Recherche

Maxim Quatrehomme

Extraits

ActuaLitté

Poésie

Impressions & rêves

Et si nous nous laissions emporter par ces mots laissant leur regard sur notre société ? Amour, tristesse, guerres, conditions humaines mais aussi les regrets et la souffrance et bien d'autres, ces thèmes sont abordés. Derrière ces poèmes, l'auteur souhaite porter un certain regard sur la société du XXIème siècle.

12/2022

ActuaLitté

Non classé

Maxim's Restaurant

Coffret 2 jeux - Format : 14, 2 x 10, 3

09/1999

ActuaLitté

Littérature française

Maxime

"?... Alors j'ai décidé de vivre mes rêves et non de rêver ma vie comme je le faisais depuis le 'départ' de Marion. Je me disais que ce gamin avait vécu des moments dramatiques et s'il se trouvait sur mon chemin, c'était pour de bonnes raisons. Lesquels ? L'avenir me le dira peut-être." Diminué physiquement et rongé par la culpabilité à la suite du décès de sa petite amie, Maxime s'isole dans le monde des jeux vidéo. Loin de la cruauté et des supplices de sa vie, il se réinvente et s'oublie, face à l'impuissance de ses proches. La guérison et la paix sont pourtant bien possibles ici. Aidé de Jade, sa soeur autiste, Maxime ne pourra se contenter du réconfort momentané de la fiction. Car l'imaginaire est une escale avant la réalité où l'amour et le pardon l'attendent... Deuil, addiction aux jeux vidéo, crise familiale... une peinture moderne et honnête d'une société en proie à de nouveaux démons. Et si les solutions existaient déjà en chacun de nous ?

06/2020

ActuaLitté

Littérature française

Maxime

1914 : Maxime part au front, soutenu par l'espoir d'un retour pour Noël, bien décidé alors à épouser Suzanne, la jeune fille aux yeux bleus rencontrée un an plus tôt. Il va peu à peu perdre son enthousiasme à mesure que se révèlent à lui l'horreur des tranchées, le désarroi, les doutes, la résignation. De son côté, l'insouciante Suzanne découvre la guerre dans toute sa cruauté, passant de l'inquiétude à l'angoisse et à la révolte.

10/2022

ActuaLitté

Théâtre

La Dame de chez Maxim

Petypon, chirurgien respectable, habitant un quartier bourgeois de Paris, se réveille sous un canapé, avec la gueule de bois mais sans aucun souvenir de ce qui l’a causée. Son ami Mongicourt, qui le réveille, lui apprend qu’ils ont été boire un verre chez Maxim, restaurant à la mode mais, qu’après le départ de Mongicourt, Petypon a dû se laisser entraîner à quelque excès de boisson. Bientôt l’on découvre que la Môme Crevette, danseuse du Moulin Rouge, a fini la nuit dans son lit. Or, Petypon est marié et doit absolument empêcher sa femme Gabrielle de découvrir cette entorse à la fidélité conjugale… La Dame de chez Maxim serait « Le Soulier de satin du vaudeville ». Elle l’est, d’apparence, par sa longueur, par l’importance quantitative de ses personnages (vingt-neuf rôles sans compter la figuration), par le nombre de fils d’intrigue qui s’entrecroisent, par la richesse visuelle de ses jeux scéniques, par l’originalité de sa facture (rythme chorégraphique, notamment de l’acte II, dû à l’intervention d’une actrice d’opérette, dansant et chantant), par la caractérisation nettement individualisée de ses premiers rôles formant un quatuor (le docteur Petypon, sa femme Gabrielle, la Môme, le Général), par son aptitude à évoquer des mondes multiples (le Paris bourgeois du couple Petypon, le Paris interlope de la Môme, le milieu militaire avec le général et Corignon, de surcroît ancien amant de la Môme, la province avec ses cérémonies désuètes, ses notables et ses élégantes ridicules), par le souffle et l’allégresse qui l’emportent et ont fait de la pièce une sorte de représentant du « théâtre total », et la plus fêtée de toutes les oeuvres de Feydeau. Sans doute. Mais la pièce ne serait-elle pas aussi, révérence parler, la « Bérénice du Boulevard » ? Ne faudrait-il pas surtout prendre garde au défi que s’est lancé Feydeau et qui le rapproche de Racine ? Comme dans Bérénice, toute l’invention consiste ici, à (presque) « faire quelque chose de rien » et à faire reposer le dynamisme de l’action sur un minimum de « matière ». Feydeau a décidé (sans le dire) que le quiproquo initial, la Môme prise pour Mme Petypon, serait le tout de la pièce. Et ce, dès le titre, car Chez Maxim, bien loin d’être le restaurant chic et snob qu’il est devenu, est en 1900 un lieu interlope à la société mêlée, et la dame n’en est pas une, mais une des lionnes du demi-monde qui venaient là pour plumer les bourgeois en goguette. Le quiproquo, donc, serait le ressort unique et indéfini : la pièce parvient à son terme sans que l’entière vérité soit jamais révélée à la principale intéressée, Gabrielle Petypon. C’est ainsi que s’est construit ce chef-d’oeuvre de Feydeau.

11/2011

ActuaLitté

Non classé

Maxim's Rouge et Or

Etui carton - Format 6 x 9 cm

09/1999

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté