Recherche

MEMOIRES. Tome 1, Tous les fleuves vont à la mer

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Partir à l'aventure, devenir Explora(teur) : les ouvrages qui vous font voyager

Explora est une maison d'édition qui repousse les limites de l'imaginaire depuis 2020. Fondée avec la passion de mettre en avant les plumes francophones talentueuses, Explora s'est rapidement imposée comme un acteur majeur de la littérature de l'imaginaire.

ActuaLitté

Dossier

Festival des Littératures européennes de Cognac 2021

Cette année, le LEC Festival nous emmène sur « la route du Danube », chère à Emmanuel Ruben. Éloignés des lecteurs depuis longtemps, la tentation de l’ailleurs a été forte. Que ce fleuve soit un pont entre nous et les peuples qui le bordent ! Stephan Zweig montre dans Le Monde d’hier combien nos destins sont liés. Les invités nous raconteront l’Histoire et des histoires, ils nous inviteront à écouter leur musique.

ActuaLitté

Dossier

Le trône de fer : les livres de la saga A Song of Ice and Fire de George RR Martin

Le trône de fer est une immense saga d’héroïque fantasy qui s’inspire de la série des Rois maudits de Maurice Druon. C’est au début des années 1990 que Georges R.R. Martin commence à écrire Le trône de fer, le premier volume est publié en 1996. En 2007, la chaine de télévision HBO acquiert les droits d’adaptations. L’auteur lui-même participe à sa production et écrit le scénario d’un épisode par saison. 

ActuaLitté

Dossier

Saint-Elme, la folie d'un Twin Peaks, quelque part en Europe

« Ici, c’est spécial. » Depuis trois ans, Serge Lehman et Frederiks Peeters nous ont plongés dans une série dont les couleurs folles peinent à rester dans tranquillement dans leurs pages. Un polar percutant, aux personnages franchement décalés : avec la sortie du cinquième tome, Les Thermopyles, les comparses mettent le point final à leur saga au milieu des montagnes…

 

ActuaLitté

Dossier

Banquet pour tout le monde : Astérix et Obélix ont 60 ans

Les deux Gaulois les plus célèbres du 9e art fêtent, en 2019, leur 60e anniversaire : le 29 octobre 1959, le scénariste René Goscinny et le dessinateur Albert Uderzo présentent au monde un petit Gaulois, accompagné par son ami, plus... enveloppé. Rapidement, les deux héros deviennent les figures majeures du journal Pilote.

ActuaLitté

Dossier

Redécouvrir Colette, à travers les femmes qui l'ont lue

Ce 28 janvier, Colette aurait eu 150 ans. Et depuis quarante années, les éditions des femmes - Antoinette Fouque mettent à l'honneur les écrits de Colette à travers leur collection de livres audio, La Bibliothèque des Voix. L'occasion de retrouver les femmes qui, au fil du temps, ont prêté leur voix pour que vivent les textes de l'autrice.

Extraits

ActuaLitté

Histoire de France

MEMOIRES. Tome 1, Tous les fleuves vont à la mer

Enfance heureuse à Sighet, petite ville des Carpates longtemps épargnée par la guerre. Fureur et ténèbres d'Auschwitz et de Buchenwald : l'adolescent en sort exsangue, l'esprit muet, sans patrie. Mais il conserve en lui ses rêves messianiques, le sourire de Tsipouka, la petite sœur aux cheveux d'or, le regard et les ultimes paroles de son père -secrets qui hantent toute l'œuvre d'Elie Wiesel et qu'il révèle ici. Quarante ans plus tard, consécration de l'écrivain lorsqu'il reçoit le prix Nobel de la paix. Ce sont là trois repères dans une vie fertile en bouleversements, ruptures et découvertes. Elie Wiesel a 17 ans. Le voici à Paris, ballotté dans un univers inconnu. Apprendre le français lui paraît alors moins ardu que séduire toutes les jeunes filles dont il tombe amoureux. La naissance d'Israël l'exalte, mais comment aider le jeune Etat ? Le voici apprenti journaliste, un métier qui lui fera parcourir le monde, traquer les scoops, se lier d'amitié avec François Mauriac et Golda Meir, côtoyer personnalités et chefs d'Etat. A 30 ans, Elie Wiesel parvient enfin à décrire son expérience de La Nuit, à témoigner pour les martyrs de l'Holocauste. Ainsi commence une œuvre vouée au souvenir des victimes, à la défense des survivants et de tous les opprimés. Avec les armes de la compassion, de l'amour et parfois de la colère, cette œuvre et cette vie vont devenir un combat entre le doute et la foi, le désespoir et la confiance, l'oubli et la mémoire. Combat d'un inlassable témoin de la violence des hommes et de leur rêve d'une Jérusalem pacifiée, idéale.

09/1994

ActuaLitté

Histoire internationale

Tous les fleuves vont à la mer. Mémoires (1)

" On se revoit enfant, accroché à sa mère. Elle murmure quelque chose. Parle-t-elle du Messie ? On a envie de lui dire : " tu es morte et Il n'est pas venu. Il viendra peut-être, mais ce sera trop tard. " On marche avec son père à l'office du Shabbat. Puis dans les rangs d'un cortège de morts. On souhaite le rassurer, le consoler : " N'aie pas de crainte, ton fils tâchera de vivre en bon juif. " Mais on ne dit rien. On appelle en silence une petite fille belle et souriante, grave et recueillie, on lui caresse les cheveux qui sont comme des rayons de soleil. Dresser le bilan cette fois encore ? Contenir l'émotion ou la libérer ? On laisse sa pensée escalader des montagnes, dévaler des chemins escarpés, s'égarer dans des cimetières invisibles, rechercher et fuir la solitude et les gens, les histoires déjà racontées et celles qu'on racontera plus tard. " ELIE WIESEL.

08/2016

ActuaLitté

Gestion

Le fleuve des fleuves

C'est le Niger. Il partage l'Afrique de l'Ouest en deux parties et le Mali en deux mondes. D'un côté des miséreux faméliques, de l'autre des bourgeois maliens, libanais ou expatriés, riches et repus. Des mystiques illuminés et des trafiquants pouilleux. Des saints hommes et des faux prophètes. Des aventuriers magnifiques et des gueux. Vingt ans après l'indépendance et vingt ans avant la guerre qui a réinstallé le Mali dans la misère durable, une entreprise se crée et essaye d'apporter sa pierre à l'édification d'un monde moins glauque. Des barrages, des routes, des bâtiments, des rencontres étonnantes ou douloureuses. L'apprentissage du système endémique de corruption massive de l'Afrique. "Les zonards arrivaient de leurs banlieues dans d'authentiques Peugeot 404 ou 504 break ou pick up et ils s'installaient dans cet étrange caravansérail. Quand la pression de la bière sur leur vessie devenait trop forte, ils allaient lancequiner sur les murs de la concession, puis à deux, trois ou plus, s'abritaient sous une couverture miteuse pour un coït animal. Gao, vingt ans après Woodstock, c'était piss and love". "De Sévaré à Gao, les paysages sont d'une beauté hallucinante. La piste s'étire vers le nord-est dans un décor de western, parsemé de canyons et de pitons rocheux. Une paix voluptueuse transpire de cet environnement détritique, occupé par des bergers peuls et touaregs veillant sur d'immenses troupeaux de dromadaires, de moutons, de boeufs et de chèvres".

07/2020

ActuaLitté

Littérature française

Là, où vont mourir les fleuves

Le destin mais surtout les ravages de la colonisation occidentale sur leur terre et dans leur culture, ont fait se rencontrer Amadou, professeur qui a dû fuir son pays, la Sierra Leone, Fatiha, jeune marocaine venue de Nador, Ousmane, orphelin échappé à la rue de Ouagadougou, le seul univers qui chez lui, lui tendait les bras et Tierno le berger peul que la misère a chassé de Bandiagara. Leur exil les fera s'échouer sur la Grande Canarie. Bien éloignée des images d'un éden touristique c'est la dure réalité de l'immigration et des nouvelles formes d'esclavage qu'ils connaîtront. Leurs vies vont se croiser, s'enlacer et s'entremêler. Le meurtre d'Aida, une jeune prostituée sénégalaise piégée à Las Palmas est à l'origine de l'intrigue qu'Antonio Lozano (Harraga - L'atinoir 2006) traite dans le genre noir en décrivant les méandres de ces relations et en émettant clairement un message de dénonciation. Le choix d'une narration chorale pour écrire l'histoire des personnages donne à ce témoignage juste et implacable une épaisseur faite d'humanité et de tendresse sur la dureté de l'émigration, de l'exil et de l'exploitation d'une race et d'un peuple.

02/2014

ActuaLitté

Autres collections (6 à 9 ans)

Les incollables - Premières lectures - Tous à la mer ! Tome 1

Nouvelle collection : les premières lectures des incollables. 3 niveaux : début de CP / milieu de CP et fin de CP. On retrouve dans ces premiers romans les notions utilisées en classe et dans les méthodes pour l'apprentissage de la lecture. Les titres ancrés dans le quotidien des enfants Le petit plus spécifique de la collection incollables : les pourquoi ? Les histoires s'appuient sur le questionnement qui est au coeur de la pédagogie incollables. Chaque roman, en plus de permettre à l'enfant de progresser en lecture selon son niveau, le fera se questionner sur le monde qui l'entoure. Mais aussi, des annexes bien pensées pour : - Préparer la lecture : appréhender les mots difficiles, la prononciation des syllabes... - Prolonger le questionnement : des quiz de compréhension, des schémas explicatifs et une invitation à se questionner / réfléchir sur le monde qui entoure l'enfant. Dans Tous à la mer ! du CP : Niveau 1 - Je déchiffre. C'est bientôt la rentrée... . Pourquoi n'a-t-on pas tous les mêmes goûts. Tous à la mer ! Zoé part à la mer avec Arthur et ses parents ! Les deux amis n'ont qu'une envie : aller s'amuser dans l'eau. Mais une fois à la plage il y a tellement à faire : se déshabiller, enfiler son maillot, mettre de la crème solaire, un chapeau, des lunettes... La question traitée sera : Pourquoi faut-il prendre autant de précautions avec le soleil ? LES INCOLLABLES / PREMIERE LECTURE / METHODE / CP / NIVEAU 1 / ECRIT PAR UNE ENSEIGNANTE / POURQUOI / VACANCES / PLAGE / SOLEIL / LAURENT AUDOIN / 5 ANS / 6 ANS / 7 ANS / APPRENDRE A LIRE

04/2022

ActuaLitté

Littérature étrangère

Au bord des fleuves qui vont

Un homme est hospitalisé à Lisbonne : dans ses viscères, une bogue ne cesse de grossir en silence, que le médecin appelle cancer. La douleur, l'opération, les traitements le plongent dans un état second. Remontent alors à la surface des souvenirs enfouis depuis toujours, qui se bousculent et s'entremêlent. Furieux contre cette mort "terrible et comique" qui se moque de lui dans l'obscurité, humilié par sa déchéance physique, "monsieur Antunes du lit numéro onze" divague dans les méandres de sa mémoire et c'est alors tout le monde de son enfance qui se rappelle à lui, avec ses sons, ses odeurs, ses visages.... Tandis que médecins et infirmières défilent à son chevet, passé et présent se télescopent, et le voilà emporté, en compagnie de défunts décidément pleins de vie, vers la source du Mondego dans la montagne sauvage, couverte de pins et d'eucalyptus. Sur ses contreforts, il revisite le bourg et la maison de ses grands-parents, la mine de wolfram et l'hôtel des Anglais... Alors que le mal "aboie dans son ventre", ce passé ravivé est comme un garde-corps, le seul peut-être à pouvoir l'empêcher de tomber dans "le ravin" qui s'ouvre au bord de son lit d'hôpital. Le livre, d'une brièveté assez rare chez Lobo Antunes, comprend quatorze chapitres, chacun portant comme titre une date allant du 21 mars au 4 avril 2007, autant de jours que le narrateur aura passés à l'hôpital. António Lobo Antunes ne se contente pas de passer d'un monde à l'autre, il amalgame passé et présent, au moment même où le narrateur semble promis à ne plus avoir d'avenir. Pour cela, il entrelace avec sa virtuosité coutumière les couches de temps, il livre mille et un récits, grimpe à toutes les branches des arbres généalogiques, invente une parentèle fournie, avec amis, voisins, vicaire et évêque, pharmacien et notaire, tout un monde peuplé de spectres hauts en couleurs. Son écriture tantôt heurtée, tantôt fluide, est comme toujours extrêmement sensorielle. On entend sans cesse des échos, des rumeurs (comme celles qui proviennent de l'album de photos de famille), le cri des milans, des corneilles, des corbeaux, les trains qui passent au fond de la vigne, le glas qui sonne, les châtaigniers qui discourent toute la nuit sur "la façon qu'a la terre de nous mépriser", on sent le parfum des eucalyptus qui "épellent le vent autour de l'hôtel", des landes de bruyère... Cette liberté et ce voisinage de l'émotion déchirante et des saillies comiques, formidablement ajustées, sont un des grands plaisirs que l'on ressent en lisant Lobo Antunes. Car il s'est évidemment refusé à tirer parti de la maladie dont il a bel et bien souffert pour se laisser dicter un changement de registre : les dates en tête de chapitres semblent là pour se moquer de ce qu'aurait pu être le journal pathétique d'un cancéreux à l'article de la mort. Lobo Antunes, avec son style bouillonnant, foisonnant et indomptable, a mis le mal qui l'avait atteint au service d'une nouvelle exploration de la vie, une remontée vers la source de l'existence, vers les mystères et la "joie perdue" de l'enfance.

02/2015

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté