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Le Socle, le jus qui réjouit

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Dossier

Robots, extraterrestres, IA, humains... qui aura le dernier mot ?

Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout ! 

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Dossier

Points Classique : La collection poche qui donne envie de (re)lire vos classiques

Découverts au lycée, les classiques de la littérature ont toujours été parmi nous : si nous les avons aimés, nous ne pouvons nous en passer. Si nous les avons détestés, il serait temps de leur donner une nouvelle chance. Et pour cela, les éditions Points ont décidé de redéfinir et de réinventer l'accès à ces classiques littéraires...

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L’Intention, le podcast qui plonge au cœur des livres

Hachette Livre présente L'Intention, une nouvelle série de podcasts dans laquelle les écrivains révèlent les sources d'inspiration et les démarches créatives à l'origine de leur dernier ouvrage.

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Redécouvrir Colette, à travers les femmes qui l'ont lue

Ce 28 janvier, Colette aurait eu 150 ans. Et depuis quarante années, les éditions des femmes - Antoinette Fouque mettent à l'honneur les écrits de Colette à travers leur collection de livres audio, La Bibliothèque des Voix. L'occasion de retrouver les femmes qui, au fil du temps, ont prêté leur voix pour que vivent les textes de l'autrice.

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La SCELF face à la lecture publique : la redevance qui indigne

La lecture à haute voix de livres, en totalité ou sous forme d‘extraits, est considérée comme une “représentation”, et tombe de facto sous le coup du “droit de représentation”. Jusque-là, ce droit était géré par une société d‘auteurs, la SACD, mais depuis le 1er janvier 2016, et sans que grand monde en ait été informé, la gestion du droit de lecture est passée dans l'escarcelle de la SCELF, une société d'éditeurs.

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Dossier

Kobo : toute une bibliothèque qui tient dans la main

Fondée en 2009 à Toronto, Kobo s'est rapidement imposée comme une figure emblématique dans le monde des liseuses. Bien que le marché des e-readers soit dominé par quelques géants, Kobo a su trouver sa place grâce à une combinaison gagnante d'innovation, de qualité et d'ouverture.

Extraits

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Poésie

Le Socle, le jus qui réjouit

Le présent recueil " Le Socle, le jus qui réjouit " sort en juin 2021 en plein COVID-19 qui débuta en décembre 2019 en Chine et se propagea au cours de 2020. Par conséquent, le poète appelle les humains à faire face et vaincre l'adversité pour posséder leurs biens. Vers la fin du recueil, le poète écrit : " COVID-19 refuse et Koffi refuse " pour dire que malgré les barricades de toutes les voies aériennes, terrestres, charnelles comme spirituelles, l'homme cherche toujours ses pistes de sortie de la crise. COVID-19 représente le visage diabolique de nos dirigeants tyrans et mercenaires. Ainsi, la maitrise et la clé des mois formant une année est primordiale. Etant donné que l'homme vit le mois dans le mois, il est soumis aux vents du mois qu'il se doit de vaincre de par sa résistance pour apparaître comme un géant quel qu'en soient sa taille et sa forme. Aussi aborde-t-il, Komi de l'Amour sans lequel le monde prend feu. " Tu prends soins de mes besoins, ma Merveille Bo. " Tous les jus ne réjouissent pas toute personne. Komi est un jus qui réjouit tout coeur qui dit oui à la liberté et toutes les brebis esclaves mais est très amer à boire par la race exploitante et le collectif des saboteurs. Si c'est grave, la grève s'avère le vrai guide jusqu'à ce que les verres vides se remplissent du nécessaire vital mais rester bouche bée c'est rester coucher sur sa couche voyant sa chambre atteinte de feu, car à un certain âge, être certain des arguments incertains tord et tond l'intestin pour sa mort. Le poète appelle toutes et tous à se réveiller afin de briller. Allons bien lire ces précieux vers et strophes pour rendre notre existence paradisiaque. Terres esclaves, réjouissez-vous !

10/2021

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Poésie

Le Socle, reviens après tout !

Le recueil de poèmes : "Le Socle, reviens après tout ! " est une somme des trois précédents : "Le Socle, un plus un font-ils deux ? " , "Le Socle, La clé de base d'une vie de miel" et " Le Socle, comment laves-tu tes caleçons ? " . Il s'est félicité de la journée festive du manuscrit édition 2020 avant de revenir en interpellant le monde humain à une vie de sérénité, seul canal pour parvenir à une vie meilleure même dans un pays où la souffrance est de taille. Toute personne doit lutter et compter sur ses propres bénéfices, car le bien de ton frère n'est pas ta propriété. Dans le monde scolaire ou estudiantin comme dans le monde social, le monde vise un seul objectif : Le succès qui se traduit par le gain d'argent pour une autonomie financière. Alors tout individu doit savoir que le gain facile n'est pas facile et toute personne est invitée à faire de son mieux pour faire épanouir son âme et s'éloigner des alibis qui se forgent et tordent le cou. la réussite étant le but de toute créature, chacun doit savoir que la fin d'une lutte est le début d'une autre jusqu'à la fin de nos jours terrestres et même dans l'au-delà une autre marche commence. Mettons en valeur notre corps pour une vie digne et noble comme le peintre embellit une vieille maison et un hôtel de classe exceptionnelle.

10/2020

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Littérature française

Lénine déboulonné... le socle reste !

1985 - Claudie Pangaud, paisible habitante du Béarn, déménage en Bachkirie, alors république autonome soviétique, où son mari supervise le démarrage d'une usine. Elle nous raconte son quotidien émaillé de tracasseries diverses voire d'arrangements avec la vérité... A Oufa, au pied de l'Oural, les coutumes et les idées reçues ont la peau dure. Chronique d'un séjour aux accents difficiles.

12/2022

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Littérature française

Se réjouir de la fin

On sait peu de choses de l'homme qui écrit ces lignes, qui évoque son histoire, ses rencontres, ses joies et la satisfaction qu'il ressent à voir sa vie se terminer. Ou plutôt, on sait ceci, annoncé d'emblée : " Ce texte a été découvert dans les affaires personnelles d'un résident de la maison de retraite. Il l'aurait rédigé entre son entrée et le 22 janvier 2019, date de son décès " . Depuis le lieu qu'il habite désormais, il voue ses heures à une puissante contemplation des beautés et des douceurs qui l'entourent. Il débusque les instants de bonheur dans les détails le plus futiles, se réjouit de dessiner comme un enfant, de ne plus avoir à changer d'avis, de recevoir du courrier, de faire le sourd, d'être au bout de ses peines ou de garder des secrets... Chaque court chapitre est l'occasion d'un effarement, d'une allégresse ou d'une douce mélancolie. Un roman délicat et tendre, qui est aussi une méditation sur la vie, le temps, la nature.

02/2020

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Poésie

Le Socle, la danse au son de la cadence

Bienvenue à toi, Le Socle, la danse au son de la cadence dans cet univers perpétré çà et là par des persécutions des persécuteurs. L'écrit qu'il véhicule est l'image du vent qui souffle contre les ventres. En effet, le vent des vautours et vampires contre le quotidien humain génère la guerre. Mais jamais mourir sans nous enrichir. Voilà pourquoi les cris de mes écrits sont sévères : Mes écrits sont des prières contre les pierres des pères du monde contre nos têtes. Ils font tout mais ne font rien. Nous sommes des fourmis dans le camp des lions. L'auteur a honoré le Malin malien, Son Excellence Assimi Goïta qui, au finish, a dégagé le caillou dans le haricot pour des mets appétissants et prie pour des Assimi Goïta dans tout différent coin pour le bon soin aux différends. La vie chère de ce siècle, la chaleur au dos sans voir les os sur les corps, la course à pieds nus au soleil de midi dans ce désert sans dessert, l'Amour sont les miroirs de ce livre Chaque couche se doit pour devoir à son droit pour ne plus être sous des cartouches. C'est au son du tam-tam qu'on marque les pas pour des cadences de bonnes performances. Ecrivain que je suis, je dois être un Jésus pour que les cris de mes écrits donnent du sourire et du rire aux asservis et retentir de tirs contre les complices du pire.

08/2022

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Critique littéraire

Ce que je fus

Ecrivain roumain d'expression française, Panaït Istrati est né le 10 août 1884 à Braïla, important port céréalier dans le delta du Danube. Enfant des fleurs, Istrati ne connaît pas son père, un Céphalonite, contrebandier de tabac qui mourut alors que Panaït n'avait que neuf mois... Le certificat d'études en poche, l'adolescent quitte sa mère Joïtza, blanchisseuse d'origine paysanne, mère admirable qui voua sa vie à un fils insaisissable qui multiplie les apprentissages, exerce cent métiers puis débarque à Alexandrie, parcourt tout le Bassin méditerranéen, fasciné par l'Orient... Avide de connaître la terre - ses hommes et ses femmes - passionné de lectures, c'est en Suisse que ce vagabond autodidacte découvre les œuvres de nos Classiques et le Jean-Christophe de Romain Rolland grâce à un écrivain juif, Josué Jéhouda qu'il rencontre au sanatorium de Sylvana-sur-Lausanne où il soignait une tuberculose qui ne devait plus jamais le quitter... C'est grâce à Rolland que le destin de Panaït Istrati bascula. C'est lui qui discernera à travers la longue lettre - dernières paroles - que lui adresse Istrati en janvier 1921, la veille de sa tentative de suicide à Nice, ainsi que dans les manuscrits qui suivront, ce tumulte du génie qui habitait le vagabond déraciné... Romain Rolland exhortera Istrati à écrire pressentant chez cet oriental passionné la puissance créatrice et la violence du cœur... Une prédiction vite confirmée. En 1924, Kyra Kyralina paraît : " Il faut que je vous le dise tout de suite ! c'est formidable ! Il n'y a rien dans la littérature actuelle qui soit de cette trempe ". Kyra sera traduit en une vingtaine de langues dans le monde entier... Les œuvres se succèdent : Oncle Anghel, Mikhaïl, Codine, Présentation des Haïdoucs, Mes départs, Méditerranée, Les chardons du Baragan... Istrati a alors quarante ans. Utilisant sa nouvelle notoriété, le nouveau Gorki des Balkans, comme le nomme Romain Rolland, poursuit inlassablement son combat pour les droits de l'homme il dénonce la terreur blanche dans les Balkans, se dresse contre la condamnation à mort des anarchistes Sacco et Vanzetti, enquête et participe au procès des mineurs de Lupéni en Roumanie qu'il défend avec passion. " Qu'il me soit permis de me compter moi aussi parmi les combattants de la justice, écrit Istrati en 1925... mes camarades me demandent d'être homme avant d'être écrivain... J'adresse ma parole de lutte et d'émotion artistique à tous les peuples qui gémissent sous le joug de l'oppression internationale... Voilà ce que je vais écrire. Voilà pour qui j'écris ". Déçu par le matérialisme de l'Occident qui rend l'homme égoïste, Panaït Istrati part pour Moscou où il est officiellement invité aux fêtes célébrant le dixième anniversaire de la Révolution d'Octobre. Enthousiaste, il espère découvrir un " homme nouveau ". Il rencontre Nikos Kazantzaki avec qui il décide, au terme du voyage officiel, de poursuivre seul et à ses frais, son périple à travers toute l'URSS. Ce seront seize mois de rencontres étonnantes, de discussions passionnantes, de révélations pénibles. De désillusions... L'enthousiasme s'est brisé, c'est la révolte. En 1929, malgré les mises en garde de R. Rolland, paraît Vers l'autre flamme, Après seize mois dans l'URSS, Confession pour vaincus. Témoignage accablant sur l'Occident et le bolchevisme. Témoignage qui suscitera réactions passionnelles, attaques ignobles à l'encontre de Panaït Istrati qui dès lors se retrouvera seul - jusqu'à sa mort - seul, mais toujours solidaire des vaincus. Panaït Istrati opposant éternel s'affirme désormais homme qui n'adhère à rien. " Toi, homme nu, homme qui n'as que tes pauvres bras ou ta pauvre tête, refuse-toi à tout, à tout. Refuse de crever pour qui que ce soit. Croise les bras ! Dis à ces messieurs, d'aller eux se faire tuer, pour toutes ces patries qu'ils inventent chaque siècle. Et si l'envie te prend de crever quand même pour quelqu'un ou quelque chose, crève-toi pour une putain, pour un chien d'ami ou pour ta paresse. Vive l'homme qui n'adhère à rien ! " Panait Istrati meurt à Bucarest le 16 avril 1935. Essentiellement autobiographique, puissamment enracinée dans le peuple et la terre roumaine, l'œuvre de Panaït Istrati fascine le lecteur. Par-delà la vie quotidienne des personnages qui l'habitent, par-delà les passions et les souffrances des héros qui la traversent, des thèmes universels émergent de l'œuvre istratienne qui incitent à la réflexion et à la remise en cause des valeurs culturelles dominantes de notre Occident civilisé et... libéral... Amers et décapants, les quatre textes ici rassemblés renvoient - par leur actualité incandescente - les artistes à l'essence de l'art, les politiques à l'exigence de l'éthique, l'homme... au miroir de la dignité. C.G.

01/1991

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