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Luis Goytisolo

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Dossier

Le bestiaire merveilleux de Luis Sepúlveda, changé en audiolivres

Chats, souris, escargots, chien et à présent baleine blanche les animaux tiennent une place toute particulière dans l’œuvre de Luis Sepúlveda. À la fois tendres et émouvantes ces histoires qui constituent le bestiaire de l’auteur parlent certes d’animaux, mais sont profondément humaines. 

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Dossier

Les livres de Louis-Ferdinand Céline : transgression et controverse

Louis-Ferdinand Céline, de son vrai nom Louis-Ferdinand Destouches, est l'un des écrivains français les plus influents et controversés du XXe siècle. Né le 27 mai 1894 à Courbevoie, en France, et décédé le 1er juillet 1961 à Meudon, son œuvre est à la fois célébrée pour son style novateur et critiquée pour ses positions politiques et ses pamphlets antisémites.

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Dossier

Vois Lis, Voix Là : le podcast de ActuaLitté

Avec le développement fulgurant du livre lu, c’est toute une dimension audio qui se développe désormais dans le monde du livre. Ce qui devait pousser la rédaction à diversifier ses approches, avec la création d’un podcast dédié. Des livres, des auteurs, des lectures, des chroniques, et bien d’autres choses encore.

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Dossier

Comics et super héros : Marvel, pilier historique de l'édition

Marvel : un nom qui incarne à lui seul le concept de super héros. Créée en 1939, la maison d’édition a connu plusieurs identités avant de devenir le groupe multimédia que l’on connaît aujourd’hui. D’abord Timely Comics, puis Atlas Comics, Marvel prend ce nom au début des années 1960, une décennie décisive dans l’histoire de la bande dessinée américaine…

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Dossier

Livres, BD, actualités : tout sur Joann Sfar

Né le 28 août 1971 à Nice, Joann Sfar a fait ses armes au sein de la maison d'édition L'Association, puis dans différents ateliers qui lui permettent de côtoyer des collègues auteurs comme Riad Sattouf, Marjane Satrapi, ou encore Christophe Blain. Il se fait connaitre rapidement, aussi bien pour son travail destiné à la jeunesse (Petit Vampire et Sardine de l'espace) qu'à travers ses bandes dessinées destinées au grand public, Le chat du rabbin en tête.

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Dossier

Programme, invités : La Grande Librairie, l'invitation à lire de François Busnel

Émission phare de la littérature sur le service public, La Grande Librairie, présentée par François Busnel, fait preuve d'une longévité que beaucoup lui envient. Créée en 2008 par son présentateur lui-même pour la chaîne France 5, l'émission hebdomadaire convie un ou plusieurs invités pour aborder différents thèmes, en lien avec des ouvrages récemment parus.

Extraits

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Littérature érotique et sentim

Fuis-moi, je te suis

Leila Scott a tout pour elle : Deux meilleures amies fabuleuses, un fiancé dévoué, une famille aimante et un travail qui va au-delà de ses espérances. Tout va pour le mieux dans sa vie jusqu'au jour où... Luck Jones, prétentieux, joueur, attachant mais arrogant, pose les yeux sur Leila qui devient son obsession. Il va la pousser à réfléchir sur sa vie, replonger dans son passé et ouvrir les yeux sur son avenir. Quand Luck lui dévoile un lourd secret qui vient tout chambouler dans sa vie, Leila ne sait plus qui croire

02/2019

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Littérature étrangère

Deuil au paradis

Les derniers jours de la guerre civile, en Catalogne, un combattant de l'armée républicaine, Martin Eloségui, a déserté. Caché dans une grotte, il attend l' arrivée des troupes de Franco. L'arrière-garde vient de faire sauter un pont, et le déserteur se trouve un moment dans le no man's land. Soudain, de sa cachette, il entend le bruit d'une dispute, des pas précipités qui fuient vers le bois. Sortant de la grotte, il trouve étendu le cadavre d'un enfant de douze ans, Abel Sorzano, dont les parents sont morts pendant la guerre et qui vivait réfugié chez une vieille tante, dans la maison nommée "Le Paradis". Martin Eloségui n'a pas besoin de longues recherches pour découvrir les auteurs du crime. Ce sont d'autres enfants, réfugiés dans une école voisine. Copiant d'une façon dramatique les adultes qu'ils ont eu le temps d'observer, et obéissant aux consignes de la radio, ils ont assassiné le petit Abel dont ils suspectaient la loyauté. Tel est l'argument de ce livre cruel et poétique à la fois, retable vivant où s'inscrit l'histoire de trois générations espagnoles : la génération de dona Estànislaa et des autres habitants du Paradis, évadée dans les rêveries d'une grandeur passée ; celle des combattants de la guerre civile, Eloségui et son amie Dora, brisée par la lutte fratricide ; celle d'Abel et des enfants de l'école, qui parodie tragiquement la génération de leurs parents, faisant éclater l'absurdité du conflit. Ecrit à vingt-trois ans par l'auteur de Jeux de mains, roman qui a obtenu le succès que l'on sait en Espagne, puis en France et en Amérique, faisant connaître l'existence de la jeune littérature espagnole, Deuil au Paradis a été salué par la critique comme le roman le plus significatif de l'Espagne déchirée de l'après-guerre.

02/1959

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Littérature étrangère

Pour vivre ici

Ces huit récits unis par des liens profonds baignent dans un climat d'une telle unité que le passage de l'un à l'autre donne à ce recueil un mouvement plus caractéristique du roman que des nouvelles. L'action se déroule en Espagne entre 1952 et 1957. Ces récits ont un thème en commun : la découverte d'une certaine réalité que la bourgeoisie essaie de cacher à ses enfants, et l'effet produit par cette découverte sur la conscience de l'un d'entre eux. Ils représentent en quelque sorte un itinéraire impitoyable de la léthargie à la lucidité. Des héros fatigués découvrent dans l'envers paillard d'un Congrès Eucharistique, dans l'atmosphère sordide d'une banlieue ou à travers la mélancolie automnale du port de Barcelone, un monde qui se situe aux antipodes de celui où ils se meuvent d'ordinaire. La Garde et La Virée dépeignent l'atmosphère étouffante de la vie militaire et la dégradation qui l'accompagne. Le sort du cirque misérable du Voyage et les scènes de sadisme d'Ici-bas accusent l'existence d'un climat de répression sexuelle entretenu par l'Eglise. Mais les protagonistes des Amis et le héros d'Ici-bas reconquièrent la dignité par leur participation - ou au moins leur volonté de participer - à un combat qui leur permet de tourner résolument, définitivement, le dos à la classe dont ils sont issus. Cette peinture cruelle d'une société profondément anachronique s'articule, en son réalisme intransigeant, sur le roman picaresque et l'Espagne noire de Goya.

05/1962

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Littérature étrangère

Chronique d'une île

Claudia Estrada revient à Malaga retrouver son mari Rafael. Depuis longtemps, ils ne forment plus un couple uni qu'aux yeux des autres, et surtout des parents de Rafael, qui appartiennent à la petite bourgeoisie de la ville. Malaga a bien changé depuis que Claudia est partie : les environs, au bord de la mer, sont devenus des lieux de villégiature pour Espagnols ou étrangers riches. Comme le lui dit Rafael : "C'est devenu un pays à part, une véritable île... Les maris trompent leurs femmes. Les femmes trompent leurs maris. Le curé lance des menaces, mais personne ne fait cas de lui. La virginité n'est même plus un mot et tous les hommes sont des tantes". Ces manières "américaines", la riche bourgeoisie espagnole essaie de les imiter, de se les assimiler, mais avec peine. Nous sommes dans les années 1950. Publié d'abord en France à cause de la censure franquiste, Chronique d'une île n'est sorti en Espagne qu'après la mort de Franco : c'est un des romans les plus représentatifs de l'oeuvre de jeunesse de l'auteur qui exprimait une critique virulente de la société espagnole. Cette période de formation avait été inaugurée par Jeux de mains (1956) et devait aboutir à la rupture que constitua Pièces d'identité (1968). Avec Don Julian (1971), Juan Goytisolo allait affirmer sa pleine maturité.

02/1961

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Littérature étrangère

Danses d'été (quatre tentatives d'interprétation d'une...)

Les quatre récits qui constituent Danses d'été sont quatre versions d'un même problème vu sous des angles différents. La première de ces "tentatives d'interprétation d'une histoire amoureuse" est contée par un enfant, à la fois juge et partie d'une intrigue qui frôle le drame. La seconde est le récit fait par un mari dont la vie affective se trouve bouleversée par l'amour à la fois importun et flatteur d'une jeune fille aux sentiments aussi exaltés qu'ambigus. Dans la troisième, une femme retrace le désarroi de son mari blessé d'une infidélité que lui révélèrent des lettres. La visite d'un homme à son meilleur ami, après plusieurs années d'absence, sert de base aux complications sentimentales de la quatrième face de ce miroir où se reflète un drame de même nature entre des personnages similaires : couples dont le bonheur fragile se trouve compromis par l'arrivée d'une tierce personne. Tout cela traité en demi-teintes, dans une atmosphère automnale où évoluent de pauvres êtres mélancoliques, incertains non seulement de leurs passions mais de ce qui en est l'objet. En apparence, ils sont gais. Ils boivent, fument et font tourner des disques à longueur de journée, mais c'est une gaieté factice. Comme les masques de Verlaine, s'ils chantent, c'est "sur le mode mineur", et s'ils dansent dans des "paysages choisis" (la côte de Malaga et la campagne aux environs de Barcelone), c'est "quasi triste", sans avoir l'air de croire à leur bonheur.

03/1964

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Littérature étrangère

Fiestas

Fiestas est le roman de toutes les solitudes : celle des pauvres, des malades, des inadaptés, des criminels, celle qu'on trouve au sein des groupes : couples, familles, sociétés. C'est en vain que les hommes cherchent à s'en évader. Aussi Fiestas est-il également le roman de l'échec : Pira n'arrivera jamais à Rome où elle imagine que son père l'attend ; Ortega n'ouvrira jamais officiellement son école ; Benjamin restera condamné à ses décevantes poursuites ; et Pipo, trahi par Gonzàles, se voit contraint, après avoir lui-même trahi son ami le Gorille, d'abandonner sa vie de rêve pour rentrer dans l'ordre établi. L'amour de don Paco pour son jardin consolateur n'est aussi qu'une déception : ce n'est pas dans la nature que l'homme peut trouver un remède à son isolement. Né seul, il est condamné à vivre et à mourir seul, après s'être laissé perpétuellement leurrer.

06/1960

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