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Le Juif

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Dossier

En juin, la bande dessinée donne Rendez-vous à Amiens

« Soleil de juin luit de grand matin », comme chacun le sait : voilà qui tombe à pic, tout le mois de juin sera consacré, week-end après week-end, au 9e Art. La ville d'Amiens accueille ses traditionnels Rendez-vous de la BD, mais celle-ci prend ses quartiers, bien plus que d'ordinaire. 

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Dossier

Les Imaginales 2023 : Le futur de la cité

Depuis sa création en 2002, le festival des Imaginales a su s'imposer comme l'un des rendez-vous majeurs des Littératures de l'imaginaire. Des milliers de passionnés se rassembleront à Épinal, du 25 au 28 mai prochain, pour découvrir les derniers ouvrages de science-fiction, fantasy, horreur... 

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Dossier

Stan Lee, la géniale incarnation de la maison Marvel

Né en 1922, Stanley Martin Lieber, alias Stan Lee, avait en tête, dès son plus jeune âge, l'écriture d'un « grand roman américain » : sa carrière en tant qu'auteur et éditeur lui aura permis de participer à la construction d'un véritable empire du divertissement, Marvel Comics.

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Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

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Dossier

La librairie et le Label Lir : les raisons de la colère

Une étude réalisée conjointement par le ministère de la Culture et de la Communication, le Syndicat de la librairie française et le Syndicat national de l’édition, le rapport de la mission « Livre 2010 » et celui d’Antoine Gallimard, remis au cours de l’année 2007, ont souligné la fragilité de la situation économique des librairies indépendantes et préconisé de faire du maintien et du développement de ces entreprises une des priorités de la politique du livre. 

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Dossier

Le Prix Goncourt de la biographie

Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.

Extraits

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Littérature portugaise

Le Juif

Dans une prose incisive, pittoresque, parfois fébrile et tourmentée, l'immense écrivain Camilo Castelo Branco relate une saga familiale sur quatre générations lors des temps sombres de l'Inquisition. Le dramaturge António José da Silva, dit Le Juif, tient le rôle principal. Condamné au bûcher en 1739, son histoire bien que tragique offre au génie camilien tous les éléments nécessaires pour un roman hors du commun. Histoires d'amour, joies et désillusions rythment la vie des personnages. Réalité et fiction sont si étroitement et si habilement mêlées que les dissocier n'est pas affaire aisée ; mieux vaut se laisser conduire par l'auteur dans ce tourbillon romanesque. Outre António José da Silva, plusieurs personnages réels ou fictifs tiennent un rôle important, parfois maléfique. Mentionnons également un être de qui la longue existence semée d'embûches et de disgrâces a fasciné Camilo : le Chevalier d'Oliveira. Quant à l'Inquisition, cette puissance effrayante et sinistre, agissant parfois à découvert mais plus souvent dans l'ombre, elle est une créature essentielle au roman. L'auteur lui-même ne se laisse pas oublier et intervient à diverses reprises : il informe, argumente, ironise, vitupère, médite. Et il prend soin d'extraire "la substantifique moelle" des faits relatés.

04/2022

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Histoire internationale

Les Juifs, le Monde et l'Argent. Histoire économique du peuple juif

" Voici l'histoire des rapports du peuple juif avec le monde et l'argent. Je sais ce que ce sujet a de sulfureux. Il a déclenché tant de polémiques, entraîné tant de massacres qu'il est devenu comme un tabou à n'évoquer sous aucun prétexte, de peur de réveiller quelque catastrophe immémoriale. Aujourd'hui, plus personne n'ose écrire sur ce sujet ; comme si des siècles d'études n'avaient servi qu'à nourrir des autodafés. En décidant de raconter cette histoire, on pourrait laisser croire qu'il existe un peuple juif uni, riche et puissant, placé sous un commandement centralisé, en charge de mettre en oeuvre une stratégie de pouvoir mondial par l'argent. On rejoindrait par là des fantasmes qui ont traversé tous les siècles, de Trajan à Constantin, de Matthieu à Luther, de Marlowe à Voltaire, des Protocoles des Sages de Sion à Mein Kampf, jusqu'à tout ce que charrie aujourd'hui anonymement l'internet. Pourtant, il est d'une importance capitale, pour les hommes d'aujourd'hui, de comprendre comment l'inventeur du monothéisme s'est trouvé en situation de fonder l'éthique du capitalisme, avant d'en devenir, par certains de ses fils, le premier banquier, et par d'autres, le plus implacable de ses ennemis. Il est aussi essentiel pour le peuple juif lui-même d'affronter cette partie de son histoire qu'il n'aime pas et dont, pourtant, il aurait tout lieu d'être fier.

11/2003

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Romans historiques

Le Juif de la Révolution

1769 : Adam Scheffer n'a pas un an lorsque, dans les bras de son père, il fuit l'Ukraine afin d'échapper à la misère et aux massacres. Commence alors à Metz, pour ce petit Juif du schtetl, une épopée de légende qui le conduira jusqu'aux armées napoléoniennes où il deviendra général. Emporté par le tumulte du monde, jamais oublieux de ses traditions, Adam, citoyen français, sera de tous les combats : l'émancipation des Juifs grâce à la rédaction des cahiers de doléances, l'abolition des privilèges, la liberté pour chacun. Il livrera toutes les batailles de la patrie en danger : Valmy, Jemmapes, prise de la Bastille, et participera aux réformes, épousant ainsi les grandes causes de son temps. Proche des humbles et des puissants - l'abbé Grégoire, Zalkind Hourswitz, Beaumarchais, Danton, Dumouriez et tant d'autres -, c'est vers la flamboyante artiste Léa Baum que son cœur le mènera, déchiré entre le devoir à Versailles et sa bien-aimée à Paris, reine de la Comédie-Française. Mais le théâtre et le service de la nation tiendront les amants séparés... Porté par un étonnant souffle épique, alliant la précision de l'historien à la verve du conteur, Daniel Goldenberg retrace ici le destin d'un homme d'exception. Un superbe récit d'aventures et d'amour qui ressuscite à merveille les turbulences de la Révolution de 1789.

01/2009

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Philosophie

Le Juif de savoir

" Entre le nom juif et le savoir, on a longtemps supposé que se nouait une relation privilégiée. Sous sa forme moderne, cette croyance est apparue au XIXe siècle, dans le monde de la langue allemande ; elle a duré jusqu'à la moitié du XXe siècle. Durant cette période naît la figure du juif de savoir, qui suscita l'admiration, puis la haine, jusqu'à se fracasser sur le réel de l'extermination. De Cassirer à Leo Strauss, de Hannah Arendt à Scholem, la figure du juif de savoir fascine et repousse encore de nos jours. Quelque chose de grave s'y joue quant au nom juif ; quelque chose de grave s'y joue aussi quant au savoir. Pour le juif de savoir en effet, ce n'est pas n'importe quel savoir qui le requiert, mais bien le savoir moderne, tel que Michel Foucault l'a disposé. Au croisement de Hannah Arendt et de Foucault, l'examen du Juif de savoir amène à rouvrir quelques chemins oubliés dans les espaces de la culture européenne. Destins individuels, tragédies des langues, fin du savoir moderne, vacillations du nom juif, le parcours traverse de sombres régions. On y suivra la grandeur et la disparition du Juif de savoir. On finira par s'interroger : qu'est-il advenu grâce à lui ? Qu'a-t-on perdu avec lui ? Qu'adviendra-t-il après lui ? La réponse ne se fait pas attendre. Ce qui est advenu par le Juif de savoir, ce qui advient et adviendra sans lui, c'est, encore et toujours, la rencontre, inlassablement recommencée et inlassablement ratée, du nom juif et de l'Europe. "

10/2006

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Histoire internationale

"Je le connais, c'est un Juif !". Varsovie 1939-1943. Le chantage contre les Juifs

" Un jour, à Bielany, j'ai rencontré dans le tram un camarade de classe d'avant-guerre. Il m'a attrapé par le bras et s'est écrié :"Je le connais, c'est un Juif !"J'ai frappé sur sa main pour lui faire lâcher prise et je suis descendu du tram. C'est vraiment dramatique car, pendant l'Occupation, [...] quand je sortais dans la rue, je craignais plus de rencontrer un szmalcownik polonais qu'un Allemand. " Entre 1939 et la destruction planifiée du ghetto de Varsovie en mai 1943, toute une population de maîtres chanteurs, de délateurs, d'escrocs et d'antisémites patentés ont pris pour nouvelle activité professionnelle la traque des Juifs qui s'aventuraient hors de la " zone d'épidémie " (1939-novembre 1940) puis après novembre 1940 hors du ghetto. Les fugitifs étaient remis à la Gestapo contre récompense. Mais, le plus souvent, ils faisaient l'objet d'un chantage qui les contraignait à payer le silence de leurs délateurs, et ce jusqu'à épuisement de leurs ressources. C'est cette humanité-là, ces szmalcownicy, que l'ouvrage de Grabowski, qui s'appuie en grande partie sur les lettres de dénonciation, donne à voir. Grabowski est témoin de l'émergence en Pologne d'une nouvelle génération d'historiens polonais prêts à mettre en lumière tous les aspects, y compris les plus sordides, des longues et complexes relations judéo-polonaises, avant et pendant la Shoah.

03/2008

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Littérature française

Le juif errant

Eugène Sue (1804-1857) fut le romancier le plus lu de tout le XIXe siècle. Cet ancien chirurgien de la Marine, un peu artiste peintre, a connu un immense public. Il fut, avec Alexandre Dumas, le maître du roman populaire, le virtuose du récit découpé en tranches quotidiennes laissant chaque fois les héros face à un mystère ou à un péril... éclairés ou conjurés le lendemain ! Ce procédé ne suffit pas à expliquer les prodigieux succès des Mystères de Paris (1842-1843) et du Juif errant (1844-1845). Ces deux romans avaient le mérite d'une inspiration nouvelle : l'exploration des bas-fonds de la société. Ils introduisaient dans l'espace littéraire une foule de personnages (ouvriers et déshérités) ou de marginaux (vrais et faux mendiants, assassins, chiffonniers) que le roman bourgeois avait jusqu'ici dédaignés. Manipulant l'horreur, le mystère, la douleur, ils étalaient, à travers mille intrigues et complots, les souffrances du peuple et les sublimaient par le triomphe du bien, apportant ainsi à leurs modestes lecteurs le sentiment d'une justice sécurisante. De tous les romans de Sue (Les Mystères du peuple, Martin l'enfant trouvé, Les Sept Péchés capitaux), le seul à surpasser Les Mystères de Paris est Le Juif errant ; aux qualités du précédent, ce dernier ajoute l'intervention du surnaturel et du fantastique, représentés par le vagabond légendaire qui donne son nom au livre. Précédé par le choléra, qui inspire à Sue des pages dignes d'Edgar Poe, le Juif légendaire revient d'au-delà des mers et d'au-delà des siècles pour empêcher la Compagnie de Jésus de s'emparer d'une fabuleuse fortune en éliminant un par un ses héritiers.

04/2010

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