplexes depuis la clôture de l'instruction française, ont obtenu de haute lutte que soit ouverte une enquête criminelle inédite. C'était le 6 janvier 2004, soit six ans et demi après les faits. Devant la complexité tentaculaire du dossier, la police britannique n'a toujours pas rendu ses conclusions. En effet, ni la course-poursuite avec des paparazzi pas plus qu'un excès de vitesse n'ont été retenus. De plus, l'ombre épaisse du doute plane sur les expertises médico-légales. Alors seulement on a commencé à se souvenir que Diana, bête noire de l'establishment anglais, n'était pas seule à avoir trouvé la mort dans cet étrange accident... Outre le décès instantané du chauffeur occasionnel, Henri Paul, la disparition d'Emad Fayed, dit Dodi, le compagnon de la princesse, a endeuillé la famille Fayed. Son père, Mohamed, richissime homme d'affaires égyptien, s'était lui aussi mis à dos une bonne partie de ce que la bonne société londonienne compte de nantis et de businessmen depuis sa réussite spectaculaire et sa mainmise sur les magasins Harrods, fournisseurs de la Couronne. C'est vers les sphères opaques des groupes d'influence du luxe et du pouvoir que s'oriente la présente enquête. Elle propose un éclairage inédit sur la mort de Diana, princesse de Galles, et de Dodi al-Fayed en orientant les recherches vers cet " autre monde " dans lequel évoluaient les amants tragiques.

08/2006

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Poésie

Lady One

Eloge de l'amour et de la femme aimée, Lady One (anagramme de Yolande), la poésie de Breyten Breytenbach lie lé désir amoureux et la dureté des hommes à une nature envisagée de manière visionnaire. Héritier des surréalistes, peintre autant que poète, Breytenbach mêle ses expériences personnelles en Afrique du Sud et son engagement politique, non dénué d'amertume et d'ironie. Ses images, sensuelles ou terrifiantes, sont celles d'un univers marqué par la violence, la douleur de l'emprisonnement et l'exaltation de la beauté du monde.

03/2004

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Littérature française (poches)

LADY L.

Elle courut vers le coffre-fort, tourna la clef dans la serrure et tira la lourde porte bordée de cuivre... Elle regarda à l'intérieur, poussa un soupir de soulagement : il y avait juste assez de place, juste assez... - Cache-toi là, vite ! Je vais les éloigner... Mais dépêche-toi donc, voyons ! Il obéit sans se presser, sans doute par souci du style, tenant toujours la rose dans une main et le pistolet dans l'autre. Elle saisit la sacoche avec les bijoux et la jeta à ses pieds... Elle lui fit un petit signe de la main, referma doucement la porte et tourna trois fois la clef dans la serrure.

03/2014

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Sciences politiques

Lady Scarface

Chicago. Début des années folles. Le Syndicat du crime n'est pas qu'une affaire d'hommes, il se conjugue aussi au féminin. Elles sont fugueuses, frondeuses, parfois meurtrières, mais toujours rebelles. Elles s'appellent Mary Josephine Capone alias Mae, Ada et Minna Everleigh, les Impératrices du vice, Margaret Collins, la Fille au baiser mortel, Louise Rolfe, l'Alibi blond, Bonnie Parker, la Juliette au revolver, ou encore Virginia Hill, le Flamant rose : elles sont les compagnes d'infortune comme de gloire d'Al Capone, Clyde Barrow ou Bugsy Siegel, barons noirs des années de plomb qui ont fait trembler l'Amérique. Traquées par le légendaire patron du FBI John Edgar Hoover, muses de la prohibition et de ses fêtes décadentes, elles n'ont rien à envier aux gangsters, l'intelligence et les talons hauts en prime. Le crime ne paie peut-être pas, mais il séduit toujours. A partir d'archives déclassifiées du FBI et d'Alcatraz, de journaux de l'époque, d'entretiens avec des descendants et de documents inédits, Diane Ducret dévoile avec le talent qu'on lui connaît l'intimité de celles qui ont choisi d'être des Lady Scarface, à la vie à la mort…

04/2016

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