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Moïse Luzzatto

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Octobre, mois de l'Imaginaire, la littérature de demain

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Dossier

Rentrée littéraire 2019 : une nouvelle cuvée de 524 romans à découvrir

Dès la fin du mois d’août débutera le grand rendez-vous français de la Rentrée littéraire. Cette année, une production en légère diminution, puisque “seuls” 524 romans sortiront contre 567 l’année passée. On passe donc de 9,78 livres à engloutir durant les deux mois et demi, à simplement, et plus digestement, 9,03.

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Dossier

Le catalogue des nouveautés éditeurs de la rentrée

Les éditeurs planchent depuis des mois, les auteurs ont réécrit leurs livres... et voici le grand moment : la présentation des nouveautés aux libraires. Alors, quoi de bon à se mettre sous la dent ?

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Dossier

Quatre week-ends de bande dessinée : les 28es RDV BD d'Amiens

Du 1er juin au 23, les week-ends du mois de juin  seront consacrés à la bande dessinée à travers la 28e édition des Rendez-vous de la BD d’Amiens. Quatre dates, où l’on retrouvera dans la Halle Freyssinet expositions, rencontres et autres surprises.

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Dossier

Procès Internet Archive : l'édition contre le prêt numérique contrôlé

En juin 2020, quatre groupes d'édition, Hachette, HarperCollins, Wiley et Penguin Random House, portent plainte contre la plateforme patrimoniale Internet Archive, l'accusant de « violation massive du copyright ». En cause, la bibliothèque d'urgence mise en place par le site à l'occasion de la pandémie du coronavirus.

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Dossier

Les romans de la rentrée littéraire : 2020, l'année inédite

Le coup de feu est lancé : plusieurs centaines de romans sortiront en librairie ces prochaines semaines et jusqu’à la fin du mois d’octobre. En soi, rien d’étonnant. Mais la rentrée littéraire marque une période bien spécifique — au sein d’une année qui aura été mondialement chamboulée.

Extraits

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Religion

La logique du Talmud. La voie de l'intelligence

Rédigé entre le IIe siècle et le Ve siècle de l'ère commune pour sauvegarder l'ensemble des règles de vie d'un peuple en exil et privé de son Temple, le Talmud, composé de 63 traités, se présente comme une discussion entre rabbins autour de la loi biblique et de son impact sur la vie quotidienne de la société juive. Débat infini semblant procéder de digression en digression, il tient une place essentielle dans l'éducation et la pensée juives. Son étude a suscité de très nombreux commentaires, mais la Logique du Talmud de R. Moshé Hayyim Luzzatto (Rampal), publiée à Amsterdam en 1742, a ceci d'unique qu'elle met au jour les principes directeurs de son mode de penser. L'ouvrage fut pourtant longtemps méconnu et il faudra attendre les travaux du professeur Charles Manekin en 1998, montrant que le système de Rambal était fondé sur la logique de Pierre de la Ramée (1515-1572) pour que le livre sorte de l'ombre. C'est en approfondissant le système ramiste que Yobanan Lederman a pu ainsi en livrer une traduction française accompagnée de travaux pratiques qui font de cette publication un outil de travail essentiel pour tous ceux qui veulent suivre la voie de l'intelligence.

01/2017

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Religion

Le sentier de rectitude

Ce grand classique de la spiritualité juive, publié en 1740, enseigne, comme tous les traités de la vie mystique, le chemin pour rencontrer Dieu, pour vivre dans son intimité, pour persévérer dans sa présence. Il le fait de manière originale : les références de l'auteur sont la Bible, le Talmud, la Loi, la Kabbale. Il insiste sur l'importance de l'étude pour l'âme fervente qui, de vertu en vertu, parvient à la dernière, la vertu de sainteté. On entre dans ce sentier de rectitude par un effort qui est moins issu de la volonté personnelle que du respect amoureux de Dieu. Tous sont appelés à prendre ce chemin : " Un homme qui doit gagner sa vie par les travaux les plus vils peut le réaliser aussi bien que celui dont l'occupation permanente est l'étude... Sur toutes les voies on peut connaître Dieu, il dirige tous nos pas. "

01/1996

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Documentaires jeunesse

Moïse

"A présent, les Hébreux forment une immense colonne de plusieurs milliers de personnes qui avance sous l'ardent soleil d'Egypte, vers le désert du Sinaï. Moïse marche à leur tête." Partager l'aventure de Moïse et de son peuple à travers des textes inspirés de la Bible. Découvrir l'histoire des Hébreux. Apprendre les fondements de notre culture.

02/2011

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Religion

Padre Pio. Miracles et politique à l'âge laïc

Le 20 septembre 1918, dans le couvent du petit village de San Giovanni Rotondo, un frère capucin en prière découvre les stigmates de la crucifixion de Jésus inscrits sur ses mains. A partir de ce seul commencement, Sergio Luzzatto déploie une enquête extraordinaire : sur l'ordre mineur des Capucins qui tenait enfin, face aux Franciscain, son heure de gloire ; sur les Pouilles, région retardataire, saignée à blanc par la Première Guerre mondiale d'où sont revenus des survivants aux corps mutilés par les stigmates de technologies guerrières et que les nationalistes transforment en preuves du devenir christique de la nation ; sur la violence sociale dans la région qui très vite opposa les ouvriers agricoles occupant les terres aux grands propriétaires qui lancèrent contre eux un des premiers faisceaux de Mussolini au prix du plus grand massacre de militants socialistes ; sur l'alliance entre le cléricalisme et le fascisme qui se noue alors et le pilier sera l'université catholique du Sacré-Coeur, laquelle des décennies durant disputera de la vérité des excroissances surnaturelles de Saint François et des doutes suscités par les plaies de Padre Pio, creusées peut-être par de l'acide ; sur la présence dans l'entourage du saint de hiérarques fascistes, tour à tour chantres du Duce puis, passé la chute du régime, biographes autorisés du moine à qui d'autres offrent un hôpital avec l'argent du marché noir dans le Paris de l'Occupation ; sur la reconquête catholique de la société italienne après-guerre avec l'explosion du culte du Padre portée par la presse magazine ; sur la christologie et la définition de ce qu'est l'Eglise selon Jean XXIII, hostile au culte du capucin, et selon Jean-Paul II qui le canonisera ; sur la place somme toute de ce capucin dans la longue chaîne qui voit, depuis la Contre-Réforme catholique, l'Eglise répondre par une surenchère à la demande de liturgies rassurantes, de cultes protecteurs et d'analgésiques sociaux. Voici le très grand livre sur la manière dont l'historien-anthropologue doit parler de la sainteté à l'âge laïc : les stigmates - vrais ou faux, là n'est pas la question - d'un individu sanctifié disent moins de lui que du monde alentour, des attentes, du besoin de croire, de l'angoisse des intercessions.

09/2013

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Histoire internationale

Le corps du Duce. Essai sur la sortie du fascisme

Au sommet de sa gloire, Mussolini fait don de son corps au peuple italien : photographies, affiches et films de propagande exaltent dans son physique ce que sera l'Homme nouveau. Le 29 avril 1945, ce même corps est suspendu par les pieds au treillis d'une station-service à Milan. Le régime fasciste a vécu. Mais l'Italie n'est pas pour autant sortie du fascisme. Un an après, à la veille du premier anniversaire de la Libération, un commando de jeunes néofascistes enlève de la fosse anonyme du cimetière de Milan la dépouille du Duce. Une fois celle-ci récupérée, la toute nouvelle République ne sait qu'en faire cependant : l'enterrer de nouveau, au risque de voir l'anonymat de la sépulture une fois encore percé par les nostalgiques du fascisme ? Ou la rendre à la piété de sa veuve et de ses enfants, au risque de voir le caveau familial devenir un lieu de pèlerinage pour des cohortes de néofascistes ? Dans le doute, les autorités profitent en secret de la disponibilité de l'Église : la caisse de bois brut est cachée dans un couvent, onze ans durant. L'Italie, poussée par la puissance du clérico-fascisme et la Guerre froide à s'attendrir chrétiennement sur les mésaventures des ex-fascistes plutôt qu'à s'enorgueillir des hauts faits des partisans, ne sait pas construire une mémoire fondatrice ni un culte patriotique sur le martyrologe des résistants. Entre l'Italie et la France, Sergio Luzzatto trame des fils plus robustes encore que ceux de l'enlèvement du cercueil de Pétain par des nostalgiques de Vichy en 1973, ou du mythe, commun à la mémoire néofasciste et à la mémoire pétainiste, du don de leur personne qui aurait fait du maréchal et du Duce des "boucliers" contre les exigences nazies. Les deux histoires sont avant tout unies par une gêne à l'égard de la Résistance comme événement fondateur. A Rome comme à Paris, une simple question d'ordre public - que faire de la sépulture d'un cadavre encombrant ? - en cachait une autre, bien plus délicate : comment transformer une réalité historique qui par définition exclut et divise - celle du mouvement partisan - en un mythe fondateur inclusif et partagé ?

11/2014

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Critique littéraire

Partigia. Primo Levi, la Résistance et la mémoire

Il y a une saison, dans la vie de Primo Levi, à propos de laquelle l'écrivain chimiste a toujours été avare : sa période, courte et malheureuse, de partisan. Les trois mois passés dans la Vallée d'Aoste, au col de Joux, à l'automne 1943. Dans Le Système périodique , la Résistance n'occupe pas plus de quatre pages, sévères : "Nous avions faim et froid, nous étions les partisans les plus désarmés du Piémont et, probablement, les plus démunis. Nous manquions d'hommes capables, et étions au contraire submergés par un déluge de gens disqualifiés, de bonne foi et de mauvaise foi, qui arrivaient de la plaine à la recherche d'une organisation inexistante". La chute de la bande dans "l'aube de neige spectrale" du 13 décembre était donc à la fois logique et "conforme à la justice". Comment expliquer une représentation de la Résistance des origines si désacralisante, si dissonante par rapport à la mythologie antifasciste sur les premiers partisans en montagne ? Sinon par l'existence "entre nous, dans l'esprit de chacun", d'un vilain secret : "Nous nous étions trouvés obligés en conscience d'exécuter une condamnation et nous l'avions fait, mais nous en étions sortis démolis, démoralisés, désireux de voir tout finir et de finir nous-mêmes". Les deux résistants exécutés étaient innocents. Aujourd'hui, leur souvenir est entretenu comme "victimes du fascisme" sur le monument commémoratif à Turin. Le mouchard infiltré sera condamné à la Libération, sur la base notamment du témoignage de Primo Levi. Sa condamnation à mort sera commuée en détention et il sortira libre pour utiliser ses compétences d'infiltré dans les organisations néo-fascistes au profit des services secrets américains. Tout l'enjeu de l'enquête/récit/analyse de Luzzatto devient alors une éblouissante réflexion sur deux martyrologes en tension, celui de la Résistance et celui de la déportation - des tensions qui traversèrent l'existence de Primo Levi, quand il dénonçait tantôt au nom de son expérience ratée de partisan les remontées néo-fascistes ou, au nom des déportés raciaux, les offensives du négationnisme contre les camps de la mort. Une tension qui traversa aussi la République italienne, mais le lecteur français songe tout autant aux affrontements de mémoire qui partagent sa société.

06/2016

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