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Meckert

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Policiers

12, rue Meckert

Alors que Maxime Lisbonne boucle son enquête sur les " disparues de Châteauroux ", deux journalistes avec lesquels il faisait équipe, dix ans auparavant, sont assassinés. Persuadé qu'il est le prochain sur la liste, il exhume les archives du journal J'enquête qui l'obligent à se pencher dangereusement au-dessus de la fosse commune où gisent les " disparues de Châteauroux ". Dans son périple, il ne cesse de se cogner au fantôme de son homonyme, le colonel Maxime Lisbonne, un Communard unijambiste ami de Louise Michel, déporté en Nouvelle Calédonie, et qui inventa le strip-tease en 1884, rue des Martyrs.

10/2001

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Policiers

Tiuraï. Une enquête du journaliste Thomas Mecker

Un jeune Tahitien trouve la mort avec son frère handicapé le jour de la fête du 14 Juillet. Une émeute sanglante dévaste la prison de Papeete et la répression qui s'ensuit n'a rien à envier à certaines dictatures. Loin de la métropole, la Polynésie et ses atolls n'ont plus grand-chose à voir avec les vahinés et les colliers de fleurs. Sous la mer bleue rôde une menace étouffée par le secret défense. Parce qu'il emprunte les chemins de traverse, :le journaliste Thomas Mecker va côtoyer une réalité mortelle à plus d'un titre. Ce n'est pas pour rien que le mot " tabou ", comme:: Mururoa, est issu de ces îles...

06/2005

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Critique littéraire

Jean Meckert, dit Jean Amila. Du roman prolétarien au roman noir contemporain

Jean Meckert (1910-1995) a commencé sa carrière littéraire en écrivant des romans prolétariens comme Les Coups (1941). Cette littérature, importante dans les années 30, n'est plus guère d'actualité après la guerre et ses romans ne connaissent qu'un succès d'estime. Marcel Duhamel, directeur de la Série noire, lui propose alors d'écrire des romans policiers inspirés des romans noirs américains. En 1950, sous le pseudonyme de John (Jean) Amila, il fait paraître Y'a pas de bon Dieu !, et devient une valeur sûre de la littérature policière en France, et ce jusqu'en 1985 avec son dernier roman, Au balcon d'Hiroshima. En trente-cinq ans, il publie 21 titres qui s'inspirent des thèmes de la littérature prolétarienne qu'il a transposés au roman policier. Contemporain de Léo Malet et de Georges Simenon, il annonce le néo-polar qui arrive au début des années 70, avec Jean-Patrick Manchette, A D G, Jean Vautrin ou Pierre Siniac. Dans la décennie 80, des auteurs comme Frédéric H Fajardie, Thierry Jonquet ou Jean-Bernard Pouy, ou plus tard Patrick Pécherot, suivent la voie ouverte par Jean Amila. Parmi eux, Didier Daeninckx revendique son héritage et contribue à le faire redécouvrir. Ainsi, il retrouve sa place dans la littérature contemporaine auprès d'écrivains qui observent la société française en crise, comme lui explorait les milieux ouvriers autrefois.

03/2013

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Littérature française

La lucarne

La Lucarne, entr'ouverte sur tout ce qui n'est plus quotidien, c'est l'histoire triste et profonde d'un petit gars qui fait une crise de mysticisme. Faiblard, quelconque et malheureux, Edouard Gallois reçoit brusquement au coeur une émotion étrange, d'une puissance hallucinante et d'un poids extraordinaire : il doit lutter pour la Grande Paix du monde ! L'humble gars est fécondé, transformé ; toujours aussi faible, aussi insignifiant, mais animé d'une flamme intérieure qui le met dans la voie des seuls vrais hommes, ceux qui refusent le bonheur, pour la souffrance et l'esprit de sacrifice. Il est fécondé, et un message se précise en lui, bouleversant et profond : "Il faut former la Grande Armée de la Paix... II faut que l' Homme devienne plus fort que ses canons. . ". Et il parle comme malgré lui ; il clame la grande nécessité de remettre l'humain au-dessus des grandes idées déjà consommées. Il est humain, profond et neuf. Il est vrai, génial et lamentable. Il apporte sa vision intérieure, d'un caractère puissant et mystique... ... Mais le vent de l'esprit. la foudre aux grands hommes s'est trompée de terrain. Edouard Gallois n'a pas la taille... A I'occasion d'un drame atroce, sa femme tentant de le tuer, il reçoit un choc moral qu'il ne peut surmonter. Sa grande pensée avorte en lui ; il redevient quelconque, avec des joies et des peines au niveau du commun. La lucarne s'est refermée...

04/2024

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Littérature française (poches)

Les coups

" C'est l'histoire toute simple d'un gars qui fait le manœuvre dans des petits ateliers de mécanique. Félix tente d'expliquer en phrases saines et drues son désarroi d'être incompris et de mal comprendre. Que ce soit dans ses discussions avec ses patrons, avec les cousins ou avec sa femme, Paulette, Félix souffre toujours de savoir mal s'exprimer. Il lui arrive même d'entrer en conflit, dans l'esprit de sa femme, avec de superbes mots de roman-feuilleton, et de perdre la bataille. Alors, il bat sa femme, au bout du désespoir. Tout comme on est contraint de faire la révolution lorsque les mots, les échanges et finalement l'existence ont perdu tout leur sens profond pour sombrer dans la vulgarité des idées trop couramment reçues et trop rarement ressenties. " J.M.

03/2002

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Littérature française

Nous sommes tous des assassins

Au lendemain de la guerre, René Le Guen est condamné à le peine capitale pour avoir commis trois meurtres. En attendant l'issue du recours en grâce, il revient sur son passé et l'enchaînement des petits faits qui ont construit sa vie et le conduisent, finalement, au pied de l'échafaud. Ce n'est pas un philosophe, c'est donc avec naïveté qu'il partage ses tourments et ses interrogations avec ses compagnons de cellule. Et même si Le Guen n'a rien d'un individu sympathique, le lecteur ne peut sortir indemne du flot de questions qu'il soulève et qui font de ce roman un redoutable plaidoyer contre la peine de mort.

11/2008

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