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Littérature française

Oeuvres d'Adolphe Lèbre

Oeuvres d'Adolphe Lèbre / recueillies et publiées par M. Marc Debrit ; avec une notice biographique de M. Juste Olivier ; et une lettre-préface de M. Ernest Naville Date de l'édition originale : 1856 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2021

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Littérature française

Boléro

Boléro. Dans l'euphorie du début des années soixante et sur fond de guerre d'Algérie finissante, une gamine, Emma, découvre le cinéma, l'amour fou, la réalité du monde et la mort. La musique entêtante du Boléro de Ravel rythme les deux étés à la campagne pendant lesquels Gary Cooper et Marilyn, plus vrais que la vraie vie, le disputent à Fred et Paul, ses Jules et Jim, sous la bienveillante protection de Gisèle, leur initiatrice et leur mentor. Bien des années plus tard, alors qu'Emma est solitaire et perpétuellement en quête d'un emploi, le passé resurgit, évoqué une fois encore par la musique du Boléro qui ravive les blessures de la guerre d'Algérie. Avec ce portrait tout en nuances d'une adolescente qui s'ouvre à la conscience du monde, et de la femme qu'elle est devenue, Michèle Lesbre, comme dans ses précédents romans, porte un regard subtil sur une vie en apparence ordinaire, une de ces trajectoires singulières qui ancrent l'écriture dans le réel.

01/2003

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Lecture 6-9 ans

J'apprends à lire avec Sami et Julie : Plouf ! Fin de CP, niveau 3

Première séance de piscine pour les CP : Léa a peur, Tom est confiant et Sami n'a qu'une hâte : sauter à l'eau !

03/2017

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Littérature française

Ecoute la pluie

« Puis le ronflement sourd de la rame qui s’approchait à grande vitesse a provoqué un frémissement parmi les rares voyageurs. Le vieil homme s’est tourné vers moi avec toujours ce sourire limpide, j’ai cru qu’il allait me demander quelque chose, mais il a sauté sur les rails comme un enfant qui enjambe un buisson, avec la même légèreté. » Avant que le vieil homme ne se jette sur la voie en lui adressant son dernier sourire, la narratrice partait rejoindre l’homme qu’elle aime à l’hôtel des Embruns. Le choc a fait tout basculer. Plutôt que d’aller à la gare, elle s’enfonce dans les rues de Paris pour une longue errance nocturne sous l’orage. Revenue chez elle au petit matin, toujours incapable d’expliquer à son amant pourquoi elle n’était pas au rendez-vous, elle murmure à son intention le récit de sa nuit blanche. Lui, le photographe pour qui les mots ne sont jamais à la hauteur, sera-t-il capable de comprendre l’énigmatique message qu’elle finit par lui laisser : « Écoute la pluie » ? Avec ce roman dense et bouleversant, Michèle Lesbre poursuit une œuvre lumineuse qu’éclaire le sentiment du désir et de l’urgence de vivre. Ce douzième livre a été inspiré à Michèle Lesbre par le « petit monsieur de la station Gambetta » à qui est dédié Le Canapé rouge (Sabine Wespieser éditeur, 2007). En même temps que ce nouveau roman, reparaît un récit publié pour la première fois en 2001, hommage à un autre disparu, Victor Dojlida, une vie dans l’ombre. L’essentiel de l’œuvre de Michèle Lesbre, qui vit à Paris, est réuni dans le catalogue de Sabine Wespieser éditeur.

02/2013

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Littérature française

Victor Dojlida, une vie dans l'ombre

« Victor, le 26 septembre 1989, à sept heures du matin, les portes de la prison de Poissy s’ouvraient pour toi, et la rue te rendait une liberté tardive… Quelques semaines après, le mur de Berlin tombait… Ah, les beaux jours de cet automne-là ! Car il faut bien que les portes s’ouvrent, que les murs s’écroulent, quand ils empêchent les hommes de vivre… » Michèle Lesbre a rencontré Victor Dojlida à sa sortie de prison et l’a côtoyé jusqu’à sa mort en 1997. Bouleversée par le destin de cet éternel rebelle dont la vie a été brisée par la guerre et les désillusions, elle est partie sur ses traces, a exploré les archives et s’est surtout souvenue de leurs conversations, pour lui rendre cet hommage personnel. Victor Dojlida est né en Biélorussie en 1926. Il a trois ans quand sa famille émigre en Lorraine, où son père est d’abord employé à la mine, puis aux aciéries. Quand, le 10 mai 1940, la première bombe s’écrase sur Homécourt, l’école ferme. Victor a quatorze ans, il ne passera pas le certificat d’études, mais il entre aux FTP-MOI, les Francs-tireurs et partisans de la main-d’œuvre immigrée. En février 1944, son réseau est dénoncé. C’est la déportation et les camps, où il voit mourir son copain Stanis. Il a presque vingt ans quand il revient. Le juge qui l’a livré à la Gestapo et le policier qui l’a dénoncé sont encore en place. Pour lui qui est rescapé de l’enfer, ce n’est pas supportable. C’est alors que commence l’enchaînement des faits qui le conduiront en prison pendant quarante ans. Victor Dojlida, une vie dans l’ombre a été publié pour la première fois en 2001, par les éditions Noésis. Sabine Wespieser éditeur le réédite aujourd’hui, en même temps que paraît le douzième roman de Michèle Lesbre, Écoute la pluie, hommage à un autre disparu, anonyme celui-ci. L’essentiel de l’œuvre de Michèle Lesbre, qui vit à Paris, est réuni dans le catalogue de Sabine Wespieser éditeur.

02/2013

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Littérature française

La petite trotteuse

D'un geste machinal, j'avais mis la montre en marche. Le tic-tac avait surgi avec une violence inattendue. J'avais cru ne pas survivre à ce bruit presque imperceptible, cette course inexorable de la petite trotteuse qui me donnait le vertige. Trente ans après sa mort, mon père me quittait de nouveau. La douleur était entrée en moi d'un seul coup. M. L. Depuis qu'elle a retrouvé cette montre, la narratrice s'est elle-même mise en mouvement suivant une impulsion implacable, elle visite des maisons, comme pour retrouver le lieu d'un rendez-vous manqué. Alors qu'elle est au bout de son improbable quête, le présent se substitue de plus en plus souvent, en autant de fondus enchaînés, à des scènes de sa vie passée : dans l'hôtel où elle s'est installée, le gros chat orange la renvoie à celui qui l'attend quelque part, mais aussi au compagnon de ses jeux de petite fille ; les pas de son voisin se superposent à ceux de son père, lourds de chagrin ; l'ombre de sa mère, silhouette frivole, rôde... Dans la maison du bord de mer, dernière étape du périple, la houle des souvenirs l'assaille : les images de son enfance qui commença avec la guerre, celles des uniques vacances en famille, un désastre, celles d'esquisses de maisons aussi, dessinées par un père triste et mystérieux, mort trop tôt et avec qui pourtant elle n'a pas cessé de s'entretenir. Peu à peu se construit, sous nos yeux et presque à l'insu de la narratrice, un magnifique et subtil roman des origines : les fils de sa vie se dénouent, ses engagements s'éclairent à la lumière des idées qu'elle soupçonne avoir été celles de son père... et elle connaît enfin l'apaisement. Jamais Michèle Lesbre n'est allée si loin dans l'entrelacement de son expérience intime et de la fiction, et jamais elle n'a montré de manière si lumineuse le pouvoir rédempteur des mots, qu'elle tisse comme un enchantement.

06/2011

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